FIRMIN DIDOT. 1929. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 216 pages. Frontispice en noir et blanc. Quelques planches illustrées en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : R160113349
Préface de Georges Huisman Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
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Firmin didot 1890 526 pages in12. 1890. Relié. 526 pages. avant propos et notes par M. Fs Barrière
Etat Correct couverture défraîchie bords frottés ancien livre de bibliothèque (étiquette tampons fiche...) intérieur jauni
Librairie Plon, E. Plon, Nourrit et Cie, Imprimeurs-éditeurs. 1900 3 Tomes, in-4 carré, reliure demi-basane bleue marine, 1re et 2e couvertures d’origine conservées, plats jaspés bleus, dos lisse orné de fleurons et de filets dorés, 4 000 gravures reproduites en fac-similé hors-texte et dans le texte, d’après les documents des bibliothèques publiques, musées, collections particulières, 676 pp. + 1ff. catalogue - 765 pp. - 646 pp. Bords légérements frottés, intérieur très frais. Très bel exemplaire.
Un ouvrage d’exception qui fait revivre le Paris du XIXe siècle. Paris de 1800 à 1900 comprend trois parties distinctes : 1er, La vie de Paris à travers le dix-neuvième siècle, présentée en cent tableaux chronologiques (un tableau par année) donnant de date en date tous les faits, les bruits de la rue, les livres nouveaux, les premières des théâtres, les prix du Salon, les statistiques de la population ; 2e, La vie de Paris racontée d’année en année par les écrivains importants ; 3e, La vie de Paris dans ses événements sensationnels d’après les journaux, les mémoires du temps, pamphlets, plaquettes, pièces des archives, relations des voyageurs étrangers etc. L’ouvrage est enrichi de plus de 4 000 gravures d’après les estampes de la Bibliothèque Nationale, du Musée Carnavalet, du Louvre, des collections particulières etc. avec tables des matières, tables analytiques, plans topographiques, etc. Bon état d’occasion
Paris: Plon, 1900 3 vol in-4, iv-676, 765 et 646 pages, riche illustration. Reliure percaline verte historiée d'éd., tranches dorées, plats poussiéreux, très bon état intérieur, bon état dans l'ensemble.
Paris de 1800 à 1900 d'après les estampes et les mémoires du temps. Ouvrage illustré de 4000 gravures reproduites en fac-similé d'après les documents de bibliothèques publiques, musées, collections particulières. Tome I : 1800-1830, Le Consulat, le Premier Empire, la Restauration; Tome II : 1830-1870, La Monarchie de Juillet, la Seconde République, le Second Empire; Tome III : 1870-1900, Troisième République. [complet en 3 volumes] (Paris: Plon, 1900) [M.C.: Paris, histoire]
Précieux exemplaire ayant appartenu à la célèbre comtesse de Tencin. Amsterdam, Pierre Rouge, 1700. 4 tomes en 4 volumes in-12 de : I/(5) ff. dont 1 portrait, 456 pp., (8) ff., pte. dech. sans manque p. 249; II/ 440 pp., (7) ff., pte. bande de papier découpée ds. la partie sup. du titre; III/ 478 pp., (8) ff.; IV/ 442 pp., (11) ff., pte. bande de papier découpée ds. la partie sup. du titre. Plein veau brun, dos à nerfs ornés de fleurons dorés, tranches mouchetées. Reliure de l’époque. 147 x 80 mm.
Edition peu courante de cet ouvrage dont s’inspira Dumas pour ses Trois Mousquetaires. Courtilz de Sandras (1644-1712) fut lui-même mousquetaire avant de quitter l’armée pour vivre de sa plume. Rare édition de cet ouvrage «très curieux» (Jacob), la source des célèbres Trois Mousquetaires d’Alexandre Dumas. «M. Alexandre Dumas s’est avantageusement servi de l’ouvrage rédigé par Courtils de Sandras pour son roman intitulé les Trois mousquetaires.Les noms d’Athos, Portos et Aramis, ces noms si pittoresques y sont écrits en toutes lettres; les duels, les amours de D’Artagnan et ses aventures avec Milady y sont bien réellement racontées.» (Quérard). «Il faut voir dans les Mémoires de d’Artagnan une préfiguration du roman réaliste car Courtilz de Sandras ne leur donna cette apparence de vérité historique que pour mieux captiver ses lecteurs.Dans la préface l’auteur prétend puiser la matière de son œuvre dans les papiers de D’Artagnan» (Dictionnaire des Auteurs, I, 699). « Trois écrivains ont collaboré aux Trois Mousquetaires : Gatien de Courtilz pour le scénario et l’intrigue ; Maquet pour la rédaction grossoyée, le brouillon et en quelque sorte la maquette ; Alexandre Dumas pour l’animation du récit et les dialogues, la couleur, le style, la vie. » (Henri d’Alméras) Dans les Mémoires de Mr de d’Artagnan s’élabore le mythe du gentilhomme de peu qui joue un rôle important dans un ordre social senti comme immuable. Gatien de Courtilz sieur de Sandras (1644-1712) vécut une existence assez tumultueuse en raison de ses écrits polémistes. «La hardiesse de sa plume lui valut douze années de Bastille.» (Quérard). Il livre dans ses écrits un tableau coloré de la fin du grand siècle, riche en anecdotes et scandale. L’auteur écrira l’ouvrage à la Bastille où il aurait rencontré D’Artagnan et où les livres censurés, saisis, étaient déposés dans son "enfer", qui deviendrait "la plus belle bibliothèque, soigneusement inventoriée, des ouvrages interdits du royaume". (Portier des Chartreux). Souvent réédité malgré saisies et interdictions, ce texte brode sur la vie réelle de Charles de Batz-Castelmore, comte d’Artagnan (1600-1673), mousquetaire au service de Mazarin. L’écrivain avait publié un Testament politique dans lequel il critiquait ouvertement l’absolutisme du roi Louis XIV. Les Mémoires de d’Artagnan sont pour l’auteur une nouvelle occasion d’élaborer une critique du régime. Précieux exemplaire provenant de la bibliothèque de la célèbre comtesse de Tencin. Claudine-Alexandrine Guérin de Tencin, baronne de Saint-Martin de l’isle de Ré, née le 27 avril 1682 à Grenoble, morte le 4 décembre 1749 à Paris, est une femme de lettres et salonnière française. Elle est la mère de d'Alembert. Après vingt-deux années passées de force au couvent, elle s'installe à Paris en 1711 et est introduite dans les milieux du pouvoir par ses liens avec le cardinal Dubois. Six ans plus tard, elle ouvrira l'un des salons les plus réputés de l'époque. D'abord essentiellement consacré à la politique et à la finance avec les spéculateurs de la banque de Law, ce salon devient à partir de 1733 un centre littéraire. Les plus grands écrivains de l’époque le fréquentent, en particulier Fontenelle, Marivaux, l’abbé Prévost, Charles Pinot Duclos et plus tard Marmontel, Helvétius, Marie-Thérèse Geoffrin et Montesquieu. Madame de Tencin a publié aussi avec succès quelques romans dont les Mémoires du comte de Comminge en 1735, Le Siège de Calais, nouvelle historique en 1739 et Les Malheurs de l’amour en 1747. «Aux «précieuses ridicules» du XVIIesiècle succède l’esprit des Lumières, que le salon de Mme de Tencin incarne à merveille: il mêle l’intrigue politique aux discussions philosophiques les plus hardies. Claudine Guérin de Tencin (1682-1749) s’installe à Paris en 1711. Maîtresse du Régent, elle fréquente les cercles du pouvoir et ouvre, en 1717, un des salons les plus réputés de l’époque. Ce salon, appelé «le bureau d’esprit», est d’abord essentiellement consacré à la politique et à la finance avec les spéculateurs de la banque de Law. En 1733, il évolue pour devenir un centre littéraire et philosophique de premier plan. Les plus grands écrivains du moment le fréquentent: Fontenelle, Marivaux, l’abbé Prévost, Marmontel ou Montesquieu. Mme de Tencin est la mère de d’Alembert. Elle a également publié avec succès quelques romans». (Gallica).
Reference : CZC-12901
Complet en 3 volumes, in-8 plein cuir, très légères usures 439+462+429 pages illustrées de nombreuses gravures extraites de l’œuvre de Jacques Callot et d'Abraham Bosse, fournies par Bulloz, et d'autres. Jean de Bonnot, 1976
Charles de Batz-Castelmore, comte d'Artagnan, plus connu sous le nom de d'Artagnan, homme de guerre français né entre 1611 et 1615 au château de Castelmore, près de Lupiac, en Gascogne et mort au siège de Maastricht le 25 juin 1673, pendant la guerre de Hollande. On connaît peu de choses du véritable d'Artagnan. Il n’existe de lui qu’un portrait dont l’authenticité n’est pas garantie, et des mémoires apocryphes parus en 1700, soit 27 ans après sa mort. Mélangeant le réel et l'imaginaire, ils furent rédigés par Gatien de Courtilz de Sandras (*) à partir de notes éparses laissées par d'Artagnan. Gatien de Courtilz découvrit la vie du héros gascon pendant un de ses séjours à la Bastille, alors que Baisemeaux, ex-compagnon de d’Artagnan, en était gouverneur. Alexandre Dumas s'est inspiré de ces mémoires pour composer son personnage de d'Artagnan, héros notamment des Trois Mousquetaires. (*) Gatien de Courtilz de Sandras (1644, Montargis – 8 mai 1712, Paris). Engagé dans la compagnie des Mousquetaires, il quitte l'armée au bout de 18 ans pour devenir polygraphe et vivre de sa plume. Auteur fécond et imprudent, il est emprisonné plusieurs fois à la Bastille.