SOLAR. 1998. In-4. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 80 Pages - Nombreuses photos en couleurs dans et hors texte. . . . Classification Dewey : 643-Le logement et son équipement
Reference : R160190679
ISBN : 2263026037
Classification Dewey : 643-Le logement et son équipement
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, , 1815-1829. In-12 manuscrit (15,5 x 9,5 cm) de (90) ff. à 35 lignes par page sous vélin portefeuille, lacet (reliure de l'époque).
Carnet manuscrit qui consigne par ordre chronologique quinze années de concerts (1815-1829) exécutés dans des salons musicaux. Le registre est tenu par un dénommé Dobelaire (Dobbelaere ?) à la fois hôte ("chez moi") et exécutant dans de nombreux salons. Les noms surtout flamands des commanditaires, peu nombreux mais fidèles (Heyndrix, Van Bosterhaut, Velder, Le Fevre, Stauthamen, Van Poukes) indiquent que la scène se déroule en Belgique où la vie musicale intense perpétua la tradition des salons musicaux entre les deux révolutions de 1789 et 1830. A Liège fut créée en 1826 l'Ecole Royale de musique sur le modèle du Conservatoire parisien.Le registre, immuable pour la période, est établi sur cinq colonnes dont la date, le nom du compositeur, la formation (codée : un triangle pour trio, un carré pour quatuor, un pentagone pour un quintet), l'opus, la réception suivie parfois de la mention "payé". Ainsi en 1815, l'orchestre a joué 71 fois à raison de 4 à 8 pièces exécutées par soirée et un programme toujours renouvelé. C'est une source exceptionnelle sur le répertoire joué dans les salons musicaux à l'époque romantique par les orchestres de musique de chambre qui, avec Haydn, Mozart, Haendel ("Haenzl") Boccherini ("Boquerini") Beethoven ("Vanbeetoven" mort en 1827) Schubert (mort en 1828), renseigne sur leurs nombreux contemporains méconnus voire oubliés : Franz Vincenz Krommer, Jean-Englebert Pauwels, Daniel Gotlieb Steibelt, Felice Alessandro Radicati, Jean-Louis Tulou, Giovanni Battista Viotti, Jean-Jacques Dreuilh, Marie-Alexandre Guénin, Étienne-François Gebauer, Dieudonné-Pascal Pieltain, Antonio Bartolomeo Bruni, Jean Schadeck, Franz Ignaz Danzi, Anton Ferdinand Titz, Georg Jakob Strunz, Giuseppe Maria Gioacchino Cambini, François-Xavier Blyma, Adalbert Gyrowetz etc. etc. Ainsi ce carnet de concerts, minutieusement tenu, offre un inventaire des compositeurs du temps - fort rare par ailleurs, seuls les journaux rendaient compte de la vie musicale - révélateur des goûts musicaux des amateurs, où l'on voit que les grands compositeurs ne se taillaient pas nécessairement la part du lion.Témoignage manuscrit de la plus grande rareté sur la vie musicale à l'époque romantique. Mouillure sur les derniers feuillets, vélin sali. [Voir : José Quitin, La Musique à Liège entre deux révolutions 1789-1830, Sprimont, Mardaga, 1997].
Paris, Ambroise Dupont, 1827. Deux tomes en un volume in-12 de [XX] 259 pages et 316 pages. Ex-libris collé armorié : O'Reilly Le Havre. Très bon état intérieur. Demi-veau violet-foncé, dos à nerfs fins très richement orné de motifs floraux entrelacés, tranches marbrées. En excellent état.
Auguste Jal né à Lyon en 1795 et mort à Vernon en 1873, ex officier de marine, a participé à la rédaction du "Fureteur ou l'Anti-Minerve" (1817) et à celle du "Miroir des spectacles, des moeurs et des arts "(1821), du "Constitutionnel" et du "Courrier des électeurs". Le cabinet de cires de Curtius doit sa célébrité historique au fait que le 12 juillet 1789, les insurgés parisiens s'y emparèrent des bustes de Necker et du duc d'Orléans et les portèrent en triomphe dans les rues de la ville. Curtius, dont le véritable nom était probablement Curtz, artiste allemand de naissance, se naturalisa en France où il vint vers l'année 1770. Il se fixa à Paris et il y a passé toute sa vie, sauf quelques excursions temporaires dans les provinces et dans les pays étrangers. Il paraît que c'est à lui que l'on doit, non l'invention de la cire, fort ancienne, mais le perfectionnement des figures sculptées en cire, ou d'une composition particulière, et représentant en grandeur naturelle, avec leur costume et leurs habitudes ordinaires, et avec plus ou moins de ressemblance, des personnages morts ou vivants. Curtius établit deux salons, l'un au Palais-Royal, l'autre sur le boulevard St-Martin, et plus tard sur celui du Temple, après le théâtre de Nicolet. Tous les ans, il renouvelait les deux salons, et tous les mois il y changeait quelque chose. Le premier était plus spécialement consacré aux grands hommes, aux illustres notabilités. Dans le second étaient rangés les grands scélérats, les individus qui s'étaient fait un nom dans les classes inférieures de la société. On pense bien qu'il n'oublia point son homonyme Marcus Curtius. Comme le moderne Curtius faisait les bustes de tout ce qu'il y avait de plus distingué à la cour et à la ville, il gardait une copie des têtes les plus remarquables par leur caractère ou leur beauté, et il les exposait dans ses salons. Il modelait les rois, les grands écrivains, les jolies femmes et les voleurs. On y a vu Jannot et Desrues, le Comte d'Estaing et Linguet, le grand Frédéric et Voltaire, Catherine II et J.-J. Rousseau, Hayder-Aly et l'aéronaute Blanchard, Francklin et Cagliostro, la Comtesse de la Mothe-Valois et Mesmer, Buffon et Mlle Contat, la famille royale assise à un banquet et Louis XVI à côté de son beau-frère Joseph II, la réception des ambassadeurs de Tippou-Saïb, etc. L'aboyeur criait à la porte : Entrez, messieurs et dames, venez voir le grand couvert ; entrez, c'est tout comme à Versailles. Il n'en coûtait que deux sous ; pour douze sous, on approchait, on circulait près des figures ; et malgré la modicité des prix, Curtius faisait des recettes de 300 fr. par jour. On voyait aussi chez lui des objets précieux en peinture et en sculpture, des monuments antiques, des momies, des raretés telles que la chemise que portait Henri IV lorsqu'il fut assassiné, avec les certificats qui prouvaient l'authenticité de cette pièce ; enfin, toutes les nouveautés qui firent sensation à diverses époques. Curtius se montra patriote dès le commencement de la Révolution ; il exposa les figures de Lafayette, Bailly, Mirabeau et autres députés de l'assemblée constituante, celles des principaux détenus et vainqueurs de la Bastille, et deux modèles de cette forteresse-prison, l'un dans son état naturel, l'autre avec ses ruines. Mais Curtius devint girouette, comme bien des gens qui ne s'en vantent pas, et qui en ont fait comme lui un métier lucratif. Il offrit à l'hommage ou à l'horreur du public les grands hommes du jour, les grands hommes à la mode, triomphants ou victimes, et leur décernant l'apothéose ou le châtiment, suivant les circonstances. On vit ainsi tour à tour, dans ses salons, les girondins et les montagnards, Vergniaux et Danton, le duc d'Orléans et Philippe-Egalité, Marat et Charlotte Corday, le père Duchesne et Robespierre, madame Roland et le capucin Chabot, madame Tallien et Barras, Dumouriez et Talleyrand, Bonaparte, sa famille, ses maréchaux, ses favoris , et quelques-uns de ses chambellans et de ses sénateurs.
1989 Paris, Éditions C.A.C., 1989, in-4 toile, jaquette illustrée éd. 396 pp. 100 planches en couleurs et ill. noir et blanc.Préface de Jean Tulard. Les salons; les artistes pendant la Révolution; catalogue des artistes et des oeuvres présentées aux salons de 1789 à 1799. Nombreuses illustrations. Bon état.
Index Biblio La réorganisation des Salons sous la Révolution permet de découvrir un grand nombre de peintres: index de 300 artistes; notices biographiques; liste des oeuvres exposées; localisation des peintures retrouvées. Edition, 1989, in-4°, 396 pp, b/w ills., extensive bibliography, red publisher's cloth with dustjacket. Alphabetical list of the painters who contributed to the Salon exhibitions during the revolutionary period with a minute description of their exhibited works with, when available , an illustration. Very interesting source book for French painting during this period. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Imprimerie de Ch. noblet | Paris 1878 | 17.60 x 27.60 cm | relié
Edition originale, illustrée de nombreuses planches gravées, de salons, mobiliers et tableaux, sur papier fort. Portrait de rembrandt en double état. Exemplaire aux armes, peut-être de la famille Amaudric du Chaffaut ou Bouffard de l'Espinay. De pourpre à la colombe tenant un rameau d'or, en chef de trois feuilles d'agent sur or, le tout surmonté d'une couronne comtale et flanqué de deux licornes, avec la devise Fidelitas. Reliure en plein maroquin camel d'époque signée sur le contreplat L. Petit. Dos à nerfs orné de caissons à froid, armes en queue. Pièce de titre de maroquin brun. Double filet d'encadrement à froid sur les plat, grandes armes frappées aux centres. Large et riche frise intérieure. Tranches dorées. Au haut du plat supérieur, bande légèrement plus clair. La collection du Baron Léopold Double fut vendue du 30 mai au 4 juin 1881, rue Louis Le Grand. Elle fut une des plus célèbres de son temps par sa qualité et par son ampleur, et constituait la première grande collection d'arts décoratifs, d'objets ou de meubles de provenances prestigieuses (en particulier Marie-Antoinette qui était une véritable obsession pour le collectionneur).Lucien Double, le fils du Baron, a donné, dans cet ouvrage un aperçu des magnifiques collections de son père qui comptaient une douzaine au moins de salons de diverses époques, tous meublés dans les divers styles du temps, dont un salon du dix-huitième siècle qui n'avait de comparable que le salon des Singes, attribué à Watteau, à Chantilly. Ces salons furent reconstitués lors de la vente et l'auteur en donne une description précise. Aux cotés de la description des tableaux, objets ou meubles, le prix au crayon gris de l'adjudication, également sous chacune des planches, avec le numéro de la vente. La vente rapporta 2600000 Francs, ainsi qu'en atteste un papier claque devant la page de titre. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Moto revue. 1970. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. 32 pages agrafées - nombreuses photos en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Salons à Londres, deux salons un succès ! - dans le monde de la moto, le bol d'or 1971 au Mans - championnats de france de cross 1971, un règlement qui change tout - machines de cross et de tout terrain, évolution de la production tchécoslovaque - essai de la T 350 Suzuki, la moto-canon - elephants 71 : + 3°!..., pas de neige ! trop de spectateurs ! - infos vitesse - infos cross, pas de fumée sans feu. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues