GALLIMARD.. 1941.. In-8. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 213 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : R150083802
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
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Le Val de Grâce et l'Ecole d'Application du Service de Santé Militaire.
Reference : 242
(1957)
1957 Paris service de propagande édition , information, 1957. In-4, demi basane bordeau a bande dos a nerfs portant le titre en lettres d orées , illustrée en couleurs, 208 p., 25 p. de publicités, (1) f. volant d'errata, figures et plans in texte, planches hors texte. Réalisé par le médecin-lieutenant-colonel G. Belaubre et J.-G. Tridon, avec la collaboration du médecin-colonel Hassenforder et E. Vialard. Préface du médecin-général-inspecteur Pesme. Les différents chapitres sont écrits par plusieurs médecins militaires. Très nombreuses illustrations et reproductions in et hors formant une source iconographique de référence. le tout en tres bon etat ( un des 700 exemplaires numérotés )
Reference : 104306
Recueil de Textes, 1762-1764, 1 volume in-12 de 165x95x32 mm environ, 45-108-124-21-56-55-120-24 pages, plein veau granité fauve, dos à nerfs portant titres dorés, orné de caissons à fleurons et motifs dorés, coupes dorées, gardes marbrées, tranches mouchetées. Petite galerie de ver sur un mors, petits manque de cuir sur la pièce de titre, frottements d'usage sur les coins, sinon bon état.
Luis de Molina, né le 29 septembre 1535 à Cuenca (Espagne) et mort le 12 octobre 1600 à Madrid, fut l'un des plus célèbres théologiens jésuites espagnols du XVIe siècle. Il est à l'origine d'une théorie particulière des relations entre la grâce divine et la liberté humaine qui est depuis appelée 'molinisme'. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
De l'Imprimerie de J. Lamesle/ De L'Imprimerie de PH. Nic. Lottin /de l'Imprimerie de la Veuve de Georges Jouvenel / de l'Imprimerie de L.V. Moreau/ De l'Imprimerie de Jacques-François Grou, 1732-1735, 1 volume in-folio de 360x235 mm environ, 4-17-8-11-28-8-14 pages, cartonnage bradel ancien, titres dorés sur pièce de titre rouge collée sur le premier plat. Cartonnage insolé avec frottements d'usage, une mouillure marginale, petite galerie de ver dans la marge interne, des notes manuscrites et passage souligné sur la première page de "Sur une portion de Territoire français grâce à un don du Roi d'Angleterre", sinon bon état.
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Neudin, Coll. la France Retrouvée grâce aux Cartes Postales, sans date, 192 p., broché, bords des plats et mors frottés, un léger accroc sur le dos, intérieur propre.
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Sans lieu, , 1715. 2 vol. in-12 de XVII-(1)-642-(6) pp. ; 11-(1)-628 pp., veau fauve glacé, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge, tranches rouges (reliure de l'époque).
Édition originale posthume établie par Jacques Fouillou et Nicolas Petitpied.« À partir de la campagne des Provinciales (1656-1657), Pierre Nicole (1625-1695) a été le représentant le plus obstiné du petit nombre des jansénistes qui estimaient qu’il leur fallait attester leur conformité au pur thomisme "in materia gratiæ et prædestinationis" pour mieux se défendre de l’accusation d’hérésie. Insensiblement, Nicole s’est converti aux thèses de l’École de saint Thomas, allant même jusqu’à défendre des propositions qui, aux yeux des défenseurs de Jansénius, paraissaient molinistes : d’où son conflit avec Antoine Arnauld aux alentours de 1690 à propos de l’idée d’une grâce générale. (…) les jansénistes Jacques Fouillou (1670-1736) et Nicolas Petitpied (1665-1747) décident d’éditer en deux volumes un Traité de la grâce générale (1715) qui comprend l’ensemble des textes consacrés par Pierre Nicole à la question d’une grâce universelle et en deux autres volumes les écrits d’Antoine Arnauld sur le même sujet. Le public disposait désormais des pièces indispensables à l’examen de la dispute qui avait opposé les deux hommes plus de trois décennies après la campagne des Provinciales, alors que Nicole, qui avait fait un bref séjour bruxellois en 1679 au lendemain de la rupture de la Paix de l’Église, était rentré en France dès 1680 et qu’au contraire, Antoine Arnauld avait enduré l’exil jusqu’à sa mort en 1694. La lecture des textes de Pierre Nicole a provoqué stupeur et consternation chez les tenants les plus effarouchés d’une stricte observance augustinienne. En 1716, le P. Hilarion Monnier (1646-1707), bénédictin de la Congrégation de Saint-Vannes, et le janséniste Jacques-Joseph Duguet (1649-1733) publient une anonyme Réfutation du système de M. Nicole touchant la grâce universelle ; pour sa part, le P. Monnier faisait paraître la même année de critiques Réflexions sur le traité de la grâce générale. Les positions de Nicole avaient apparemment eu le don posthume de susciter l’exaspération d’un parti augustinien particulièrement malmené après la fulmination par le pape Clément XI, le 8 septembre 1713, de la Bulle Unigenitus. Il fallait savoir si l’un des plus proches compagnons d’Arnauld au temps des troubles de Sorbonne avait sur le tard abjuré l’augustinisme pour accepter l’idée d’une grâce suffisante telle que la soutenaient les molinistes » (Sylvio Hermann De Franceschi).Provenance : Catherine-Félicité Arnauld ; ex-libris manuscrit ancien au bas des titre "Arnauld de Torcy" ; Catherine-Félicité Arnauld (1670-1757), fille du ministre des affaires étrangères, Simon Arnauld de Pomponne (1618-1699) et de Catherine Ladvocat (1636-1711). Catherine Félicité épousa avec l'accord du roi, le 2 août 1696, Jean-Baptiste Colbert, marquis de Torcy, l'un des plus remarquables diplomates du règne de Louis XIV. Frédéric Masson, dans l'introduction au Journal inédit de Jean-Baptiste Colbert marquis de Torcy (Paris, Plon, 1884, page XIX) signale : « (...) Madame de Torcy, cette âme nette qui avait rencontré à la Cour, dans un mariage de convenance, un mariage d'amour. Janséniste elle était, et demeura. On en peut fournir pour preuve un modeste livre : le Traité de la fréquente communion de son grand-oncle Arnauld, où elle ne s'est point contentée de signer son nom sur la première page : Arnauld de Torcy, mais où, aux passages qui l'attiraient plus intimement, elle a mis un trait de plume ». Petites taches brunes sur la reliure, petits trous de ver sur le dos au tome II, pâles rousseurs.Sylvio Hermann De Franceschi, « Les Thèses thomistes à l’épreuve du conflit de la grâce générale », Chrétiens et sociétés, 17 | 2011, 9-43.