‎THEVENIN RAYMOND.‎
‎MADAME LE JUGE.‎

‎FAYARD.. 1978.. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 356 pages. 1ère de couverture illustrée en couleurs. Ecriture au stylo sur la page de garde.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎

Reference : R150042432
ISBN : 2213005087


‎ Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎

€10.95 (€10.95 )
Bookseller's contact details

Le-livre.fr / Le Village du Livre

ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France

serviceclient@le-livre.fr

05 57 411 411

Contact bookseller

Payment mode
Others
Cheque
Others cards
Sale conditions

Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.

Contact bookseller about this book

Enter these characters to validate your form.
*
Send

5 book(s) with the same title

‎DUBUC ANDRE / COLLECTIF‎

Reference : RO20191207

(1976)

‎"LES AMIS DE FLAUBERT - N° 48 - MAI 1976 - Naissance et evolution d'une societe litteraire: ""les amis de Flaubert"", le roman de ""Madame Bovary"" jugé par Barbey d'Aurevilly, la critique rouennaise des ""Trois contes"", à propos de Bouvard et Pecuchet.."‎

‎IMP. YVETOTAISE. 1976. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 42 pages -. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎"Sommaire: Naissance et evolution d'une societe litteraire: ""les amis de Flaubert"", le roman de ""Madame Bovary"" jugé par Barbey d'Aurevilly, la critique rouennaise des ""Trois contes"", à propos de Bouvard et Pecuchet; une lettre inedite de Flaubert à Frederic Baudry... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues"‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎VU - Directeur : Lucien Vogel ‎

Reference : 122634

(1931)

Phone number : 04 78 38 32 46

EUR22.00 (€22.00 )

‎THEVENIN RAYMOND.‎

Reference : R150210261

(1978)

ISBN : 2213005087

‎MADAME LE JUGE‎

‎FAYARD. 1978. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 356 pages. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎


‎ Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎[Beaumarchais].‎

Reference : 19346

(1774)

‎Mémoire à consulter pour Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, Ecuyer, Conseiller-Secrétaire du Roi, & Lieutenant-Général des chasses aux bailliage & capitainerie de la Varenne du Louvre, grande vénerie & fauconnerie de France, accusé. (Suivi de) Supplement au Mémoire à consulter pour Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, .., accusé en corruption de juge & calomnie. (Suivi de) Addition au Supplement du Mémoire à consulter, pour Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, .., accusé, servant de réponse à Madame Goezman, accusée ; au Sieur Bertrand Dairolles, accusé ; aux Sieurs Marin, gazetier de France, & Darnaud Baculard, conseiller d'ambassade, assignés comme témoins. (Suivi de) Requête d'attenuation pour le Sr Caron de Beaumarchais. (Suivi de) Quatrième mémoire à consulter pour Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, .., contre M. Goezman, juge accusé de subornation & de faux, Madame Goezman, & le sieur Bertrand, accusés ; les Sieurs Marin, gazetier ; Darnaud-Baculard, conseiller d'ambassade ; & consorts.‎

‎ Sans lieu [Paris], 1774, in-12, 499 pp, cinq parties en un volume relié demi-veau havane époque, dos lisse orné de filets dorés, tranches jaunes. Manque la page de titre, sinon bon exemplaire sans rousseurs‎


‎Réédition en un volume au format in-12 des cinq mémoires de Beaumarchais dans l'affaire Goëzman. Le 17 juillet 1770, le financier Pâris-Duverney meurt et les dispositions qu'il a prises dans son testament en faveur de Beaumarchais sont contestées par le comte de La Blache, son légataire universel. Un procés s'ensuit et les biens de Beaumarchais sont finalement saisis lorsqu'en 1773 il publie à propos des agissements du rapporteur à son procès, le juge Goëzman, quatre mémoires dont l'esprit et la dialectique ont un retentissement considérable et font condamner le juge, le 26 février 1774. Ces mémoires singuliers sont encore le plus beau titre littéraire de leur auteur ; ils l'environnèrent d'une réputation bruyante qui alarma Voltaire lui-meme, jaloux de toute espèce de gloire et lui concilièrent je ne sais quelle faveur publique, dont il tira plus de force que de considération, mais qui n'en préparèrent pas moins le succés de tous ses ouvrages. (Michaud). ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR200.00 (€200.00 )

‎[ BRENET, Henry Catherine ]‎

Reference : 68763

(1790)

‎[ Belle L.AS. datée du 11 mai 1790, adressée à Madame Brenet Religieuse Bernardine a l'Abbaye du Lieu-Dieu à Beaune ] "Dijon, 11 mai 90. Il ya déjà longtemps que je ne t'ai donnée de nouvelles tu penses peut-être que je suis indifférent à en recevoir des tiennes [... ] J'avais des affaires comme tu le sais je t'apprendrai que lundi 3 de ce mois j'ai soutenu mon dernier examen. Tu va me dire que je m'en suis tiré avec les Etrivières, pas du tout ma petite poule j'ai été complimenté et comblé d'éloges si bien que sans délibérer et sans me faire retirer on m'a prodigué des louanges. Il faut avouer que l'on a bien peu ménagé ma modestie. Quoiqu'il en soit, ces messieurs ont eu la bonté d'être content de la preuve que je leur ai donné de mes talents il n'y a eu que moi de mécontent [ ... ] Je serais très fâché de n'avoir pas encore une thèse à soutenir pour me dédommager. Cette thèse sera publique à l'hôtel de ville en présence de tous les officiers municipaux de cette ville. Juge si je vais la travailler [... il évoque une donation de sa tante Thérèse, et explique que de son côté il n'a fait aucun arrangement avec son père "parce qu'il ne veut s'engager à rien" : ] "il a bien eu tort car il est presque sans le sou à présent et j'ai bien eu des maux pour me faire aggréger cette année au collège des médecins de Dijon. J'oublie de te dire que mon père et mon frère l'aîné viendront à ma thèse. Je voudrais que depuis Dijon ils voulussent faire le voyage de Beaune ; je tâcherai de les y décider. On songe actuellement à la formation des départements et cette semaine on aura une confédération de toute la [ milice ? ] de Bourgogne : la ville sans cela déserte ; presque tous les gens riches et aisés se sont [... ] à leur Campagne, il y avait évidemment deux partis celui des Enragés ou démagogues outrés a été le triomphant tout cela je l'avoue n'est pas amusant quoique je sois neutre fort heureusement. Je suis cependant faché de bien des choses. Adieu ma petite donne moi de tes nouvelles et ne m'oublie pas auprès de madame [ ... ] et et madame sa soeur [ ... ]. Ton ami Brenet"]‎

‎1 lettre autographe signée de 2 ff. (format 21,5 x 16cm ) avec cachet de cire et cachet postal "Dijon" : [ Belle L.AS. datée du 11 mai 1790, adressée à Madame Brenet Religieuse Bernardine a l'Abbaye du Lieu-Dieu à Beaune ] "Dijon, 11 mai 90. Il ya déjà longtemps que je ne t'ai donnée de nouvelles tu penses peut-être que je suis indifférent à en recevoir des tiennes [... ] J'avais des affaires comme tu le sais je t'apprendrai que lundi 3 de ce mois j'ai soutenu mon dernier examen. Tu va me dire que je m'en suis tiré avec les Etrivières, pas du tout ma petite poule j'ai été complimenté et comblé d'éloges si bien que sans délibérer et sans me faire retirer on m'a prodigué des louanges. Il faut avouer que l'on a bien peu ménagé ma modestie. Quoiqu'il en soit, ces messieurs ont eu la bonté d'être content de la preuve que je leur ai donné de mes talents il n'y a eu que moi de mécontent [ ... ] Je serais très fâché de n'avori pas encore une thèse à soutenir pour me dédommager. Cette thèse sera publique à l'hôtel-de-ville en présence de tous les officiers municipaux de cette ville. Juge si je vais la travailler [...] J'appris de Moissey lorsque j'y allai que ma tante Thérèse avait fait une donation [... il explique ensuite que de son côté il n'a fait aucun arrangement avec son père "parce qu'il ne veut s'engager à rien" : ] "il a bien eu tort car il est presque sans le sou à présent et j'ai bien eu des maux pour me faire aggréger cette année au collège des médecins de Dijon. J'oublie de te dire que mon père et mon frère l'aîné viendront à ma thèse. Je voudrais que depuis Dijon ils voulussent faire le voyage de Beaune ; je tâcherai de les y décider. On songe actuellement à la formation des départements et cette semaine on aura une confédération de toute la [ milice ? ] de Bourgogne : la ville sans cela [ serait de reste ? ] presque tous les gens riches et aisés se sont [... ] à leur Campagne, il y avait évidemment deux partis celui des Enragés ou démagogues outrés a été le triomphant tout cela je l'avoue n'est pas amusant quoique je sois neutre fort heureusement. Je suis cependant faché de bien des choses. Adieu ma petite donne moi de tes nouvelles et ne m'oublie pas auprès de Mde [ ... ] et et Mde sa soeur [ ... ]. Ton ami Brenet"]‎


‎Très intéressante lettre attribuable au médecin et futur député Henry Catherine Brenet (1764-1824). Né à Moissey près de Dôle, Henry Brenet avait suivi les cours de la faculté de Besançon, il vint achever ses études médicales à Paris, où il fut reçu docteur en médecine avec l'éloge de ses maîtres Louis, Vicq d’Azyr et Portal. S’étant établi en 1790 à Dijon, ainsi qu'il le précise dans sa lettre, il s'opposera aux Montagnards, et sera enfermé pendant la Terreur au château de Dijon. Dans la présente lettre, il se présentait prudemment comme "neutre" mais dénonçait les Enragès et les "Démagogues outrés". "Son insouciance apparente trompa ses gardiens, et il profita de la sécurité qu’il avait su leur inspirer pour s’échapper en escaladant une muraille" ; mais, informé qu’une épidémie venait de se manifester dans les hôpitaux de Dijon, il n’hésita pas à soigner les malades, et cette action lui valut la liberté. "Dès lors Brenet fut placé par l’opinion au rang des premiers praticiens de Dijon" (Michaud, V, 472). Abbaye cistercienne de moniales dite "abbaye du Lieu-Dieu" était située sur le territoire de la commune de Marey-lès-Fussey (au nord de Beaune). Bon état (la signature de Brenet visible sur le reste de papier contrecollé au cachet de cire). ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR350.00 (€350.00 )
Get it on Google Play Get it on AppStore
The item was added to your cart
You have just added :

-

There are/is 0 item(s) in your cart.
Total : €0.00
(without shipping fees)
What can I do with a user account ?

What can I do with a user account ?

  • All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches.
  • You may manage a list of your favourite, regular searches.
  • Your preferences (language, search parameters, etc.) are memorised.
  • You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it.
  • Get in touch with booksellers, order books and see previous orders.
  • Publish Events related to books.

And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !