‎HUTCHINGS ARTHUR‎
‎MOZART LE MUSICIEN‎

‎VAN DE VELDE. 1976. In-4. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 132 pages. Nombreuses illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 780.92-Musiciens, concertistes‎

Reference : R110262415


‎Traduit par Max Piquepé. Classification Dewey : 780.92-Musiciens, concertistes‎

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‎Hutchings Arthur‎

Reference : 7247

ISBN : B005KGZ2AC

‎Mozart, le musicien‎


‎Phonogramm Broché D'occasion bon état 01/01/1976 150 pages‎

Phone number : 01 43 29 11 00

EUR10.00 (€10.00 )

‎Revue La Table Ronde sur Mozart - Jacques Duron - Georges Piroué - Pierre Barbier - Hans Kühner - Roland-Manuel - H.-H. Stuckenschmidt - Yves Florenne - Bronislaw Horowicz - J.M. Gautier - Robert Poulet -J.-J. Kim - Claude Rostand - Félix Raugel‎

Reference : 87025

(1956)

‎Revue La Table Ronde n° 101 - Mai 1956 - Wolfgang Amadeus Mozart , (L'humain Mozart - Mozart et les siens - Mozart secret - Mozart et l'esprit français - Mozart européen -Don Juan à n'en plus finir - Mozart, homme de théâtre - Mozart fut-il un musicien d'église - Mozart et les intellectuels - Mozart et les Muses - Mozart et le disque -Paris fidèle au souvenir de Mozart)‎

‎Librairie Plon , La Table Ronde Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1956 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur rouge grand In-8 1 vol. - 185 pages‎


‎ 1ere édition, 1956 Contents, Chapitres : Jacques Duron : Mozart - Georges Piroué : L'humain Mozart - Pierre Barbier : Mozart et les siens - Hans Kühner : Mozart secret - Roland-Manuel : Mozart et l'esprit français - H.-H. Stuckenschmidt : Mozart européen - Yves Florenne : Don Juan à n'en plus finir - Bronislaw Horowicz : Mozart, homme de théâtre - J.M. Gautier : Mozart fut-il un musicien d'église - Robert Poulet : Mozart et les intellectuels -J.-J. Kim : Mozart et les Muses - Claude Rostand : Mozart et le disque - Félix Raugel : Paris fidèle au souvenir de Mozart couverture à peine jaunie, avec d'infimes traces de pliures sans gravité sur les bords des plats, intérieur propre papier legerement jauni, cela reste un bon exemplaire‎

Librairie Internet Philoscience - Malicorne-sur-Sarthe
EUR8.00 (€8.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110444356

(1926)

‎Dimanche-Illustré n° 156 - La chambre a voté le projet financier, Mozart, enfant prodige et musicien de génie par Funck Brentano, Dans le vent de la steppe par Emile Pagès, Au bord du gouffre mystérieux par Maurice Lever, Bicot, président de club, offre‎

‎Bureau du journal. 21 février 1926. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : La chambre a voté le projet financier, Mozart, enfant prodige et musicien de génie par Funck Brentano, Dans le vent de la steppe par Emile Pagès, Au bord du gouffre mystérieux par Maurice Lever, Bicot, président de club, offre de la dentelle, La famille Mirliton, Narcisse prestidigitateur Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎PERRIN, Emile‎

Reference : 44449

(1860)

‎Chronique Musicale. [ Manuscrit autographe signé de 12 pp. in-8, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860 ] "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎

‎Manuscrit signé de 12 feuillets in-8 oblong rédigés au recto, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860, tome IX, pp. 409-413 : Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et de sa réception en France sont très informées. "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎


‎Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et la présentation de sa réception en France sont celles d'un critique très informé. Manuscrit provenant du fonds Dentu (l'éditeur Edouard Dentu prit la direction de la Revue Européenne de 1859 à 1862).‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR390.00 (€390.00 )

‎Collectif‎

Reference : RO10017339

(1955)

‎Musica n° 13 - Technique: notre pain quotidien par Panzera, Henri Tomasi le musicien de Don Juan de Mañara, Les cinq (1), La symphonie en sol mineur de Mozart par La Salle, L'éclairage moderne par Boll, Le violon (2) par Mayeux, Pourquoi j'ai écrit‎

‎Musica. Avril 1955. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 46 pages. Illustrations noir et blanc et en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 780-Musique‎


‎"Technique: notre pain quotidien par Panzera, Henri Tomasi le musicien de Don Juan de Mañara, Les cinq (1), La symphonie en sol mineur de Mozart par La Salle, L'éclairage moderne par Boll, Le violon (2) par Mayeux, Pourquoi j'ai écrit un ""Richard Wagner"" par Dumesnil, La musique et les danses de Bali par Van Loo. Classification Dewey : 780-Musique"‎

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