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DEBRE JEAN-LOUIS
PIEGES
ROBERT LAFFONT. 1998. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 208 Pages. . . . Classification Dewey : 366.5-Sociétés secrètes
Reference : R160178478
ISBN : 222108814X
Classification Dewey : 366.5-Sociétés secrètes
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NOUVEAU MANUEL COMPLET DE L'OISELEUR ou Secrets anciens et modernes de la chasse aux oiseaux au moyen de pièges.
Paris : Léonce Laget, 1980, nouvelle édition entièrement refondue et considérablement augmentée. Réimpression en fac-simile offset de l'édition publiée à Paris. Tirage limité à 500 exemplaires. Reliure éditeur toile verte (17,5x12,5cm), dos titré et doré su fond rouge, 390 pages illustrées en noir, 12 planches en noir en fin d'ouvrage, explication des planches, en début d'ouvrage : De la loi sur la police de la chasse en date du 3 mai 1844 en ce qui concerne la chasse aux oiseaux" + Jurisprudence relative à la chasse aux oiseaux. [BE, petite tache en tranche de tête]
FABRICATION ET EMPLOI DES PIÈGES : Moyens d'attirer les oiseaux dans les pièges - Gluaux et pipée - Filets - Pièges sans détente - Chasses aux collets ou lacets - Pièges à détente spontanée / MŒURS ET HABITUDES DES OISEAUX ET CHASSES QUI LEUR SONT PARTICULIÈRES : Oiseaux de proie / Oiseaux de plaine et de bois / Oiseaux d'eau et de marais.
Aviceptologie française, ou Traité général de toutes les ruses dont on peut se servir pour prendre les Oiseaux ; avec une collection considérable de figures et de pièges propres à différentes chasses, par B. Sixième édition, revue, corrigée et augmentée d'un Traité succint du Rossignol, et d'un grand nombre d'Oiseaux de volière ou de chant, avec la manière de les nourrir, les élever et empailler ; suivi d'un petit Traité général sur diverses chasses, notamment de celle de Lièvre, du Lapin, du Blaireau, du Renard et du Loup, par J. C.
Paris, Chez Cussac, 1813 ; in-12, demi-veau glacé vert sapin, dos lisse, titre doré, faux-nerfs dorés, fleurons décoratifs dorés, tranches mouchetées ; (1) f. (faux-titre), XXXII pp., 447 pp., frontispice et 34 planches gravées hors-texte en fin d'ouvrage.
Selon Thiébaud (139), cette 6e édition serait la première avec le Traité du rossignol et avec le petit traité général sur diverses chasses de J. Cussac.Bel exemplaire, bien complet des 34 planches, dans une belle reliure de l'époque ; quelques mouillures claires sur les premiers feuillets.
Phone number : 06 60 22 21 35
VOILES & VOILIERS HORS SERIE N° 18 - J'apprends le GPS, ses principes, pièges et astuces, La prise en main, Les pièges du GPS, Choisir son appareil, Régler l'instrument, Des points et des routes, Créer un waypoint, Gérer les points, Programmer une route
SERNAS. 2004. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 50 pages. Nombreuses illustrations en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 797-Sports nautiques
Collection Premiers Bords. Sommaire : J'apprends le GPS, ses principes, pièges et astuces, La prise en main, Les pièges du GPS, Choisir son appareil, Régler l'instrument, Des points et des routes, Créer un waypoint, Gérer les points, Programmer une route, Naviguer au GPS, La route fond Classification Dewey : 797-Sports nautiques
MANUELS-RORET : NOUVEAU MANUEL COMPLET DE L'OISELEUR, ou Secrets anciens et modernes de la chasse aux oiseaux au moyen des pièges contenant la Fabrication des Filets et des divers Pièges, Appeaux, etc...; la Manière de tendre les Filets et les Pièges; les Moeurs et Habitudes des Oiseaux de passage et sédentaires et les Chasses qu'on leur fait avec le plus de profit, par M. J.-J. G..., Nouvelle édition entièrement refondue et considérablement augmentée, par M. Conrard, amateur...
Paris Encyclopédie Roret, L. Mulo 1897 in-12 broché un volume, broché in-douze Editeur (paperback in-12 Editor) (15,5 x 9,8 cm), couverture illustrée et imprimée en noir (cover illustrated and printed), toutes tranches non rognées, orné de 48 figures in-texte en noir + 12 planches hors-texte en noir in-fine, (XXXVI + 369 + 12 ff. de planches) Pages, 1897 Paris : Encyclopédie Roret, L. Mulo Editeur,
Collection : Manuels-Roret.......Bel Exemplaire....RARE.....en trés bon état (very good condition). en trés bon état
Les Bateaux-pièges (Q-Ships) contre les sous-marins allemands.
Payot, 1928, in-8°, 248 pp, traduit de l'anglais, 26 photos hors texte et 13 croquis dans le texte, broché, bon état (Coll. de Mémoires, études et documents pour servir à l'histoire de la guerre mondiale)
Durant la Première Guerre, il n'existait que peu d'armes anti sous-marines pour détecter et attaquer les U-Boots. Parmi toutes les idées avait germée celle de les prendre au piège. Si on lui offrait une cible facile, trop petite pour justifier l'usage d'une torpille, il était probable que l’U-Boot ferait surface pour la détruire au canon. Le navire-Q pouvait alors dévoiler sa propre artillerie et couler l'imprudent. Sous ce vocable mystérieux de "Navires-Q", se cachent des bateaux-pièges (en anglais : "Q-ships"). Les Britanniques les mettront en œuvre dés 1915. Les Français les imiteront l'année suivante. Ce sont de petits navires, cargos ou voiliers, choisis pour leur aspect commun et qui ne doivent pas attirer l'attention. Les canons sont camouflés derrière des cloisons amovibles, simulant des superstructures. Précaution supplémentaire, leurs cales sont remplies de tonneaux vides, de poutres de bois ou autres matériaux susceptibles de leur permettre de flotter (et continuer même à combattre) s'ils venaient à être torpillés. En plus des canons, on rajoute des mitrailleuses pour tirer sur l'équipage du sous-marin et, en particulier sur les servants de son canon ou les officiers présents sur le kiosque. La technique choisie voit le "Q-ship" croiser sur une route utilisée par les navires marchands. Il est même prévu qu'il se déguise en neutre, arborant des couleurs de compagnies maritimes de ces pays. Il est simplement recommandé d'arborer le pavillon national réel avant d'ouvrir le feu. Attaqués par un U-Boot, ils doivent se comporter comme un marchand, obéissant sans discuter à l'ordre de stopper. S'il est sous le feu du sous-marin, une partie de l'équipage, en civil, doit simuler une évacuation précipitée, pendant que l'autre reste, cachée, auprès des canons. Quand le sous-marin est assez proche, les fausses cloisons sont rabattues pour permettre le tir des canons. Si c'est possible, le "Q-ship" cherche à éperonner son adversaire. Le premier succès date du 24 juillet 1915. Le “Prince Charles” coule l’U 36... Au long du conflit, 180 "Q-ships" auront été armés par les Britanniques. Lors de 150 engagements, ils couleront 14 U-Boots, revendiqueront des dommages causés à 60 autres, pour le prix de 27 "Q-ships" coulés. Il faut noter aussi que jusqu'à la fin du conflit, les britanniques nieront l'existence de tels navires. La crainte de rencontrer ces bateaux-pièges conduira les Allemands à minimiser les risques en torpillant désormais sans avertissement le cargo rencontré. — Lors du déclenchement du conflit, Edward Keble Chatterton (1878-1944) s'engage dans la Royal Naval Volunteer Reserve (R.N.V.R.). Il finira par commander une flottille de bateaux-pièges à Queenstown (côte sud-ouest de l'Irlande). En 1919, il quitte la Marine avec le grade de capitaine de corvette. Il a publié trois volumes de souvenirs sur ses années de guerre, dont celui-ci où il décrit le combat du “Prince-Charles”, un bateau-piège anglais, et du sous-marin allemand U36, qui avait pour mission de s'attaquer aux navires de guerre dans le secteur ouest des Hébrides.
