ALBIN MICHEL. NON DATE. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 350 pages. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Reference : R150192418
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S.l.n.d. (vers 1780) in-4, [2] ff. n. ch., en feuille.
Très rare. Les noms des administrateurs avaient été laissés en blanc, et ils ont été dans notre exemplaire renseignés à la plume : le nom du baron d'Ogny, intendant général des Postes (il fut nommé par Louis XVI le 25 janvier 1780 en survivance de son père) donne un terminus a quo.Suivi du Mémoire des titres qu'il est nécessaire de produire à Monsieur le Président d'Hozier, juge de la noblesse de France, pour les preuves de noblesse des demoiselles que l'on désire faire recevoir dnas la Maison royale de l'Enfant-Jésus.Fondée en 1724 par Languet de Gergy, alors curé de Saint-Sulpice, cette institution (appelée aussi Maison de l'Enfant Jésus, ou Hôpital de l'Enfant Jésus) était sise rue de Vaugirard, et accueillait des filles de la noblesse pouvant prouver au moins 200 ans de noblesse du côté paternel seulement, en sus de ses fonctions d'assistance proprement dites. C'est dans ses bâtiments que fut fondé en 1802 l'Hôpital des Enfants malades, premier site fondé en Europe pour l'hospitalisation des jeunes enfants, et qui fusionnera avec l'Hôpital Necker dans les années 1920.Aucun exemplaire au CCF. Absent de Saffroy. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Très bel exemplaire en maroquin rouge de l’époque aux armes et au chiffre couronné du roi Louis XIV. Paris, Imprimerie Royale, 1670. In-folio de (4) ff., 8 pp. de texte, 11 gravures sur 7 double-pages, pp. numérotées 17 à 67 comportant pour la plupart une grande eau-forte, 9 planches de devises reliée entre les ff. 29 et 30, entre les ff. 35 et 36, 37 et 38, 43 et 44, 45 et 46, 51 et 52, 53 et 54, 60 et 61, 62 et 63, (1) f., pp. 65 à 104. Une seconde version de la planche 58 a été ajoutée au début du volume, coloriée à la main à l’époque et enluminée. Nombreux bandeaux, vignettes, initiales. 4 ff. brunis. Est jointe au volume une table des illustrations manuscrite d’une main contemporaine. Ainsi complet. Maroquin rouge, double encadrement de triple filet doré, armoiries frappées or au centre, chiffre couronné aux angles, dos à nerfs orné de fleurs de lys dorées et de chiffres couronnés dans les entrenerfs, roulette dorée sur les coupes, roulette fleurdelysée intérieure, tranches dorées sur marbrures. Reliure de l’époque. 560 x 410 mm.
Le plus beau livre de fêtes des premières années du règne de Louis XIV. Brunet, II, 337. L’ouvrage, dont le texte est l’œuvre de Charles Perrault, avec une relation en vers latins par Fléchier, est orné de 96 estampes gravées par Chauveau, et Israël Silvestre: 30 eaux-fortes de Chauveau représentant les cavaliers des cinq quadrilles et les caparaçons de leurs chevaux, 8 eaux-fortes oblongues sur quatre feuillets doubles, 55 eaux-fortes représentant des emblèmes et devises, 3 eaux-fortes doubles d’Israël Silvestre. L’ouvrage fait partie de la collection du Cabinet du Roy. Cette collection se compose de volumes d’estampes exécutées par ordre de Louis XIV et publiés d’abord séparément, en différents formats, avec des explications imprimées. Les exemplaires publiés séparément avant la formation de cette collection, ont l’avantage de présenter les premières épreuves des planches. Les courses de testes et de bagues, ici en premier tirage, représentent les fêtes données aux Tuileries à l’occasion de la naissance du Dauphin: cinq quadrilles en costumes somptueux exécutèrent des figures de Carrousel pendant trois jours. Le Roy y est représenté en costume romain. (Histoire de l’édition française. Le Livre triomphant, planche 12). L’origine de cette fête, et par suite de ce livre, serait la réalisation d’un rêve d’enfant. «A en croire Vulson de La Colombière, les images du ‘Théatre d’honneur’, superbe volume illustré édité à Paris en 1648, émerveillèrent le petit Louis XIV, et si l’on rapproche ces images de celles que le même artiste, Chauveau, grave après la Course de bagues de 1662, il semble que cette fête n’ait été que la réalisation d’un rêve d’enfant». Très bel exemplaire en maroquin rouge de l’époque aux armes et au chiffre couronné du roi Louis XIV.
Le somptueux exemplaire du baron de Longepierre (1659-1721) relié à l’époque par Boyet en maroquin bleu doublé de maroquin rouge. Amstelodami, ex Officina Elzeviriana, Anno 1656. 2 volumes in-4. T.I: (8) ff. y compr. le titre gravé, 716 pp., T. II(daté 1655): 536 pp., (22) ff. d’index. Maroquin bleu, emblème de la Toison d’or aux angles, au centre et quatre fois répétée aux dos, doublures de maroquin rouge, dentelle intérieure dorée, toison dorée au centre, tranches dorées sur marbrures. Reliure de Boyet, actif sous le règne de Louis XIV. 235 x 167 mm.
«Belle édition, dont le texte est formé sur ceux de Turnière et d’Estienne.» Brunet III, colonne 272. Edition en grec, accompagnée de la traduction latine. « Le plus grand fait de la civilisation grecque reste toujours ceci, qu’Homère devint de si bonne heure panhellénique. Toute la liberté intellectuelle et humaine où parvinrent les Grecs revient à ce fait… De temps en temps s’éleva du fond le plus intime de l’hellénisme une protestation contre Homère; mais il resta toujours vainqueur. Toutes les grandes puissances spirituelles exercent à côté de leur action libératrice, une autre action déprimante; mais, à la vérité, cela fait une différence que ce soit Homère ou la Bible ou la Science qui tyrannise les hommes !» Nietzsche. «Inscrivez en tête d’un papier le nom d’Homère. C’est le plus grand nom, mon enfant. Les dieux ne seraient rien, et non seulement les dieux, mais les hommes, s’il ne les avait pas chantés… Rien n’est aussi pur qu’Homère… C’est le plus grand. C’est le plus vieux. C’est le patron. C’est le père. Il est le maître de tout. Et notamment il est le maître de tout ce qu’il y a jamais eu de plus grand dans le monde, qui est le familier.» Charles Péguy. Merveilleux exemplaire relié spécialement par Boyet pour Hilaire-Bernard de Roqueleyne, Baron de Longepierre, « Longepierre (1659-1721) se distingua tellement de ses condisciples, dans ses études classiques, que Baillet le plaça parmi les Enfants célèbres. Il composa, comme on le sait, plusieurs tragédies qui toutes, à l’exception de sa ‘Médée’, eurent une fin tragique. Le succès de sa ‘Médée’ fit qu’il ne voulut d’autres signes héraldiques sur ses livres que la Toison d’Or. L’amour des livres contribua peut-être plus à sa notoriété que ses pièces de théâtre. L’auteur dramatique est presque oublié aujourd’hui, tandis que le bibliophile est resté en grande réputation parmi les amateurs.» (J. Guigard. Nouvel armorial du Bibliophile. Paris, 1890). Cet exemplaire fut vendu 200000 FF (30500 €) le 5 juin 1988, il y a 34 ans (Ref. Livres précieux, n°83). Ex-libris manuscrit ancien sur le titre et ex-libris gravé au verso de C.L. Robert Jardel.
Paris, Ernest Kolb, s.d. (1889) in-12, [2] ff. n. ch., 440 pp., broché. Dos cassé, couvertures défraîchies.
Édition originale de ce tableau de l'enfance abandonnée à Paris.Jules-Gustave-Ali Coffignon (1861-?), journaliste et apprenti-sociologue, proposa une étude du Paris moderne sous le titre "Paris Vivant". Il publia ainsi, à la toute fin des années 1880, six petites monographies : La Corruption à Paris ; Les Coulisses de la mode ; L'Estomac de Paris ; Le Pavé parisien ; Les Fêtes parisiennes, et L'Enfant à Paris.Envoi autographe de l'auteur à Valdruche, directeur de l'Hospice des enfants assistés [= Les Enfants-trouvés, rue d'Enfer].Ex-libris Yves-Louis Mongrolle. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
60 magnifiques chromolithographies à pleine page représentant les douze mois de l’année. ENGLERT, D. Die zwölf Monate des Jahres, in bildlichen Darstellungen für den Anschauungs-Unterricht. Esslingen, J.F. Schreiber, 1838. In-folio oblong de 1 titre, (9) ff. de texte, (1) f. de table des planches, 60 planches numérotées. Relié en demi-maroquin bleu nuit de l’époque, dos lisse. Légères rousseurs, quelques taches. Reliure de l’époque. 366 x 263 mm.
Édition originale de cette très rare suite de gravures visant à enseigner le changement des saisons à la jeunesse. Cf. Hauswedell 673, et Granier XXVI, 971 (titre légèrement différent: "Les saisons" et seulement 20 planches). Les 60 magnifiques chromolithographies à pleine page finement gravées représentent les douze mois de l’année avec les sujets les caractérisant. Ainsi le mois de janvier montre-t-il des bûcherons travaillant dans la neige et des traîneaux glissant sur un lac gelé, l'image de février montre le fait d'engraisser les champs, le mois de mars correspond aux semailles et à la coupe des arbres. En avril, les planches montrent des marins pris dans une tempête sur la mer ainsi qu’une scène dans une cour de ferme avec une fermière qui nourrit la volaille ainsi qu’une scène d'apiculture dans le fond. En mai on voit de nombreuses scènes : des bergers gardant leurs moutons, un fermier qui trait ses vaches, un aigle chassé par un berger qui surveille son troupeau de chèvres, la tonte des moutons, la fabrication du beurre. Le mois de juin montre une joyeuse scène de baignade devant un grand chêne et une promenade dans une roseraie. Les images de juillet et d'août sont consacrées à la récolte des céréales et à la moisson, tandis qu'en septembre la paille est mise en gerbes. Le mois d’octobre est représenté par les vendanges. Et en décembre, les ouvriers battent le grain dans la grange, tandis que les jolies servantes se consacrent à leurs travaux de filage et de broderie dans le fond de la scène. D'autres planches montrent des poissons, des oiseaux, des animaux sauvages, des plantes. Certaines des planches portent le nom de l'artiste David Englert, qui est connu pour d'autres ouvrages illustrés et elles sont datées entre 1836 et 1838. Dans sa variété scénique, par les paysages magnifiques visibles en arrière-plan et également par la représentation fidèle et détaillée des activités de la campagne, le présent recueil se rapproche en quelque sorte du livre d'heures du Duc de Berry du 15ème siècle. Chaque mois est représenté par une à 14 pages illustrées de scènes ou de sujets appropriés. Très bel ouvrage pour enfant d’une grande rareté, complet de ses 60 superbes planches en couleurs.