Jean-Claude SIMOEN. 1977. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 302 pages; long envoi de l'auteur sur page de titre.. . . . Classification Dewey : 990-Histoire générale des autres pays
Reference : R160078478
Classification Dewey : 990-Histoire générale des autres pays
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
Jean-Claude Simoën, 1977, in-8°, 303 pp, broché, bon état
Né en 1925, Masmoudi préside en 1949 la fédération du parti du Néo-Destour en France. Il est nommé ministre d'Etat en 1954, dans le gouvernement de Tahar Ben Ammar, ce qui le conduit à négocier l'autonomie interne de la Tunisie vis-à-vis de la France. En 1956, en tant que ministre de l'Economie, il est membre de la délégation tunisienne qui participe à la cérémonie qui met fin au protectorat français. Après l'indépendance de la Tunisie cette même année, Masmoudi siège au bureau politique du Néo-Destour et occupe un certain nombre de postes, comme celui de secrétaire d'Etat à l'Information du 30 décembre 1958 au 7 octobre 19611 et au Tourisme du 31 décembre 1960 au 7 octobre 1961. Il se rapproche de l'équipe de l'hebdomadaire Action (devenu plus tard Afrique Action), notamment Béchir Ben Yahmed ou Mohamed Ben Smaïl. Mais, en 1958 et en 1961, il est limogé en raison des positions adoptées par le journal et jugées critiques à propos du procès de Tahar Ben Ammar et du « pouvoir personnel » du président Habib Bourguiba. Le 13 février 1965, il remplace Hassen Belkhodja au poste d'ambassadeur de Tunisie en France. Il occupe ce poste jusqu'au 12 juin 1970, date à laquelle il est nommé ministre des Affaires étrangères en remplacement d'Habib Bourguiba Jr., le fils du président Bourguiba, qui devient à son tour ambassadeur de Tunisie en France. Masmoudi devient alors l'un des instigateurs du projet avorté d'union tuniso-libyenne en 1974, qui devait unifier les deux pays. Principal membre du gouvernement tunisien à soutenir cette union car elle aurait été selon lui bénéfique pour l'économie tunisienne, il en aurait été vice-Premier ministre si le projet avait été mené à bien. Etant donné l'échec auquel mène ce projet, le président Bourguiba le destitue de ses fonctions le 14 janvier de la même année. En 1977, Masmoudi publie Les Arabes dans la tempête édité aux éditions Jean-Claude Simoën. Il y écrit notamment une longue lettre ouverte à Bourguiba...
Paris, Jean-Claude Simoën, 1977. In-8, broché.
Envoi de l'auteur. [11702]