FAYARD. 1961. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 412 pages. . . . Classification Dewey : 235-Les saints
Reference : R150209871
TEXTES POUR L HISTOIRE SACREE CHOISIS ET PRESENTES PAR DANIEL ROPS- TEXTES CHOISIS ET TRADUITS PAR LES MOINES D HAUTECOMBE- Introduction et notes par Dom M F Lacan Classification Dewey : 235-Les saints
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Paris, Desclee de Brouwer/Lethielleux, en collaboration avec l"Abbaye de Maredsous («Pax, XXXVI»), 1967. in-12, 182 pp., tabl. depliant h.t., broche, couv.
Bon etat. [NV-11]
Publications Historiques. Juillet-Aout 1989. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 66 pages. Nombreuses illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION
Sommaire : Patrimoine vivant, Sous la Révolution, Mgr Lamourette, évêque et député de Lyon par Gérard Chauvy, Sur toute la terre, des fils de Saint Benoit, par Jacques Gadille, Aigues-Mortes, port de la croisade, prison des réformés par François Salaun Classification Dewey : 200-RELIGION
Paris, Jeanthon, 1835. in-12, 2ff.-209pp. Reliure de l'époque basane fauve racinée, dos lisse, tranches marbrées.
Vie de St.-Benoît de St.-Filadelfe par le théologien italien Carletti, traduit par Allibert, chanoine de la primatiale de Lyon. Litanies et prières in-fine. - Bon exemplaire.
Les Editions du Cerf, 2010, 420 p., in-8 br., coll. "Cerf-Histoire", cahier central de 44 illustrations, état de neuf
Né en 1895 dans l'Anjou profond, au Bourg d'Iré où se trouve le château du comte de Falloux, Pierre Péteul est issu de familles de meuniers. Il doit suivre les siens à Angers dans des conditions difficiles. Nous sommes en 1907 lorsque le garçon déclare « aller n'importe où pour être prêtre », le diocèse étant alors surabondant en vocations. Se former chez les Capucins suppose un second départ, et, cette fois, en Belgique. En 1913, au terme d'excellentes études, Pierre, devenu Frère Marie-Benoît, fait profession religieuse. De 1915 à 1919, le brancardier est « connu pour son courage à toute épreuve ». Ses études à Rome distinguent le jeune religieux. Au Collège international Saint-Laurent de Brindes jusqu'en 1940, il est bien placé pour entendre les mises en garde contre l'antisémitisme, ses études, sa connaissance de l'hébreu biblique lui ayant permis, par ailleurs, une première approche du judaïsme. Ainsi, à Marseille [1940], à Nice, puis à Rome [1943-1944], il n'y eut chez lui aucune hésitation à connaître où était le devoir du moment, ceci « au mépris même du danger » [rabbin Elio Toaff]. Il n'ignorait pas que la spéculation pure — il y excellait — n'était pas pleinement conforme à la Règle de perfection franciscaine. Le « Père des juifs » qu'est devenu « Padre Benedetto » a su, pour le sauvetage de quelque 4500 juifs étrangers et italiens, travailler en étroite collaboration avec ces juifs intrépides que furent Bass, Donati, Kasztersztein, Schwamm, Cantoni, Sorani, Giuseppe Levi... Alors qu'au milieu des années 1950, la Province italienne de Foggia comptait les deux Capucins vivants les plus célèbres au monde, Padre Pio et le P. Marie-Benoît, que le Président Lindon Johnson le donnait en modèle aux Américains, le Père était l'un des artisans du rapprochement entre juifs et chrétiens sur le plan de l'amitié, en contact avec Edmond Fleg ou Jules Isaac. Vatican II n'a donc pas surpris ce précurseur d'une théologie de la filiation qui remplacerait une théologie de la substitution. « Juste des nations » en 1967, et l'un des tout premiers Français, c'est du grand rabbin Kaplan qu'il reçut, en 1984, les insignes d'officier de la Légion d'honneur, la croix de chevalier lui ayant été remise, à Rome, en 1946, par Jacques Maritain. Comme saint François avec les musulmans, il fut l'artisan d'un dialogue pacifié avec les juifs ; et, comme le fondateur des Frères Mineurs, c'est en homme libre qu'il a vécu, jusqu'en 1990, lesté de l'essentiel à ses yeux, ce but qu'assignait saint Bonaventure à la théologie : « Ut boni fiamus », « pour que nous devenions bons ».