ALBIN MICHEL. NON DATE. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 337 pages. . . . Classification Dewey : 928-Ecrivains
Reference : R150194435
Classification Dewey : 928-Ecrivains
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
Albin Michel, s.d. (1930), in-12, 340 pp, nouvelle édition, broché, papier lég. jauni, bon état. On joint 4 intéressantes lettres a.s de Mauclair à Fernand Gregh (3 de 1905 et une de 1924)
Romancier, historien et critique d’art, se définissant comme un « écrivain d’art » plutôt qu’un historien, comme il était d’usage dans le milieu symboliste, Camille Mauclair (1872-1945) est l’auteur d’une centaine d’ouvrages et de milliers d’articles. L'art est conçu par Mauclair comme une « religion » et il accorde au caractère absolu du chef-d'œuvre la primauté sur sa contextualisation ; dès lors, l'art devient difficilement objet d'une histoire, son évaluation échappant au temps. Mauclair faisait cette profession de foi, dans Princes de l'esprit (1920) : « Je crois que l'art, ce silencieux apostolat, cette belle pénitence choisie par quelques êtres que leur corps fatigue et empêche plus que d'autres de rejoindre l'infini, est une obligation d'honneur qu'il faut remplir avec la plus sérieuse, la plus circonspecte probité, qu'il est de bons ou de mauvais artistes, mais que nous n'avons à juger que les menteurs et les sincères, que la vanité est l'ennemie mortelle, la seule réellement terrible, de l'homme qui se sent doué de pensée et d'expression. » (p. 315) Ces « princes » sont ainsi Mallarmé, Poe ou Flaubert, mais aussi Rembrandt, Delacroix, Tintoret... (Dominique Jarrassé, INHA)