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CAIN JAMES M.
LE MECENE.
MANITOBA. 2000. In-12. Broché. Bon état, Couv. légèrement pliée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 245 pages.. . . . Classification Dewey : 810-Littérature américaine
Reference : R150166773
ISBN : 2251771441
Traduit de l'américain par PHILIPPE ROUARD. Classification Dewey : 810-Littérature américaine
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UN MECENE BORDELAIS NICOLAS BEAUJON 1718 - 1786
DELMAS. 1937. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 218 pages. Quelques illustrations hors texte.. . . . Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine
TABLE DES MATIERES : Introduction Les étrangers à Bordeaux et les Bordelais à l’étranger au xvme siècle. Importance du rôle joué à Paris par le Bordelais Beaujon. Les grandes étapes de sa carrière. Sources de cette étude. Documents d’archives inédits. Mémoires de Beaujon sur les finances. Scellé Beaujon.Chapitre I. — Le Négociant ..Famille de Beaujon. Commerce des grains. Maison natale. Ravitaillement de Limoges. Relations commerciales avec le Canada. La famine de Guyenne de 1746 à 1748. Beaujon, simple commissionnaire, n’a pas intérêt à provoquer la hausse. Tourny l’envoie en Bretagne. Beaujon est élu, en pleine crise, directeur du commerce de Guyenne. Campagne d’opinion déchaînée par le Parlement qui vise Tourny à travers Beaujon. Rôle de Beaujon à la Chambre de Commerce de 1748 à 1750.Chapitre II. — Le Financier ..Le mariage de Beaujon en 1753 l’introduit dans le monde de la finance. Il est nommé receveur général de la Rochelle en 1756, secrétaire du Roi en 1766, conseiller d’Etat en 1769. Son rôle de banquier de la Cour. Ses avances à M»le du Barry. Jugement sévère de Choiseul. Réformes proposées par Beaujon pour le rétablissement des finances. Services rendus au roi de Suède et à Louis XVI.Chapitre III. — Le Grand Seigneur .Beaujon devient grand seigneur par nécessité autant que par goût. Gestes de grand seigneur. Cadremagnifique de son existence : le palais des Tuileries après son mariage, le palais de l’Elysée depuis 1773. Travaux de décoration de Boullée et construction des petits appartements de l’Elysée. Description de la chambre à coucher et des salons. Le décor créé par Beaujon servira de cadre à l’Histoire. — La maison de campagne d’Issy. La Chartreuse, sa ferme hollandaise et son décor champêtre. La chapelle Saint-Nicolas, dernière demeure de Beaujon. — Le train de vie de Beaujon. Le service de bouche. L’officier sableur. Attachement de ses domestiques pour leur maître.Chapitre IV. — L’Epicurien Bonne chère et grands vins. Inventaire de la cave Beaujon : Vins de Bordeaux, de Bourgogne, d’Espagne, du Portugal, de Syracuse, du Rhin, de Hongrie, du Cap. Comment on choisissait un vin au xvin6 siècle. — Chronique scandaleuse : M'ie Raucourt, Mme Fenouillet de Falbaire, le « sérail » de Beaujon, ses amies Bordelaises, les Berceuses.Chapitre V. — L’Amateur d’artBeaujon devient par son mariage le cousin du graveur et du collectionneur Lalive de Jully. Ses portraits par Louis-Michel Van Loo, Carie Van Loo, Cochin, Mme Vigée-Lebrun. Son buste en marbre. Achats aux ventes Blondel de Gagny, Randon de Boisset et Conti. Tableaux d’Holbein, Rembrandt et Rubens. Son goût pour les petits maîtres hollandais : Le Metsu du Louvre, le Terburg et le Gérard Dou de Buckingham-Palace, le Frans Van Mieris du Musée d’Amsterdam. Ecole française : la gouache originale du Couché de la Mariée, le Baiser envoyé, de Greuze. — Statues. Porcelaines. La Galerie Beaujon.Chapitre VI. — Le Bibliophile Le noyau principal de la bibliothèque est constitué par l’achat des livres de Joseph d’Hémery, inspecteur de la librairie. Le bibliothécaire de Beaujon, Meusnier de Querlon. L’abbé Baron, aumônier-biblio-thécaire. Quelques beaux livres et leur reliure.Chapitre VII. — Le Philanthrope ..Caractères de la philanthropie sous le règne de Louis XVI : sensibilité et humanité. Situation lamentable des orphelins et des entants trouvés au xvin6 siècle, en particulier à Bordeaux. Beaujon décide, dès 1783, de fonder un hospice pour les orphelins. Il fixe lui-même tous les détails de l'installation matérielle et du règlement. Valeur architecturale et décoration des bâtiments construits par Girardin. La fondation sombre dès la Révolution : la sœur Rose Maupetit et l’abbé Séjournée. L’hospice transformé en hôpital.Chapitre VIII. — Le Mécène ..Le « Mécène des gens de lettres ». Le Mécène des artistes. Beaujon mérite surtout ce titre par ses dons magnifiques à l’Académie de Bordeaux et à la Chambre de Commerce. Les tapisseries de Cozette et les tableaux de la Chambre de Commerce de Bordeaux.Appendice Mémoires de Beaujon sur le rétablissement des finances, les colonies et le commerce des grains.Notes Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine
"Bref, je suis terrifié, ne sachant pas que faire pour survivre" Lettre autographe signée adressée à son mécène Claude Richard
Paris 31 décembre 1950 | 20.80 x 27 cm | deux pages sur deux feuillets, enveloppe jointe
Lettre autographe de Hans Bellmer signée "H.B",adressée à Claude Richard, datée par l'auteur du 31 décembre 1950. Deux pages à l'encre noire sur deux feuillets de papier fin rose, enveloppe autographe jointe. Discrètes traces de pli inhérentes à l'envoi de la lettre. Exceptionnelle complainted'un artiste maudit, sacrifiant sa vie àson art. Mettant en péril sa santé, Bellmer surveille attentivementl'impression du premiercatalogue rétrospectif de ses oeuvres (Vingt-cinq reproductions) dont il a reçu les premiers exemplaires "le soir de la Noël". Il s'adresseàson collectionneur-mécène bordelais, Claude Richard, depuis son modeste atelier du quartier Latin, qui avait vu naître, un an auparavant, son chef d'oeuvre Les Jeux de la Poupée. Bellmer prend la plume et transcrit son mal-être surces deux pages vieux rose, similaires à la couleurcouvrant certaines de ses photographies de Poupées, ainsi qu'à celle dubandeau qui entoure le recueil de cettecélèbre suite de clichés. Lesmots eux-mêmes,finement ciselés de traits de plume, se désarticulent à l'image de ses oeuvres ; les lettres se délient et laissent entrevoir l'extrême détresse de l'artiste à bout de forces et de ressources : "Excusez je vous prie cette lettre décousue mais je ne vais pas très bien [...]ma vie est redevenue très très dure [...]vous ai-je remercié des 16000 que vous avez eu l'amitié de m'envoyer il y a deux semaines environ ? - Cela m'a permis d'activer la fabrication du recueil (une fois de plus)" Il s'agit d'un ouvrage mis en page par ses soins, regroupant vingt-cinq de ses oeuvres, accompagé de textes par Nora Mitrani, Gisèle Prassinos, Jehan Mayoux, Jean Brun, André Pieyre de Mandiargues, Jacques de Caso, et Yves Bonnefoy. Bellmer avait reçu les premiers exemplaires quelques jours plus tôt :"J'y avais mis un effort affreux ; depuis trois semaines, je traîne une grippe, qui, par le froid glacial de la rue Mouffetard et de l'atelier d'impression chez Larrive, a pris depuis 10 jours un tour dangereux. Pour l'instant, je ne tiens plus debout, mais pour ne pas me déclarer vaincu, je suis obligé de courrir sans cesse pour trouver le minimum d'argent nécessaire, pour ne pas mourir de faim." Le manuscrit renferme également un beau passage sur la relation de l'artiste avec son mécène, et mentionne également Cocteau ainsi que son partenariat avec laHugo Gallery de New York, dirigée depuis 1944 par l'ancien danseur Alexandre Jolas : (1907-1987) :"Quant à l'encadrement de mon tableau (c.à.d le vôtre), je m'en occuperai avec plaisir, car c'est très important pour la mise en valeur de la chose. Je connais bien un des meilleurs encadreurs (il a encadré les choses que Cocteau et Morihien m'avaient achetées il y a quelques années que la Hugo-gallerym'a pris cette année. Il ne doit peut-être trop bien marché [sic]. Dès que je trouverai deux tickets de métro jevous dirai le prix qu'il demanderait. Ces jours-ci j'ai pu récupérer un expl. de tête de monAlbumde Revel, sous emboîtage avec un dessin original. Le prix est de 6000. Si vous le voulez je peux vous l'envoyer de suite. Avez-vous vous reçu l'expl. [illisible] duRecueilà mon sujet ? Les expl. de luxe ne seront pas prêts avant une semaine. Je vous enverrai le vôtre dès que je pourrai" Magnifique chant du cygne d'un Bellmer malade et reclus dans son atelier,qui tutoie la mort afin d'atteindre le sublime. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
L'Aigle blanc, Stanislas Auguste dernier roi de Pologne, collectionneur et mécène au siècle des Lumières
Editions de la Réunion des Musées Nationaux, 2011, in-4 br. (22 x 28), 159 p., nombreuses reproductions en coul., bon état.
Stanislas Auguste, le dernier roi de Pologne, fut un mécène important tant pour son pays, que pour l'Europe. Son règne constitue une période d'intense création artistique. En s'appuyant sur des artistes de renom comme le peintre Bernardo Bellotto ou l'architecte Victor Louis, Stanislas Auguste réussit à renouveler les arts dans son royaume. Ainsi, fit-il entrer en Pologne le goût néoclassique, adopté déjà dans de nombreux autres pays européens comme la France, où le Palais impérial de Compiègne est un des plus beaux exemples. Collectionneur passionné, il acquit, sur ses fonds propres, de nombreux tableaux des plus grands maîtres de la peinture : Hubert Robert, Vernet, Rembrandt, Piranesi. Ce fut aussi un roi bâtisseur comme en témoigne le Château royal de Varsovie et le palais de Lzienki. L'Aigle blanc, Stanislas Auguste dernier roi de Pologne, collectionneur et mécène au siècle des Lumières présente les différents aspects d'un souverain éclairé amoureux des arts, au travers d'un ensemble d'oeuvres variées : portraits de la famille royale, peintures, vedute de Varsovie par Bellotto, projets d'architectures, objets d'art, objets fabriqués dans ses manufactures, rappellent la richesse de la collection de Stanislas Auguste et l'envergure de sa politique artistique, encore méconnues en France. Voir le sommaire sur photos jointes.
"Il pleuvait sur les calèches et les gitanes - mais dans le vieux Séville, pareil à Pompéi, les orangers embaument." Lettre autographe adressée à un ami prénommé Jean-Pierre décrivant l'atmosphère sévillane et les ennuis de santé de sa mécène et grande amie Francine Weisweiller
Saint-Jean-Cap-Ferrat 10 Mai 1954 | 13.50 x 21 cm | une page
Lettre autographe datée et signée de Jean Cocteau, 17 lignes à l'encre noire, à un ami lui décrivant son séjour sévillan. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli. Jean Cocteau explique son mutisme : sa mécène et très proche amie Francine Weisweiller a été malade : "Excuse ce long silence. mais on parle souvent de toi. Francine a été très, très malade à Kitzbühel en Autriche et longue à reprendre des forces." Mais pour couper court à ses mauvaises nouvelles, il préfère raconter l'enchantement de Séville: "Nous revenons de Séville.Il pleuvait sur les calèches et les gitanes - mais dans le vieux Séville, pareil à Pompéi, les orangers embaument. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
[DESSINS OROGINAUX] BILLY André - [Jean-Emile LABOUREUR - Illustrateur]
Reference : 10693
(1917)
LA MALABÉE ... Dessins par LABOUREUR, par André BILLY [avec JOINT: les 5 Dessins Originaux de LABOUREUR à l'encre noire et à la mine de plomb signés à l'encre noir en bas à gauche] + Envoi Autographe Manuscrit de l'Auteur : "..à monsieur Lotz-Brissonneau (Industriel et célèbre Mécène Nantais) avec la première pensée de ces Images...Août 1917 .. signé J. E. Laboureur..."
Paris Société Littéraire De France 1917 in-16 broché un volume, broché (paperback) in-seize (sextodecimo) carré, dos (spine) vert très légèrement insolé (lightly faded), cartouche de titre en pleine page sur la première de couverture (cartridge of title on full page on the front cover) trés légèrement défraichie (lightly faded) et quatrième de couverture muette légèrement épidermée (lights scratches)+ une tache d'eau (light waterstains) sur un demi centimètre carré, tranches non rognées (edges no smoothes), gouttière en partie non coupée (fore-edge partly uncut) - long papier (fore-edge - great paper), envoi autographe manuscrit de l'Auteur : "..à monsieur Lotz-Brissonneau avec la première pensée de ces Images...Août 1917 .. signé J E Laboureur..." , justification du tirage limité à 1000 exemplaires - 1 des 6 premiers exemplaires sur Chine (N°6) (limited edition - 1000 copies were printed), orné de 5 dessins en pleine page (clichés au trait) (full page engraving) en noir par J. -E. Laboureur, avec JOINT les 5 dessins originaux à l'encre noire et à la mine de plomb avec la mention manuscrite "... Original pour La Malabée 1917.." (à la mine de plomb), tous signés à l'encre noire en bas à gauche, (bien entendu, comme ce sont les dessins originaux, LABOUREUR a modifié au dernier moment quelques détails ........ c'est ce qui fait tout leur intérêt..!!!), trés légères cicatrices de mouillures (scars of waterstains) marginales en bas de quelques pages sur 2 millimètres, 107 pages, 1917 Paris Société Littéraire De France Editeur,
envoi à Lotz-Brissonneau (industriel Nantais et célèbre Mécène Nantais), références : Sylvain Laboureur "Catalogue de l'Oeuvre de J.-E. Laboureur" Tome II "Livres Illustrés" n°810 pages 555/556, ...dans une lettre du 12 septembre 1917, Apollinaire écrit à Laboureur : "je vous félicite des jolis dessins dont vous avez orné le livre de Billy", pour sa part , André Billy sera fort satisfait des dessins de l'artiste :"Vos délicieux dessins, lui écrit-il, me plaisent extrèmement. Leur manière précise, et la grande part qui y est faite, en même temps, à la suggestion, sont tout à fait dans l'esprit de ce que j'ai tenté"......... DE TOUTE RARETÉ ........ digne d'un Musée ou de la Bibliothèque Nationale ...!!! en bon état malgré les trés légers défauts signalés (very good condition in spite of the smalls defects indicated). bon état
