CHANTH ARTS ET LETTRES. NON DATE. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos plié, Quelques rousseurs. 210 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : R160113268
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
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1 album grand in-8 pleine percaline oblong bordeaux, Les Asiles John Bost à La Force (Dordogne). Reconnus comme Etablissements d'Utilité Publique par Décret du 7 Septembre 1877 [ Album photographique contenant 12 clichés format 17,5 x 13 cm ], s.d. [ circa 1895 ]Le temple et la logement du Directeur Général ; La Comptabilité ; La Famille : Asile fondé en 1848 pour des jeunes filles : 1° Orphelines ; 2° Placées dans un mauvais entourage ; 3° De Protestants disséminés ; Siloé : Asile fondé en 1858 pour des garçons : 1° Infirmes ou incurables 2 ° Aveugles 3 ° Idiots ; Béthesda : Asie fondé en 1855 pour des jeunes filles : 1° Infirmes ou Incurables 2° Aveugles 3° Idiotes ou faibles d'esprit ; Eben-Hézer : Asile fondé en 1862 pour des jeunes filles épileptiques ; Béthel : Asile fondé en 1863 pour des garçons épileptiques ; Le Repos : Asile fondé en 1875 pour des Institutrices incurables, des Dames Veuves ou des Demoiselles sans ressources ; La Retraite : Asile fondé en 1876 pour ses Servantes et des femmes infirmes ou sans ressources que leur éducation ne permet pas d'admettre au Repos ; La Miséricorde : Asile fondé en 1878 pour des filles : 1° Idiotes ou gâteuses 2° Epileptiques ou Infirmes ; La Compassion : Asile fondé en 1881 pour des garçons 1° Idiots ou gâteux ; 2° Epileptiques ou Infirmes ; Bethesda nouveau construit en 1891
Fondés en 1848 par le pasteur Jean Antoine (dit John) Bost, les "Asiles John Bost" de La Force (Dordogne) furent créés pour accueillir en milieu semi-ouvert des personnes en situation de détresse sociale et des enfants handicapés, malades, incurables pour lesquels rien n’était alors prévu. Etat très satisfaisant (cartonnage frotté, un feuillet débroché, gardes frottées, bon état par ailleurs) pour ce témoignage photographique peu commun.
[Imprimerie de l'Apôtre de Marie] - Collecti ; Mère Elisabeth Supérieure Provinciale des Filles de Marie Immaculée 1842 - 1910
Reference : 28926
(1910)
1 vol. in-8 br., Nivelles (Belgique), Imprimerie de l'Apôtre de Marie, s.d. (circa 1910), 64 pp.
Intéressant ouvrage évoquant notamment l'installation en Corse des Filles de Marie (communauté d'Olmeto, pensionnat d'Ajaccio ou établissement de Nuoro). Etat satisfaisant (ancienne cote de bibliothèque au dos en queue, dos frotté en tête, bon état par ailleurs) Peu courant
[L'Echo de la Sorbonne. Moniteur de l'Enseignement Secondaire des Jeunes Filles] - Collectif
Reference : 46293
(1868)
6 vol. in-4 reliure demi-basane bleue, 1868-1871, L'Echo de la Sorbonne. Moniteur de l'Enseignement Secondaire des Jeunes Filles. Cours Complet d'Enseignement Secondaire.Rappel du titre complet : L'Echo de la Sorbonne. Moniteur de l'Enseignement Secondaire des Jeunes Filles. Cours Complet d'Enseignement Secondaire en Trois Années rédigé conformément au programme des Cours de la Sorbonne (3 Parties en 6 Volumes - Complet) Volume 1 : Cours de Première Année 1868-1869 N°1 à 78 ; Volume 2 : Cours de Première Année 1869 N° 79 à 156 ; Volume 3 : Cours de Deuxième Année 1869 N°1 à 78 ; Volume 4 : Cours de Deuxième Année 1869-1870 N°79 à 156 ; Volume 5 : Cours de Troisième Année 1870-1871 N°1 à 78 ; Volume 6 : Cours de Troisième Année 1870-1871 N° 79 à 156
Rare ensemble parfaitement complet réunissant les trois années . Etat très satisfaisant (rel. frottée, un accroc au dernier feuillet, très bon état intérieur par ailleurs).
1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul.
Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...
PRESSES D'AUJOURD'HUI. MAI 1976. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Mouillures. Paginé de 1765 à 2032.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Revue fondée par Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir. Sommaire : PRESENTATION. — Une petite fille ça existe .PREFACE. — Les petites filles perdues et retrouvéesELISABETH DE FONTENAY. — Pour Emile et par Emile, Sophie ou l'invention du ménageLEILA SEBBAR-PIGNON. — Mlle Lilli ou l'ordre despoupées .VERONIQUE NAHOUM. — Historiettes pour petites filles ANNE-MARIE, HEDWIGE, LAURE, MARIE-JOSE. — Des livres et des filles ..COLETTE GUTMAN. — Blanche-Neige en trente secondes ..MAHIE-CLAIRE PASQUIER. — Dix petites filles ..PIERRETTE PEZERAT. — La vertu nécessaireEVELYNE LE GARREC. — De fil en aiguille et de mères en filles .MARTINE M. — Les petites filles de l'Etat..NANCY HUSTON, YASMINA SALHI. — Jouer au papa et à l'amant GENEVIEVE FRAISSE. — La petite fille, sa mère et l'institutrice MARTINE STORTI. — Les institutrices au lieu des petites filles GENEVIEVE, JOSETTE, MARTINE. — « Elle n’en est pas moins une femme »..».. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues