Plon, 1934. In-8° broché de 330 pages.
Reference : 4639
Librairie Frédéric Delbos
M. Frédéric Delbos
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Etienne-Nicolas Bourjon (1824-18..), un des fondateurs du Journal des écoles en mai 1847 avec Arthur Mangin, révolutionnaire en 1848.
Reference : 009930
Etienne-Nicolas Bourjon (1824-18..), un des fondateurs du Journal des écoles en mai 1847 avec Arthur Mangin, révolutionnaire en 1848. L.A.S., 3 mai 1865, 4p in-8. A Arthur Mangin. Il est question d'un répétiteur en droit que recherche Mangin. Bourjon a écrit à plusieurs amis à ce sujet, nommant trois deux ceux-ci : Vernet et Bocquet, avec qui Mangin et Bourjon ont fondé le Journal des écoles et François-André Isambert, l'avocat abolitionniste et révolutionnaire en 1848. Il termine par un paragraphe contre les écoles confessionnelles, précisant : « Je suis en cela comme en beaucoup d'autres choses resté jacobin ». On ne trouve que peu de chose sur Bourjon [ou Bourgeon]. Il a été condamné à 5 jours de prison en 1844 pour avoir troublé des commémorations pour la naissance de Molière. [299-2]
Charles Cros (1842-1888), poète, inventeur. L.A.S., 3 janvier 1870, 2p in-8. A l'écrivain et vulgarisateur scientifique Arthur Mangin (1824-1887) : « Monsieur, En recherchant votre adresse je me suis aperçu d'un oubli que j'ai vivement regretté. Une lettre que je vous adressais à l'occasion des lignes que vous m'avez consacrées dans le Phare de la Loire, est restée chez moi. Pardonnez moi donc et soyez sûr de toute ma gratitude pour l'appréciation bienveillante et hautement flatteuse que vous avez faite de mon mémoire. Je trouve, et je n'hésite pas à le dire, que vous êtes le seul, parmi les publicistes qui ont parlé de ce travail, à dire clairement et éloquemment ce que je pensais et que je ne pouvais dire moi-même. Ne me trouvez pas prétentieux, car il ne s'agit que d'un but que j'ambitionne et que je n'ai pas atteint encore. Il faut peut être que quelques siècles passent là-dessus. Encore pardon de mon silence involontaire et veuillez me permettre, Monsieur, de me dire votre reconnaissant ami Charles Cros ». Une autre main, probablement Arthur Mangin, a ajouté l'adresse, 95 rue de Rennes. Cette lettre est donc un remerciement pour l'article de Mangin dans Le Phare de la Loire du 4 octobre 1869 (p.3) dans lequel il rend compte de la plaquette de Cros, Etude sur les moyens de communication avec les planètes (Paris, aux bureaux du Cosmos et chez Gauthier-Villars, 1869). Il s'agit en fait d'un tirage à part de la revue Cosmos. Charles Cros y a publié ses articles les 7, 14 et 21 août 1869 avant de les réunir en plaquette. Rappelons que Le Phare de la Loire est un des grands journaux républicains de l'époque, probablement le plus important de province. Il appartenait alors à Evariste Mangin (1825-1901), cousin germain d'Arthur. Très rare lettre de Charles Cros. [370]
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Bureau de la revue. 24 mai 1925. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 561 à 588. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Sommaire : Sur la route Mandarine par Roland Dorgeles, Yvonne dine en ville par Romain Coolus, Le général Mangin, homme de guerre par André Grimaud, La politique du général Mangin en Rhénanie par B. de Vaulx, Au temps des crinolines : canrobert par le général Mangin Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Henri Lasserre (1828-1900), journaliste, écrivain catholique. L.A.S., sd [fin 1864-début 1865], 2pœ in-8. A Arthur Mangin. Il est question d'un traitement de Mangin par les propriétaires d'un journal, Martin et Beaupré. Mangin s'en est plaint à Lasserre qui reconnait la réclamation légitime et en parlera aux propriétaires. Il mentionne toutefois : « les divergences d'idées religieuses ont été la cause qui nous a déterminés à nous séparer d'un homme dont chacun appréciait ici la compétence et le talent. Mais le principe de l'homogénéité de la rédaction a dû dominer le regret que nous avions ». Mangin devait effectivement dénoter car paradoxalement, s'il collaborait avec Lasserre, donc avec un journal catholique, et avec Mame, éditeur catholique, il n'en était pas moins révolutionnaire en 1848 et républicain tout au long de sa vie. [301]
Amédée Villard (1825-XIXe), avocat à Nîmes. L.A.S., Nîmes, 18 février 1886, 2p in-8. A Arthur Mangin. Il a envoyé son livre, « publié naguère », L'histoire du prolétariat à Brelay (Emile Brelay (1817-1889)?) pour qu'il en parle mais « il en a jugé autrement », préférant s'effacer devant Mangin. Il lui envoie ses trois livres, sur conseil de Brelay, afin que Mangin en parle : ses histoires de l'esclavage, du servage et du prolétariat. Il espère que Mangin jugera utile d'en parler. [303-2]