SEUIL. 1979. In-12. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Dos frotté, Intérieur frais. 184 pages; quelques rousseurs sur premières pages.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Reference : R160062128
ISBN : 2020052679
Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
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[Librairie Plon, Plon-Nourrit et Cie, Imp. de veuve Weins, Imprimerie de Vanwormhoudt,] - COCHIN, Henry ; BARTHELEMY ; LAMARTINE, Alphonse de
Reference : 63506
(1831)
Avec huit gravures hors texte, troisième édition, 1 vol. petit in-8 reliure postérieure demi-chagrin brun, dos à 5 nerfs, couvertures conservées : Lamartine et la Flandre, Troisième édition, Librairie Plon, Plon-Nourrit et Cie, Paris, 1912, XXVI-442 pp. [ Suivi de : ] A M. de Lamartine, Candidat à la Députation de Toulon et Dunkerque, Extrait de la 13ème Livraison de Némésis, par Barthélémy, Imp. de veuve Weins, 2 ff. [ Edition originale ] [ Suivi de : ] Electeurs ! Nommons M. de Lamartine, Bergues, 5 juillet 1831, 1 f. [ Edition originale ] [ Suivi de : ] Electeurs ! Laet ons myn heer De Lamartinenaemen. bergen den 5 julius 1831 [ Edition originale ] [ Suivi de : ] A Messieurs les Electeurs du 2me arrondissement de Dunkerque, par Alphonse de Lamartine, 24 juin 1831, Imprimerie de Vanwormhoudt, Dunkerque, 2 ff. [ Edition originale ] [ Suivi de : ] Explication aux Electeurs, par Alphonse de Lamartine, Hondschoote, 2 juillet 1831, 2 ff., [ Edition originale ] [ Suivi de : ] A Messieurs les Electeurs du 2me Arrondissement de Dunkerque, par Alphonse de Lamartine, Hondschoote, 2 juillet 1831, Vanwormhoudt, Imprimeur du Roi, Dunkerque, 1 f. dépliant [ Edition originale ] [ Suivi de : ] A Messieurs les Electeurs de l'arrondissement de Bergues, par Alphonse de Lamartine, St-Point, 22 octobre 1837, Imp. de Vanwormhoudt, Dunkerque [ Edition originale ] [ Suivi de : ] A Messieurs les Electeurs de l'arrondissement de Dunkerque - Bergues, par Alphonse de Lamartine, St-Point, 17 novembre 1837, Imp. de Vanwormhoudt, Dunkerque, 7 pp.
Remarquable exemplaire recueillant, in-fine, 7 très rares prospectus électoraux, en édition originale, relatifs aux candidatures d'Alphonse de Lamartine aux élections de la ville de Bergues (Nord). Eugénie, la soeur de Lamartine et épouse du Baron Coppens et seigneur d’Hondschoote, l’avait incité à se présenter à la députation. Battu une première fois, il sera élu député de Bergues en janvier 1833. Bon exemplaire (ex-libris Robert Thibaut).
Paris, A La Belle Édition [François Bernouard], 1919. Grand in-8 broché (25,5 x 16,5 cm), couverture beige imprimée. Édition originale. Illustrée de 6 dessins originaux hors-texte d'André Favory, André Lhote et André Dunoyer de Segonzac. Tirage à 315 exemplaires, celui-ci le n° 220 sur vergé d'Arches. Petit envoi autographe signé de Jules Supervielle. Bon exemplaire, exempt de rousseurs.
Iouxte la coppie imprimée à Paris par Iean Le Begue, 1614. Petit in-8 broché (155x105 mm) sous couv. pastiche muette, 23 pp., marque au titre, bandeau et lettrine gravés.
L'un des pamphlets exhortant les Princes à la raison, contre les manigances et intrigues fomentées par le Prince de Condé : "Qui croira (messieurs) que vos intentions soient si iustes, si vos actions sont si rebelles, qui croira que vous desiriez reformer la France, si vous y semez le desordre, & qui croira que les plaintes du peuple vous ayent touchées, si les soupirs des Champenois n'approchent point de vos oreilles : où trouuerez-vous des loix qui vous dispensent de l'obeissance que vous deuez, & de quelle eau lauerez-vous les taches dont la pposterité couurira vos entreprises ?." Ce volume fait partie des "Recueils verts", N° 29 bis. Bonne condition, malgré une mouillure marginale en pied des feuillets. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
A Paris, chez Desnos, sans date š[1802]. Un volume relié (6,5 x 11,5 cm) de un frontispice gravé coloré à la main, 8 pages de musique notée, 96 pages et 11 gravures hors-texte, 48 pages [Le Secrétaire des dames et des messieurs, ou Dépositaire fidèle & discret, et à double usage] et deux calendriers dépliants pour l'an 1802, avec les mois révolutionnaires et les signes astrologiques au dessus des colonnes de chaque mois, imprimé chez Demoraine à Paris. Reliure plein maroquin rouge, dos lisse cloisonné et fleuronné, pièce de titre verte, encadrement de triple filet doré sur les plats, hachuré doré sur les coupes, tranches dorées, gardes doublées de papier bleu, in fine les pages de garde sont réunies entre elles par des volets de tissus ce qui forme une sorte de pochette, la gouttière abrite trois passants de maroquin rouge orné qui devaient contenir à l'origine le stylet minéral et qui dans notre exemplaire servent de fermoirs à l'aide d'une grande épingle. Une page avec de légères rousseurs sinon très bel exemplaire, almanach vierge de toute inscription sur beau papier fort dans une reliure très raffinée. Manque le stylet, comme toujours serions-nous tenter de dire.Les gravures sont en très bel état et très finement réalisées. Cet almanach d'abord titré Les Muse à Cythère ou Élite de Chansons... en 1783, fait partie d'Anacréon en Belle humeur. Grand Carteret n°752, page 188. Jules Gay dans sa Bibliographie des ouvrages relatifs à l'amour, aux femmes... (234) décrit succinctement un exemplaire daté de 1810 des Muses à Cythère.
Une des déclinaisons de ce chansonnier attesté depuis l'année 1782, et qui prend selon les années des titres et des sous-titres différents. Grand-Carteret, Almanachs, n°752, page 188.
[Imprimerie de J.-A. Quillot] - Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD
Reference : 33946
(1848)
1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".