GALLIMARD. 1935. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Non coupé. 262 pages - ACHEVE D'IMPRIMER LE 19 DECEMBRE 1935 -. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Reference : R150229099
Texte établi et annoté par Henri Debraye et Louis Royer - 3ème édition Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
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Paris, sans date, (vers 1870-71) ; 1 vol. in-4, du N° 110 au N° 225. Demi percaline brune, dos lisse coiffes frottées. Pas de rousseurs, seule la première page présente quelques pliures, l'exemplaire est en bon état.
Revue hebdomadaire illustrée de bois gravés et de lithographies. Chaque numéro présente une couverture en couleurs suivie de 7 pages. Le Petit journal pour rire a succédé en 1867 au "Journal Amusant", fondé en 1855 par Charles Philippon. Il est toujours dirigé par ce dernier, et la rédaction en chef est assurée par NADAR. Les principaux illustrateurs sont Randon, Berthall, Monta, E. Riou, Marcelin, Bayard, A. Grévin... on rencontre aussi Daumier, Doré et Nadar lui-même.
Paris, 1943-1944, 24x32cm pour la plupart, Bon état pour l'ensemble de ce journal clandestin. Chaque numéro est composé d'un feuillet recto-verso . Philippe Marie Victor Viannay est né le 15 août 1917 à Saint-Jean-de-Bournay (Isère) dans une famille bourgeoise catholique conservatrice, patriote et anti-républicaine. Étudiant en théologie, il envisage dans un premier temps la vie religieuse. Il abandonne cependant cette vocation et choisit de suivre des études de philosophie. Au moment de sa mobilisation en 1939, il est inscrit comme étudiant en philosophie à la Sorbonne. Il se bat à la tête d'un bataillon de tirailleurs marocains au cours de la campagne de 1940. Démobilisé le 9 août 1940 à Grenoble après la défaite de son pays, il reprend ses études. Avec un camarade, Robert Salmon, qui partage le même traumatisme de la déroute et le refus de la présence allemande, rejetant l'option militaire, il réunit un groupe d'étudiants - parmi lesquels Hélène Mordkovitch, qu'il épousera en 1942 - et lance l'idée d'un journal clandestin. Un tract sur la situation de l'Alsace est diffusé début 1941 puis, grâce à l'aide matérielle d'un ami industriel, le groupe crée Défense de la France à l'été 1941. Viannay, sous le pseudonyme d'"Indomitus", signe la plupart des éditoriaux du journal. Dénonçant le nazisme et hostile à la collaboration, il reste longtemps convaincu du "double-jeu" de Pétain, à la différence des autres membres du groupe, en particulier Robert Salmon et Jacques Lusseyran. De même il exprime son soutien au général Giraud et se rallie définitivement à de Gaulle au printemps 1943, autant par positionnement stratégique que sous l'influence de Geneviève de Gaulle et de Robert Salmon. A la tête du Comité directeur il organise les différents services. Philippe Viannay est à 25 ans le chef incontesté d'un des plus importants mouvements de Résistance de la zone Nord. En 1944, soucieux de préserver l'indépendance de son mouvement il s'oppose à quelques membres du Comité directeur, dont Robert Salmon. Désireux de s'impliquer dans l'action militaire il quitte Paris et s'installe dans le maquis de Seine-et-Oise Nord (Ronquerolles), dont il prend le commandement FFI en février 1944, sous le nom de commandant Philippe. Au mois d'avril, Pierre Lefaucheux, chef régional des FFI d'Ile-de-France, le nomme responsable FFI de la Seine-et-Oise Nord. Le 23 juillet, arrêté par les Allemands, il est blessé par plusieurs balles ; hospitalisé, il parvient à s'évader et reprend le commandement de son maquis. Le 24 août, Viannay est reçu par le général de Gaulle à Rambouillet. Voyant en lui le chef d'un mouvement politique issu de la Résistance, il est déçu par le désintérêt de ce dernier pour son mouvement. Après la Libération il est chargé en 1945 d'une mission de rapatriement des déportés, et rapatrie Jacques Lusseyran. En 1951, il fonde avec sa femme l'école des Glénans. Philippe Viannay meurt en 1986. Sources et bibliographie : ONAC de Paris, dossier de CVR de Philippe Viannay. Archives du Bureau Résistance, dossier individuel de Philippe Viannay. Philippe Viannay, Du bon usage de la France. Résistance. Journalisme. Glénans, Paris, Éditions Ramsay, 1988. Olivier Wieviorka, Une certaine idée de la Résistance. Défense de la France. 1940-1949, Paris, Seuil, 1995.
Pierre de l'Estoile. G. Brunet, A. Champollion, Halphen, Paul Lacroix, Charles Read, Tamizey de Laroque et Ed. Tricotel.
Reference : 66764
(1875)
Paris, Librairie des Bibliophiles, 1875-1880, in-8, broché, Publié avec de nombreux documents inédits et un commentaire historique, biographique et bibliographique. Ex. sur vergé. Petits manques en coin et en marge sur quatre couvertures, soigneusement protégées sous cristal. Ensemble solide et frais. T. 1 à 3: Journal de Henri III 1574-1589 . T. 4 : Les belles figures et drolleries de la Ligue 1589-1611. T. 5 à 8 : Journal de Henri IV 1589-1607.
Reference : 9645
1 recueil in-4, cartonnage Bradel de papier gris-vert, étiquette de titre imprimée au dos. 53 numéros de 2ff, paginés de 1 à 282. Complets. La plupart des numéros sont déreliés à cause de l'assemblage de la reliure à la grecque.
Quatrième année complète de tous les numéros du 1er janvier au 31 décembre, il manque cependant le feuillet de supplément au N°25 du 18 juin, qui contient habituellement des annonces commerciales et avis divers. Par une erreur de pagination la page 121 n'existe pas. Cet hebdomadaire fondé en 1829 devient bihebdomadaire en 1831 puis quotidien à partir de 1850 ; il perdure jusqu'en 1991 avec plusieurs changements de titres et des interruptions, puis fusionne en 1991 avec la "Gazette de Lausanne" pour former le "Journal de Genève et Gazette de Lausanne". (cf. Jean de SENARCLENS, "Un Journal témoin de son temps - Histoire Illustrée du Journal de Genève" 1826 - 1998. Slatkine, 1999).
P., La Jeune Parque, 1947 ; in-12 (18 x 11 cm). 336 pp.- 1 f. Demi-simili cuir fauve, titre doré, couvertures et dos conservés. Tomé III au dios. Bon état.
Édition originale sur papier courant. Ce volume fait suite à "Mon journal sous l'occupation", et "Mons journal depuis la libération". .