GRASSET.. 1928. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement pliée, Dos plié, Intérieur acceptable. 379 pages.. . . . Classification Dewey : 800-LITTERATURE (BELLES-LETTRES)
Reference : R150118800
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Cap Sounion, 5 septembre 1846. Dessin original in-16 oblong (13,2 x 23,3 cm) à la mine de plomb, avec légende manuscrite à l’encre.
Vue du cap Sounion montrant des navires français et les ruines d’un temple grec. Le dessin, daté et signé «Ch. Lq.» dans l’angle inférieur droit, montre, au premier plan, des navires français, le Cerf, le Triton et le Cassini au mouillage près du cap Sounion, dans le sud de l’Attique (Grèce). D’autres navires, la plupart en train de naviguer, sont aussi représentés. Au second plan se trouve un immense promontoire rocheux sur lequel se dressent les ruines du temple. Celles-ci sont constituées de deux colonnades: la plus petite, au nord, semble contenir 4 colonnes et la plus grande, au sud, en contient 9. Anciennement désigné sous le nom de Minerve Suniade, le temple de Poséidon est un temple grec classique construit entre 444 et 440 av. J.-C. Etabli dans le style dorique, il domine la mer à l’extrémité du cap Sounion, à une hauteur de près de 60 mètres. Ses colonnes, initialement au nombre de 38, étaient faites de marbre blanc du Laurion. Ce n’est qu’en 1889, à la suite de la découverte d’une inscription, qu’on l’attribua à Poséidon, le dieu de la mer des anciens Grecs. Situés au premier plan, les trois navires français représentés appartenaient à la station du Levant commandée par le contre-amiral Louis Turpin (1790-1848). Le bâtiment le plus important, le Triton, était un vaisseau de 80 canons qui avait participé, en 1844, aux opérations contre le Maroc, notamment au bombardement de Tanger et au débarquement de Mogador. Le Cassini était une corvette à roues mise à flot en 1845 et qui sera utilisée en 1855 lors de la prise de la forteresse de Kinburn, pendant la guerre de Crimée. Quant au Cerf, il s’agissait d’un brig de 10 canons qui avait fait partie de la station du Brésil en 1841. Bon état de conservation. Roche, Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française, I, pp. 100 (Cassini), 105 (Cerf) et 447 (Triton).
Cap Sounion 5 septembre 1846 Dessin original in-16 oblong (13,2 x 23,3 cm) à la mine de plomb, avec légende manuscrite à l’encre.
Vue du cap Sounion montrant des navires français et les ruines d’un temple grec. Le dessin, daté et signé «Ch. Lq.» dans l’angle inférieur droit, montre, au premier plan, des navires français, le Cerf, le Triton et le Cassini au mouillage près du cap Sounion, dans le sud de l’Attique (Grèce). D’autres navires, la plupart en train de naviguer, sont aussi représentés. Au second plan se trouve un immense promontoire rocheux sur lequel se dressent les ruines du temple. Celles-ci sont constituées de deux colonnades: la plus petite, au nord, semble contenir 4 colonnes et la plus grande, au sud, en contient 9. Anciennement désigné sous le nom de Minerve Suniade, le temple de Poséidon est un temple grec classique construit entre 444 et 440 av. J.-C. Etabli dans le style dorique, il domine la mer à l’extrémité du cap Sounion, à une hauteur de près de 60 mètres. Ses colonnes, initialement au nombre de 38, étaient faites de marbre blanc du Laurion. Ce n’est qu’en 1889, à la suite de la découverte d’une inscription, qu’on l’attribua à Poséidon, le dieu de la mer des anciens Grecs. Situés au premier plan, les trois navires français représentés appartenaient à la station du Levant commandée par le contre-amiral Louis Turpin (1790-1848). Le bâtiment le plus important, le Triton, était un vaisseau de 80 canons qui avait participé, en 1844, aux opérations contre le Maroc, notamment au bombardement de Tanger et au débarquement de Mogador. Le Cassini était une corvette à roues mise à flot en 1845 et qui sera utilisée en 1855 lors de la prise de la forteresse de Kinburn, pendant la guerre de Crimée. Quant au Cerf, il s’agissait d’un brig de 10 canons qui avait fait partie de la station du Brésil en 1841. Bon état de conservation. Roche, Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française, I, pp. 100 (Cassini), 105 (Cerf) et 447 (Triton).
Aux bureaux d'abonnement et vente - Paris quais des Grands Augustins.. juin 1873. In-12. Broché. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 8 pages environ illustrées de gravures en noir et blanc dans le texte. Paginées de 193 à 200.. . . . Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque
Les ruines du temple de Sérapis avec gravure dans le texte de ce temple à POuzzoles. Les robinsons de l'ile Auckland, suite. Les Ardennes suite avec deux gravures dans le texte (les chairières et les ruines du château de Linchamps). La peau humaine, suite avec gravures dnasle texte (vaisseaux abosrbants et lymphatiques du doigt, cheveu dans son foliculle). Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque
Didot, Paris 1803, 40,5x54cm, une feuille.
Gravure originale in folio non rognée, extraite du Voyage dans la Basse et la Haute Egypte de Vivant Denon. Planche composée de 4 vues ainsi décrites par l'auteur : N° 1. Ruines du temple d'Hermopolis ou la grande cité de Mercure, capitale du trente-cinquieme nome, bâtie par Ishmun, fils de Misraïm, à quelque distance du Nil, tout près d'un gros bourg appelé Ashmunein, et peu éloigné de Mélaui. Pour donner une idée des proportions colossales de cet édifice, il suffit de dire que le diametre des colonnes est de 8 pieds 10 pouces, leur espacement égal ; celui des deux colonnes du milieu, dans lequel la porte étoit comprise, est de 12 ; ce qui donne 120 pieds de face au portique : il en a 60 de hauteur. L'architrave est composée de cinq pierres de 22 pieds de long, la frise d'autant ; la seule pierre qui reste de la corniche a 34 pieds ; ces détails peuvent faire juger à la fois de la faculté que les Égyptiens avoient d'élever des masses énormes, et de la magnificence des matériaux qu'ils employoient. Ces pierres sont d'un grès qui a la finesse du marbre ; elles ne sont liées que par la perfection de leurs assises : à l'égard du plan du temple, aucun arrachement ne peut rendre compte de son enceinte et de sa nef ; le second rang de colonnes étoit engagé jusqu'à la hauteur de la porte, le reste étoit à jour : il est à croire que ce qui suivoit immédiatement n'étoit pas encore la nef ou le sacre du temple, mais une enceinte ou espece de cour qui le précédoit. Ce qui autorise à adopter cette opinion, c'est que la frise et la corniche avoient de ce côté la même décoration, et la même saillie que du côté de la façade de l'entrée. Le moment de la journée, et cette particularité, me firent choisir ce côté pour faire le dessin que je donne ici, où l'on peut remarquer l'arrachement de l'engagement des colonnes, et celui de la porte ; les fûts de colonnes semblent représenter des faisceaux, et le bas le pied de la plante du lotus au départ de la racine. Le chapiteau n'a rien d'analogue à aucun autre chapiteau connu, mais équivaut pour la gravité dans l'architecture égyptienne, au chapiteau dorique dans l'architecture grecque, et l'on peut dire que celui-ci est plus riche que l'autre. Tous les autres membres ont leur équivalent dans tous les autres ordres : sur l'astragale de l'un et l'autre côté du portique, et sous le plafond entre les deux colonnes du milieu, sont des globes ailés, emblèmes répétés à la même place dans tous les temples égyptiens.Les hiéroglyphes qui sont sur les dalles qui couronnent les chapiteaux sont tous les mêmes, et tous les plafonds sont décorés d'un méandre formé d'étoiles peintes couleur aurore sur un fond bleu. Le plan du portique est placé au-dessous de la vue. N° 3. Tombeau de Lycopolis. C'est un des plus considérables et le mieux conservé de ceux qui sont creusés dans la montagne auprès de Siuth ; le plan qui est au-dessous en fait connoître l'intérieur et la distribution : l'espece de péristyle qui lui sert d'entrée est, de même que le reste, taillé et creusé sans maçonnerie à même dans le rocher ; on a réparé les parties manquantes par un revétissement de stuc encore très bien conservé. D'abord il n'a pour ornement qu'un tore qui borde un cintre surbaissé; mais, à partir de là et jusqu'au fond de la derniere chambre, tout est couvert d'hiéroglyphes, et les plafonds d'ornements sculptés et peints : sur le parement des portes il y a de grandes figures qui sont répétées sur l'épaisseur du chambranle. Je n'y ai vu aucune trace de gonds ni autre fermeture : la partie supérieure de la porte est plus large que le bas ; ce n'est qu'à la troisieme qu'on arrive à la chambre du fond, où étoit sans doute le principal sarcophage; le sol a été fouillé presque partout. Rousseurs, sinon bel état de conservation. Publié pour la première fois en deux volumes, dont un atlas de gravures, chez Didot, en 1802, le 'Voyage dans la Basse et la Haute Égypte' connut un tel succès qu'il fut traduit dès 1803 en Anglais et en Allemand, puis quelques années plus tard en Hollandais et en Italien, notamment. Presque toutes les planches sont dessinées par Denon, qui en a aussi gravé lui-même un petit nombre, notamment des portraits d'habitants d'Egypte, qui ont encore gardée toute la fraîcheur d'esquisses prises sur le vif (nos 104-111). Une bonne vingtaine de graveurs ont également collaboré à la création des eaux-fortes dont Baltard, Galien, Réville et d'autres. Dominique Vivant, baron Denon, dit Vivant Denon, né à Givry le 4 janvier 1747 et mort à Paris le 27 avril 1825, est un graveur, écrivain, diplomate et administrateur français. A l'invitation de Bonaparte, il se joint à l'expédition d'Egypte en embarquant dès le 14 mai 1798 sur la frégate " La Junon ". Protégé par les troupes françaises, il a l'opportunité de parcourir le pays dans tous les sens, afin de rassembler le matériau qui servit de base à son travail artistique et littéraire le plus important. Il accompagne en particulier le général Desaix en Haute Egypte, dont il rapporte de très nombreux croquis, lavis à l'encre et autres dessins à la plume, à la pierre noire, ou à la sanguine. Il dessine sans relâche, le plus souvent sur son genou, debout ou même à cheval, et parfois jusque sous le feu de l'ennemi. A l'issue d'un voyage de 13 mois durant lesquels il dessine plusieurs milliers de croquis, Vivant Denon rentre en France avec Bonaparte, et devient le premier artiste à publier le récit de cette expédition. Les 141 planches qui accompagnent son Journal retracent l'ensemble de son voyage, depuis les côtes de la Corse jusqu'aux monuments pharaoniques de la Haute Egypte. Bonaparte le nomme ensuite directeur général du musée central de la République, qui devient le musée Napoléon, puis le musée royal du Louvre et administrateur des arts. En 1805, Vivant Denon relance le projet de la colonne Vendôme, qui avait été suspendu en 1803. Il organise ensuite des expéditions dans toute l'Europe impériale pour amasser les objets d'art, qui sont pillés pour être emportés au Louvre. En 1814, Louis XVIII le confirme à la tête du Louvre, dont une aile porte encore son nom aujourd'hui. Il est considéré comme un grand précurseur de la muséologie, de l'histoire de l'art et de l'égyptologie. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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1787 Paris, Desenne, Volland, 1787. Deux volumes in-8 (198 X 130 mm) veau fauve moucheté, encadrement de filet noir sur les plats, dos lisse cloisonné et orné de filets et fers dorés, pièces de titre et de tomaison maroquin rouge et vert, tranches marbrées (Reliure de l'époque). Tome I : XVI-383 pages - Tome II : VIII-458 pages, (2) ff. d'approbation et privilège, 5 planches dépliantes.
SECONDE ÉDITION, revue et corrigée, publiée la même année que l'édition originale et chez le même éditeur. Elle est illustrée de CINQ PLANCHES gravées dépliantes, dont deux cartes (carte de l'Égypte - carte de la Syrie), un plan du temple du soleil à Balbek et deux vues (vue de la cour quarrée du temple du soleil à Balbek - vue des ruines de Palmyre dans le désert de Syrie). Il s'agit d'UN DES MEILLEURS OUVRAGES EN FRANÇAIS DE LA LITTÉRATURE DE VOYAGES. Constantin François Chasseboeuf, comte de VOLNEY (1757-1820), philosophe et orientaliste français, est considéré comme le précurseur des ethnologues, anthropologues et sociologues du XXe siècle. Parti pour l'Égypte à la fin de l'année de 1782, et après un séjour de huit mois dans un couvent égyptien pour y apprendre l'arabe, Volney passa trois années à voyager, la plupart du temps à pied, en Syrie et en Égypte, étudiant l'histoire, les institutions politiques, les moeurs et coutumes des habitants. Il passa sept mois au Caire et voyagea en 1785 avec le peintre orientaliste Louis-François CASSAS (1756-1827) en Syrie. Son ouvrage, qui n'est pas à proprement parler une relation de son voyage mais la somme de ses observations, eut un énorme succès. Il constitue le meilleur exposé sur l'Égypte ottomane à la fin du XVIIIe siècle et ses observations exactes et précises servirent par la suite de guide à l'expédition d'Égypte de Bonaparte. (Hage-Chahine, 5090, qui n'annonce que 4 planches - Gay, 2275 - Chadenat, 720 - Blackmer, 1748). TRÈS BEL EXEMPLAIRE conservé dans sa fraîche reliure d'époque en veau glacé, en PARFAIT ÉTAT, complet des 5 planches. FINE COPY. PICTURES AND MORE DETAILS ON REQUEST.
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