FLAMMARION.. Non daté.. In-12. Broché. Etat passable, Couv. légèrement passée, Dos abîmé, Intérieur acceptable. 309 pages. 1er plat de couverture détaché. Tampons et écritures au stylo sur la 1ère de couverture et sur la page de titre.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : R150063631
20ème mille. Avant-propos de Henri Barbusse. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
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Cracovie, Jean le Sincère, 1732 ; in-12. 172 pp. Veau brun, dos à nerfs orné, pièce de titre fauve. Très bon état. Relié à la suite : [DESCHAMPS (F. M. Chrétien)]. La religion défendue. Poème contre lEpître à Uranie. Rotterdam, Johnson, 1733 ; in-12. XVI-44 pp. Marges courtes.
"La femme docteur" est une comédie critique du Père Bougeant, jésuite, imitée de Molière, qui ridiculise les jansénistes. Elle paraît en 1730 et connaît un grand succès. Son auteur donnera à la suite quatre autres comédies dont l'Arlequin janséniste, inspiré de l'École des femmes ou de l'Impromptu de Versailles. La pièce pièce montre une troupe théâtrale qu'on veut empêcher de jouer La Femme Docteur, et Arlequin de faire ses gambades entre les acteurs et les fâcheux jansénistes. "Bien plus vivant que la critique des jansénistes apparaît le tableau d'une troupe théâtrale de province et l'apologie du théâtre en lui-même : «... et moi, je vous dis que nous autres Comédiens sommes les Docteurs du genre humain, que tous les vices, tous les faibles, toutes les passions, tous les ridicules du monde sont de notre ressort, que c'est un gibier qui nous appartient... » (acte 2 scène 2)". (Dabezies André. Érudition et humour : le Père Bougeant (1690-1743). In: Dix-huitième Siècle, n°9, 1977. Le sain et le malsain. pp. 259-271). Cette pièce a paru en septembre 1731 sous le titre "La critique de la femme docteur", réimprimé en février 1732 avec le nouveau titre d' "Arlequin janséniste". Bougeant est aussi l'auteur de "Amusement philosophique sur le langage des bêtes" (1739) qui lui valu les réprimandes de son ordre, d'une "Histoire du traité de Westphalie, ou des négociations qui se firent à Munster et à Osnabrug" (1744) et de nombreux articles dans le Journal de Trévoux...
Rare réunion de deux pièces historiques du plus haut intérêt, composées en l’honneur de l’assassinat du maréchal d’Ancre et de sa femme en 1617. I- Jouxte la coppie imprimee à Rouen par David Geoffroy, & Jacques Besongne, rue des Cordeliers joignant sainct Pierre, 1618. II- A Paris, jouxte la copie imprimée à Rouen chez Thomas Mallart, s.d. In-8 de 32 pp. et 31 pp. Portrait en taille-douce de la suite d’Odieuvre représentant Léonore Galigaï ajouté en tête du volume. Relié en plein maroquin havane janséniste du XIXe siècle, dos à nerfs, pièces de titre de maroquin rouge et vert, filet doré sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées. Reliure signée de Thibaron. 159 x 104 mm.
Rare réimpression de l’édition originale, elle-même extrêmement rare, de cette tragédie anonyme composée en vers en l’honneur de l’exécution de la marquise d’Ancre. Sur l’originale : Tchemerzine, IV, 647 ; Brunet, III, 1295 ; Barbier, 1869-1879, 107-108, Soleinne, Bibliothèque dramatique, 3730. « Très rare. L’auteur de cette tragédie est Pierre Matthieu et non Pierre de Sainte-Marthe, comme le dit Leris […] ; l’historiographe P. Matthieu, qui avait une vocation prononcée pour les pièces de ce genre. On trouve dans celle-ci des vers simples, nobles et touchants ; le caractère de Galigay est bien tracé, et la scène de l’exécution a dû produire beaucoup d’effet sur le théâtre, si elle a été représentée. Les personnages sont le grand Pan françois (Louis XIII), Aymelis de L. (Luynes), Léontilde de V. (de Villeroy), Almidor de N. (de Nemours), Argente du M. (du Maine), Lucidor de L. (de Longueville), le Solon françois (le président Deslandes), Galigay, etc. L’auteur a suivi l’esprit et la lettre du jugement qui condamna la maréchale comme sorcière et lui fit faire l’aveu de ses maléfices […] Cette tragédie, composée en l’honneur d’un assassinat juridique, est précédée d’un sonnet à la louange du roi » (Soleinne, 3730). « Eléonore Galigaï, fille d’un menuisier, épousa le célèbre et malheureux Concini, depuis maréchal d’Ancre. Galigaï était venue en France avec Marie de Médicis, dont elle était sœur de lait ; elle obtint par intrigue pour son mari les postes les plus brillants. L’abus insolent qu’ils firent de leur faveur souleva tous les grands de la Cour, et Louis XIII en particulier. Concini fut tué et sa femme conduite à la Bastille. On lui imputa mille crimes, et surtout celui de la magie. Ce procès, dit Anquetil, commença le 3 mai 1617 ; elle fut condamnée, le 8 juillet, à avoir la tête tranchée et son corps brûlé ; elle mourut sans bravade et sans frayeur […]. On fit sur sa mort une tragédie intitulée : ‘La Magicienne étrangère’, en 4 actes et en vers, Rouen, 1617, in-8 ». (Peignot, Dictionnaire biographique et bibliographique, 8). « Pièce rare » souligne Brunet. « M. Paul Lacroix (Catal. Soleinne, n° 3730), signale dans cette tragédie des vers simples, nobles et touchants. Il existe d’autres éditions de cette tragédie, qui provoqua un vif sentiment de curiosité ; elle répondait parfaitement aux passions du jour » (Barbier, 107-108). « Pièce de 32 pages, très rare ; elle attaque la maréchale d’Ancre, après sa fin tragique, avec un acharnement cruel. Le caractère de l’infortunée Galinaï est bien tracé » (Robert Naumann, Serapeum, 26). Ce violent pamphlet publié anonymement contre la femme du Maréchal d’Ancre rencontra un tel succès qu’il fut réimprimé à plusieurs reprises entre 1617 et 1626. On trouve reliée à la suite du présent ouvrage une autre pièce, également rare, qui raconte l’assassinat de concini, maréchal d’Ancre, le 24 avril 1617. Il s’agit ici de la réimpression de l’édition originale. (Brunet, V, 910 ; Soleinne, 3729). « L’édition de ‘Paris, jouxte la copie imprimée à Rouen’, a été copiée, page pour page et ligne pour ligne sur l’édition originale » (Brunet). « Pièce fort rare, qui reproduit sous la forme dramatique les détails historiques de l’assassinat du maréchal d’Ancre, sur le pont-levis du Louvre, par Charles d’Albert, duc de Luyne, Vitry et autres agents du roi. Les personnages de cette tragédie sont Python M.D. (marquis d’Ancre), Phebus, R. de F. (roi de France), Lydor de G. (de Guise), Alcé D.D., Antimars de V. (Vitry), Galligay, Ruburo Demon (Montalto, astrologue vénitien), Cleridam de L. (de Luynes), Theocrat de V. (de Villeroy), Arlin du M. (du Maine), Toleon de N. (de Nemours). […]. Il serait possible que l’auteur se fût mis en scène sous le nom du poète Alcé D.D. Ces deux initiales représenteraient alors le nom du sieur de Deimiers, auteur de la Liberté royale de Marseille, ouvrage publié à Paris en 1615, avec les mêmes initiales » (Soleinne, 3729). Aucun exemplaire de l’un ou l’autre de ces deux textes n’est passé sur le marché public international depuis plus de trente années. Précieux exemplaire réunissant deux pamphlets du plus haut intérêt historique. Provenance : de la bibliothèque E.M. Bancel avec ex libris.
Paris, Hachette, 1899 in-4, [2] ff. n. ch., 397 pp., un f. n. ch., avec de nombreuses illustrations en noir dans le texte et 20 planches hors texte, sous serpentes légendées, en feuilles sous étui et emboîtage
Édition originale de cette grande rétrospective de la représentation de la femme depuis l'Antiquité classique ; tous les supports sont concernés, mais c'est plus spécialement la peinture et la gravure qui retiennent l'attention du critique d'art Armand Dayot (1851-1934), prodigieusement éclectique, mais à l'information sûre. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Hachette, 1899 in-4, [2] ff. n. ch., 397 pp., un f. n. ch., avec de nombreuses illustrations en noir dans le texte et 20 planches hors texte, sous serpentes légendées, demi-maroquin cerise, dos à nerfs orné de pointillés, filets et caissons dorés, tête dorée, couverture de carton souple conservée (reliure de l'époque).
Édition originale de cette grande rétrospective de la représentation de la femme depuis l'Antiquité classique ; tous les supports sont concernés, mais c'est plus spécialement la peinture et la gravure qui retiennent l'attention du critique d'art Armand Dayot (1851-1934), prodigieusement éclectique, mais à l'information sûre. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Les Belles Lettres, Realia, 1984, 276 pp., broché, tarnches jaunies, très légères traces d'usage, bon état général.
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