ALBIN MICHEL.. 1922.. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 155 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : R150001233
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
Paris Fayard 1970 317 pages in-8. 1970. broché. 317 pages. In-8 broché (214x135 mm) 317 pages. L'extraordinaire histoire de la grandeur et de la décadence de manaos capitale du caoutchouc en amazonie. Couverture en assez bon état légèrement frottée en queue de dos. A noter que le dos de la couverture commence à se décoller du dos de l'ouvrage (à recoller). Intérieur propre. Poids : 350 gr
Alsatia 1951 486 pages Paris. in-8. 1951. broché. 486 pages. Nouvelle édition revue par Pierre Lamoureux
Etat correct. Couverture un peu salie et brunie avec une coupure à un mors. Intérieur propre bien que jauni
1 lettre autographe signée de 2 ff. (format 21,5 x 16cm ) avec cachet de cire et cachet postal "Dijon" : [ Belle L.AS. datée du 11 mai 1790, adressée à Madame Brenet Religieuse Bernardine a l'Abbaye du Lieu-Dieu à Beaune ] "Dijon, 11 mai 90. Il ya déjà longtemps que je ne t'ai donnée de nouvelles tu penses peut-être que je suis indifférent à en recevoir des tiennes [... ] J'avais des affaires comme tu le sais je t'apprendrai que lundi 3 de ce mois j'ai soutenu mon dernier examen. Tu va me dire que je m'en suis tiré avec les Etrivières, pas du tout ma petite poule j'ai été complimenté et comblé d'éloges si bien que sans délibérer et sans me faire retirer on m'a prodigué des louanges. Il faut avouer que l'on a bien peu ménagé ma modestie. Quoiqu'il en soit, ces messieurs ont eu la bonté d'être content de la preuve que je leur ai donné de mes talents il n'y a eu que moi de mécontent [ ... ] Je serais très fâché de n'avori pas encore une thèse à soutenir pour me dédommager. Cette thèse sera publique à l'hôtel-de-ville en présence de tous les officiers municipaux de cette ville. Juge si je vais la travailler [...] J'appris de Moissey lorsque j'y allai que ma tante Thérèse avait fait une donation [... il explique ensuite que de son côté il n'a fait aucun arrangement avec son père "parce qu'il ne veut s'engager à rien" : ] "il a bien eu tort car il est presque sans le sou à présent et j'ai bien eu des maux pour me faire aggréger cette année au collège des médecins de Dijon. J'oublie de te dire que mon père et mon frère l'aîné viendront à ma thèse. Je voudrais que depuis Dijon ils voulussent faire le voyage de Beaune ; je tâcherai de les y décider. On songe actuellement à la formation des départements et cette semaine on aura une confédération de toute la [ milice ? ] de Bourgogne : la ville sans cela [ serait de reste ? ] presque tous les gens riches et aisés se sont [... ] à leur Campagne, il y avait évidemment deux partis celui des Enragés ou démagogues outrés a été le triomphant tout cela je l'avoue n'est pas amusant quoique je sois neutre fort heureusement. Je suis cependant faché de bien des choses. Adieu ma petite donne moi de tes nouvelles et ne m'oublie pas auprès de Mde [ ... ] et et Mde sa soeur [ ... ]. Ton ami Brenet"]
Très intéressante lettre attribuable au médecin et futur député Henry Catherine Brenet (1764-1824). Né à Moissey près de Dôle, Henry Brenet avait suivi les cours de la faculté de Besançon, il vint achever ses études médicales à Paris, où il fut reçu docteur en médecine avec l'éloge de ses maîtres Louis, Vicq d’Azyr et Portal. S’étant établi en 1790 à Dijon, ainsi qu'il le précise dans sa lettre, il s'opposera aux Montagnards, et sera enfermé pendant la Terreur au château de Dijon. Dans la présente lettre, il se présentait prudemment comme "neutre" mais dénonçait les Enragès et les "Démagogues outrés". "Son insouciance apparente trompa ses gardiens, et il profita de la sécurité qu’il avait su leur inspirer pour s’échapper en escaladant une muraille" ; mais, informé qu’une épidémie venait de se manifester dans les hôpitaux de Dijon, il n’hésita pas à soigner les malades, et cette action lui valut la liberté. "Dès lors Brenet fut placé par l’opinion au rang des premiers praticiens de Dijon" (Michaud, V, 472). Abbaye cistercienne de moniales dite "abbaye du Lieu-Dieu" était située sur le territoire de la commune de Marey-lès-Fussey (au nord de Beaune). Bon état (la signature de Brenet visible sur le reste de papier contrecollé au cachet de cire).
France-Empire, 1979 pt in-8°, 413 pp, annexe, broché, couv. illustrée, bon état
Renouant avec la tradition de ses grandes enquêtes historiques sur les camps d'extermination de la seconde guerre mondiale – dix ouvrages, dont les témoignages inédits constituent l'acte d'accusation le plus complet et le plus irréfutable contre la barbarie nazie – Christian Bernadac s'est attaché dans “L'Holocauste oublié” au martyre inconnu de ce peuple du voyage, les tsiganes, qui était condamné au même titre que les juifs, par les lois raciales du Reich. L'horreur et l'immensité de la « Solution finale » du problème juif ont le plus souvent masqué le massacre organisé des tsiganes européens. Aucun tsigane ne témoigna au procès de Nuremberg. Ce « silence » sur la disparition d'au moins 250.000 tsiganes trouve une explication logique dans l'absence de langue écrite tsigane, mais aussi et surtout dans la « mauvaise conscience » de tous ceux qui ont eu à coeur, pendant des siècles, de mépriser, insulter, poursuivre, rejeter, condamner ces bohémiens, romanichels ou autres « voleurs d'enfants et de poulets », marginaux non par atavisme, mais par la seule force des attitudes de leurs contemporains. Sait-on que les autorités françaises avaient commencé l'internement « des nomades » dans de véritables camps de concentration français, construits sur le territoire français dans les mois qui ont précédé la seconde guerre mondiale ? Christian Bernadac a retrouvé les archives de ces camps que l'on néglige aujourd'hui encore de mentionner. Ces documents et un ensemble inégalable de témoignages ont permis à l'auteur de retracer dans L'Holocauste oublié la longue persécution de ces familles marquées depuis « la fuite indienne » par une malédiction, en de nombreux points comparables à celle qui frappa la race juive. “L'Holocauste oublié”, une révélation qu'il faut – enfin – avoir le courage de découvrir et de lire.
DEDICACE . "Ceux qu'on oublie : dix ans après tout s'ra passé Et oublié... c'est si facile .On dédaignera l'imbécile Qui, sur le front, n'a rien gagné." poèmes d'André VALTON. . Ill. de RUDEREAU. Sans mention d'édition.( ca. 1930) In-8 ( 27,5 X 19 cm) , broché . 29 p. non paginées sur fort papier teinté beige.
Bandeau de librairie avec portrait de l'auteur. . Petit manque de papier au coin supérieur droit de la couverture sinon bon état.