GALLIMARD .. 1954.. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos abîmé, Intérieur acceptable. 342 pages. Envoi au stylo de l'auteur, sur la page de faux titre. Rousseurs sur la 1ère et la 4 ème de couverture. Charnière légèrement fendue. Coiffe en tête abîmée.. . . . Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
Reference : R150094959
Roman. Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
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Djiboi Productions Records 2018. CD digipack avec petit frottis aux coins. Support CD comme neuf. Album de fusion Jazz, Funk et musique africaine. Signé au verso par la bassiste Manou Gallo. Obtenu en concert. Collection personnelle. Rare.
Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 8,50 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Victor Lecou Libraire 1850 Victor Lecou, Nouvelle Collection des Moralistes Anciens, demi-chagrin bleu nuit, environ 14x9cm, 1850, 208 p., un ex-libris sur le premier contreplat, quelques traits au crayon de couleurs dans les marge (s'effacent à la gomme), bon état pour le reste.
Traduites du sanskrit par Loiseleur-Deslonchamps. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Paris, Levrault Libraire, 1830. 2 volumes In-8, 309pp. (sanscrit)XVI-576 pp. (en Sanskrit).
Première Traduction française des Lois de Manou, texte juridique et religieux de l'Inde ancienne, publiée avec son texte en sanscrit et accompagnée de notes et de commentaires. Le texte des Lois de Manou présente les règles de conduite pour les différentes classes sociales, les rites, les devoirs, les peines et les récompenses. Il est considéré comme une source importante pour l'étude de l'hindouisme et du droit indien. Auguste-Louis-Armand Loiseleur-Deslongchamps, né à Paris le 14 août 1805 et mort à Paris le 10 janvier 1840, est un indianiste français.Il suit des cours d’hindoustani sous la direction d'Antoine-Isaac Silvestre de Sacy et devient en 1832 employé au département des manuscrits de la Bibliothèque royale . P2-2C
Artclair Editions. Novembre 2003. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 130 pages. Nombreuses illustrations en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 700-LES ARTS
Sommaire : Regards sur l'abstraction, entretien avec Serge Lemoine et Pascal Rousseau par Alexandre Quoi, Ornement et abstraction par Jean Louis Gaillemin, Livre : Abstraktion und Einfuhlung par Manou Farine, Abstraction et occultisme par Jean Louis Gaillemin, Livre : du spirituel dans l'art et dans la peinture en particulier par Manou Farine Classification Dewey : 700-LES ARTS
Fleury-Mérogis 22 Septembre1976 | 21 x 29.50 cm | une page recto verso
Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du samedi 22 Septembre1976, 67 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis et privé de chaleur humaine, s'enthousiasme de toutes les visites qu'il reçoit au parloir, battant ainsi en brèche le mythe du bandit asocial et dénué de sentiments humains : "Et après cela on dira que je suis un sauvage ! non justement et les gens qui ont eu un contact avec moi, désirent me revoir. Cela m'a fait un immense plaisir et sais-tu la suite... elle va demander aussi pour te voir. Parait-il que je suis regretté par les infirmières "monsieur sourire" voilà le secret." Il a apprécié tout particulièrement la visite de l'infirmière de la prison de la Santé qui sera également leur témoin de mariage avec Jeanne Schneider et qu'il encense : "... une énorme surprise ! tu ne devineras jamais qui est venu me voir ! Mon infirmière de la santé... oui ma puce... cette charmante dame aux cheveux blancs que tu avais vu au parloir à la santé et qui doit être notre témoin à notre mariage [...] C'est une femme exceptionnelle, ancienne infirmière militaire et assez bien placée au ministère. Pendant mes 2 ans et demi à la santé je l'ai considérée comme une mère, cette femme est dévouée, que cela n'en est pas pensable. Malheur à celui qui toucherait un seul de ses cheveux." L'ennemi public N°1 en profite encore pour briser cette réputation de fauve sanguinaire qui lui colle à la peau : "Si les journalistes savaient que toutes les infirmières entraient seules dans ma cellule et en toute confiance, on serait loin du "fauve" et de la prise d'otages à la Buffet. Les infirmières ont toujours été sacrées pour moi. Elles sont intouchables comme pas mal d'autres personnes, mais cela les pédés de journalistes l'ignorent ; car ils ne sont pas dans mes pensées et c'est regrettable parfois." Jacques Mesrine le révolté se surprend à apprécier sa solitude carcérale : "Sais-tu que je commence à me plaire ici... Quel calme tu sais manou, mon isolement, je le supporte dans la mesure où j'ai la paix. En détention il n'est pas prouvé que je l'aurais. C'est de mes réactions que j'aie peur... et la mentalité des prétendus truands est de plus en plus dégueulasse ! [...] dans mon isolement, il y a du bon et du mauvais... mais personnellement, je ne veux pas me plaindre... car il n'y a pas de motif à le faire." et achève sa lettre par des considérations paternelles pour sa fille peu assidue à l'école et pour laquelle il se fait du mouron : "Je vais savoir si Sabrina a été régulièrement à ses cours... je fais le vu que oui car si le cas contraire se présentait... pas de pitié cette fois-là... Mais que de souci peut représenter cette môme et quelle impuissance j'ai à la contrôler en étant ici !" Rare et très belle lettre de Jacques Mesrine débordant de révération pour la corporation des infirmières et de regrettable détestation pour celle des journalistes. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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