SEUIL. 1960. In-12. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Coiffe en pied abîmée, Intérieur frais. 251 pages; dos et coins frottés.. . . . Classification Dewey : 830-Littératures des langues germaniques
Reference : R160064479
Traduit de l'allemand par S. et G. de Lalène. Classification Dewey : 830-Littératures des langues germaniques
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Paris, Veuve Chapoulaud, s.d. (fin XVIII ème siècle). Vue d'optique gravée et mise en couleurs, 51 x 32,5 cm, bon état.
Le premier pont connu par l'iconographie est le Pont de Pierre ou Pont Mathilde. Ce pont avait été donné à la ville par Mathilde l'Emperesse, petite fille de Guillaume le Conquérant (et non pas Mathilde de Flandres, son épouse). Construit vers 1160, il a eu un grande longévité puisqu'il ne disparut qu'au début du XVIIe siècle. Construit en 1626, le Pont de Bateaux resta en usage jusqu'en 1829. La maintenance du Pont de Bateaux était onéreuse et son fonctionnement peu pratique. L'idée de refaire un pont de pierre n'avait pas été abandonnée. Plusieurs projets avaient été soumis depuis le début du XVIIe siècle, aucun n'avait abouti. En 1789, un ingénieur du nom de Lamandé proposa un nouveau pont. Pour garantir l'intégrité du bassin portuaire, il situait le franchissement projeté à la pointe de l'île Lacroix. Le Pont Corneille fut construit en 1829 et le pont de bateaux détruit en 1839. Jacques Tanguy, Rouen-Histoire.com.
Lyon, J.B. Gadola, [1855]. 410 x 570 mm.
Très rare et superbe panorama de la ville de Lyon, lithographié par Jean-Pierre Thénot d'après une esquisse de Francisque Longchamp, et finement colorié à l'époque. La vue, prise depuis le quai de la Pêcherie sur la rive gauche de la Saône, est axée sur le quartier de Lyon compris entre le pont de la Feuillée et le pont Saint-Vincent, avec le quai de Bondy et la colline de Fourvière. Sur la colline, on distingue l'ancienne chapelle avec le clocher surmonté des deux étages construits en 1849, et de la statue de la Vierge, installée en 1852. À côté de ce clocher figure la tour carrée de l'observatoire, construite en 1831, et qui présente encore ses quatre étages. Cette tour fut réduite à deux étages en 1858 car sa présence jurait à côté du nouveau clocher. La basilique, construite entre 1872 et 1884, est logiquement absente. La vue s'étend au nord jusqu'à l'embarcadère des bateaux à vapeur et le Coteau des Chartreux, et au sud jusqu'à l'église Saint-François et le pont Tilsitt. Les noms des bâtiments et lieux majeurs sont inscrits dans les marges, au-dessus ou au-dessous de leur position dans le dessin. Dans la marge haute figurent : l'église Saint-François ou Saint-François-de-Sales, construite en plusieurs étapes entre 1807 et 1847 ; le pont Tilsitt, renommé pont Bonaparte en 1964 ; le pont du Palais, construit en 1844, puis démoli en 1972 pour être remplacé par la passerelle du Palais-de-Justice inaugurée en 1983 ; la cathédrale Saint-Jean ; Fourvière ; le rocher de Pierre-Seize ou Pierre-Scize, occupé par le château Pierre Scize jusqu'en 1793 ; l'embarcadère des bateaux à vapeur, qui se trouvait sur l'ancien quai de la Peyrollerie, aujourd'hui quai Pierre Scize ; et le coteau des Chartreux. Dans la marge basse, l'auteur a identifié : le pont Némours ou Nemours, dont le nom est attesté en 1844 et officiellement attribué en 1852, aujourd'hui disparu et remplacé, plus en aval, par le pont Maréchal juin en 1973 ; le pont de la Feuillée, ouvert au public le 28 septembre 1831 ; l'hospice de Lantiquaille ou de l'Antiquaille, qui assura la prise en charge des aliénés du Rhône jusqu'en 1876, et dont les bâtiments ont été déclassés en 2003 ; le Lazariste ou pensionnat des Lazaristes, situé sur la colline de Fourvière, ouvert en 1839 et dont le bâtiment héberge aujourd'hui le centre scolaire "Aux Lazaristes" ; le quai des Augustins, ancien quai correspondant aujourd'hui à la partie sud du quai Saint-Vincent ; et le pont ou passerelle Saint-Vincent, inauguré en 1832. On distingue sur le quai de la Pêcherie les enseignes de trois hôtels, dont l'un porte le nom de Hôtel St Jean, et un immeuble portant le nom de Le Verney. Nous ne savons pas s'il existe un lien entre le nom de cet immeuble et le peintre lyonnais François Vernay (1821-1896), dont une rue de Lyon porte aujourd'hui le nom, à proximité de cet emplacement. Sur la Saône, on peut voir plusieurs bateaux-lavoirs, et quelques embarcations, dont un bateau à aube. Les quais et les ponts sont animés de promeneurs, cavaliers et calèches. Très rare. Nous n'avons trouvé aucune trace de cette vue, ni de son auteur Francisque Longchamp. Le lithographe Jean-Pierre Thenot était aussi peintre, aquarelliste, dessinateur, et écrivain. Il fut l'élève de Jean Thomas Thibault et exposa au Salon de Paris de 1827 à 1857. En tant que peintre, il s'intéressa à la perspective ; en tant qu'auteur, il est connu pour ses ouvrages intitulés Cours de lithographie et Essai de perspective. Nous avons de lui deux autres panoramas de Lyon lithographiés, de plus petites dimensions et également publiés par Gadola, un Panorama des quais du Rhône, vue prise du café de Paris (rive gauche du fleuve) et un Panorama du coteau de Fourvières (Bibliographie de la France ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 1855, p. 949, 2688, et 1856, p. 936, 1899). Bel exemplaire.
du nom de la Reine qui l'a inauguré en 1852 (le 23 février) ; commencé en 1845, il enjambe le Guadalquivir, est le premier pont fixe de Séville et remplace le pont flottant. C'est en 1824 qu'il est envisagé de construire un pont permanent et que sa construction est encouragée par un décret royal.
La scène nous fait voir de nombreux drapeaux et oriflammes sur toute la longueur du pont, constitué de trois arches qui relient les deux piles de chaque bord aux deux piles immergées, et le tablier avec des grilles de sécurité. De nombreuses barques pleines de personnages circulent de part et d'autre du pont qui, lui, est occupé sur toute sa distance de nombreux personnages civils, militaires et religieux. Au loin, derrière le pont, on peut apercevoir la fameuse Torre del Oro, tour d'observation militaire construite au début du XIIIe siècle par les Almohades, et plus loin La Giralda, ancien minaret transformé en église. Belle aquarelle réalisée pour cet évènement ; à gauche, l'avenue Reyes Católicos et à droite, le quartier de Triana qui fut, du temps des Romains, un quartier d'artisans de terre cuite et de céramique.Il est intéressant de noter que ce pont est inspiré du pont du Carrousel de Paris (détruit en 1931).Cette aquarelle ne porte aucune signature.
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[S.T.E.A.C.] - S.T.E.A.C. ; Société Technique et économique pour l'aménagement du Canal des Deux-Mers
Reference : 41856
(1947)
Dossier technique sous chemise in-4, 22 octobre 1947, comprenant 22 pièces (sur 25). Bordereau des pièces du dossier : 0 :Bordereau des Pièces du dossier ; 1 : Mémoire descriptif ; 2 : Carte d'ensemble 1/200.000 ; 3 : Profil en long général 1/2000 - 1/200.000 ; 4 : Plan de situation topographique (manque) ; 5 : Profils en travers type 1/500 ; 6 : Profil en long général géologique (manque) ; 7 : Rapport géologique de M. le Professeur Lugeon avec avant-propos ; 8 : Ecluse-type de 22m20 de hauteur de chute. Plan d'ensemble et coupes 1/2000 ; 9 : Ecluse type de 22m20 plan coupe (manque) ; 10 : Ecluse type de 22m20 de hauteur de chute. coupes transversales 1/500 ; 11 : Barrage type de Blagnac sur la Garonne. Elévation côté amot et plan coupe 1/200 ; 12 : Barrage-type de Blagnac sur la Garonne. Coupe transversale 1/200 ; 13 : Pont-Canal de Montech sur la Garonne. Plan d'ensemble en élévation au 1/1000 et 1/1500 ; 14 : Pont-Canal de Montech sur la Garonne coupes 1/200 ; 15 : Ouvrages de garde. Pkan et coupes ; 16 : Pont-Mobile ascenseur. Elévation coupe au 1/500 ; 17 : Pont-mobile basculant à la volée. Elévation et coupe au 1/500 ; 18 : Tunnels. Route. Coupes transversales 1/50 ; 19 : Perspective d'un chantier normal de déblais en terre et en rocher ; 20 : Perspective de grands remblais à l'Est du Pont-Canal de Montech sur la garonne ; 21 : Perspective des chantiers de terrassements de la tranchée de Naurouse ; 22 : Carte d'ensemble des besoins et des ressources en matériaux de construction. Lieu d'utilisation. Moyens et distances de transports 1/200.000 ; 23 : Devis estimatif et récapitulation générale (adapté au prix 1947 par les Entreprises A. Borie et C. Montcocul) ; 24 : Rapport économique
Rare exemplaire du dernier dossier d'avant-projet proposé par la Société Technique et économique pour l'aménagement du Canal des Deux-Mers en octobre 1947. Fondée en juillet 1928, la STEAC avait déjà présenté des avant-projets en mars 1931, juin 1932, juin et novembre 1933 et mai 1939. Aux dimensions gigantesques (ouvert aux plus grands paquebots et cuirassés), ce canal devait partir du sud de Bordeaux pour déboucher sur la Méditerranée près de Narbonne. Le présent exemplaire contient 22 sur les 25 pièces indiquées. On s'aperçoit que tous les espoirs de construction du Canal n'avaient pas disparu avec la guerre. Avec toutes ses élévations et ses coupes, ce dossier technique offre une somme de renseignements techniques incomparable.
Chez Bachelier, Libraire pour les Mathématiques, la Physique, les Arts mécaniques, etc. | Paris s.d. [1824-1825] | 15 x 22 cm | relié
Edition originale. Illustré d'une lithographie représentant des coupes et vues du projet du pont de Tain-Tournon,alors en construction. Relié en demi basane marbrée à coins, dos lisse orné de filets dorés et fleurons dorés, pièce de titre de maroquin rouge, plats de papier marbré, gardes et contreplat de papier marbré, filet doré en encadrement. Dos, coiffes et coins frottés, reliure signée de Stroobants. Rarissime opuscule de Seguin sur un prototype de pont suspendu,construit sur la rivière de la Galore, à Saint-Vallier en Isère. Il servit de travail préparatoire au pont de Tain-Tournon, le premier grand pont suspendu en fil de fer au monde, grace à l'invention du faisceau de fils de fer par Marc Seguin. * Il s'agit de la première étude publiée en volume par Seguin sur ses essais de ponts suspendus en câbles de fer. Sa publication l'année précédente Des ponts en fil de fer précédait ses premières constructions et demeurait seulement théorique. Seguin a préconisé l'utilisation de câbles métalliques en fils de fer trefillés au lieu de chaînes en vogue chez ses prédécesseurs. Le pont expérimental, décrit avec force détails et calculs, dans la présente étude était destiné au passage des piétons, des cavaliers et des bêtes de somme, et s'élevait à 5 mètres au dessus du niveau de l'eau pour une longueur totale, d'un milieu de pilier à l'autre de 30 mètres. Les résultats de cette première construction décrite ici seront republiés dans un chapitre de la seconde édition deDes ponts en fil de fer en 1826. Après cet essai couronné de succès, "M.Seguinregarda comme parfaitement démontrée la possibilité de fournir un passage de ce genre sur les plus grands fleuves, non-seulement aux piétons, mais aux plus lourdes voitures. Le gouvernement ayant accordé aux frèresSeguin, le 22 janvier 1824, l'autorisation de construire, à leurs périls et risques, unponten fils de fer sur le Rhône, entre Tain et Tournon, ceux-ci mirent aussitôt la main à l'uvre, et activèrent d'autant plus vigoureusement l'exécution d'un travail qu'ils avaient promis de terminer en dix-huit mois, que tous les hommes de l'art avaient les yeux fixés sur eux, pour s'assurer du degré de confiance que méritaient ces nouveaux constructeurs étrangers jusqu'alors aux travaux publics. La promesse donnée fut scrupuleusement tenue, et lepontde Tournon, le premier en fils de fer qui ait été jeté sur un grand fleuve, fut solennellement inauguré le 25 août 1825. Cepont, qui se compose de deux travées égales, chacune de 85 mètres d'ouverture, et de deux culées et une pile, satisfit pleinement tous les désirs" (Abbé Filhoi). Suivant la réussite du pont de Tournon, Seguin et ses frères construisirent pas moins d'une centaine de ponts suspendus en l'espace d'une vingtaine d'années. Cet opuscule au tirage très confidentiel, fut publié plusieurs mois avant l'achèvement du pont de Tournon, dont Seguin mentionne les déboires de construction et la date espérée d'inauguration : « Cette grande construction a été commencée le 12 mai 1824. Des eaux constamment élevées pendant l'été nous ont forcés de faire toutes nos fondations à un mètre environ au-dessous du niveau de l'eau, au moyen d'une cloche à plongeur très simple de notre invention, dont je me propose de publier la description et qui ne sera pas j'espère sans intérêt pour l'art. A peine avions-nous commencé à couler nos bétons qu'une crue extraordinaire enleva nos ponts de services ainsi qu'une partie des encrèchements et du béton. Mais quelques semaines favorables à nos travaux ont suffi pour tout réparer, et nous donner l'espérance que dans le courant de juillet 1825 le pont pourra être livré au public. » Cette précision nous éclaire sur les circonstances et les raisons de la publication de cet opuscule dont il ne demeure presqu'aucune trace, à l'exception de quelques rares exemplaires dans les bibliothèques européennes. Le nôtre, relié par Stroobants, est celui de l'auteur, conservé dans la famille jusqu'à ce jour. Les prob
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