‎DOMINIQUE Pierre ‎
‎La Commune de Paris ‎

‎ 1967. Grasset, 1970. Format 14x23 cm, cartonnage editeur sous jaquette illustree, 437 pages. Jaquette tres abimee, livre en tres bon etat. Etat correct. ‎

Reference : 45597


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M. Frédéric Delbos

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Reference : 42929

(1872)

‎[Commune de Paris. Archives Arthur Arnould].‎

‎, Sans date, (1872-1871). 43 photographies « carte de visite » (60 x 90 mm) montées dans un album in-12 oblong (130 x 180 mm) chagrin brun gaufré et orné à froid, dos lisse orné, tranches dorées, traces de fermoir (reliure de l'époque). ‎


‎Album de la Commune de 43 portraits-vignettes enchâssés recto verso sortis des ateliers parisiens de Disderi, Otto et Fière, Carel, Ernest Appert, Étienne Carjat etc. dont plusieurs enrichis d’un envoi autographe signé adressé à Arthur Arnould, un des acteurs principaux de la Commune de Paris. Journaliste, 38 ans en 1871, adjoint au maire du IVe pendant le Siège, Arthur Arnould est élu à la Commune par les IVe et VIIIe arrondissements (il opte pour le premier). Responsable de plusieurs commissions et co-rédacteur du « Journal Officiel » avec Vermorel, il réussit à se réfugier en Suisse. Rentré en France, il publie des romans sous les pseudonymes de A. Matthey (nom de sa femme morte en 1886) et de Arthur de Guéblange. Il meurt en 1895 après avoir adhéré à une secte théosophique. Son Histoire populaire et parlementaire de la Commune de Paris (Bruxelles, 1878) est l’un des rares livres d’un acteur de la Commune qui s’attarde sur les «idées» de la Commune plus que sur les faits. (Le Quillec, n°169).Contient (chaque envoi est mentionné) : 1. Henri Rochefort (envoi autographe signé daté 7 janvier 1870) ; 2. Jean-Baptiste Millière (envoi autographe signé) ; 3. Gustave Flourens (envoi autographe signé) ; 4. Raoul Rigaut ; 5. Marc-Amédée Gromier (envoi autographe signé) ; 6. Jules Allix ; 7. Napoléon La Cécilia ; 8. Paschal Grousset ; 9. Eugène Razoua ; 10.11. Arthur Arnoult (2 portraits dont un ex dono « Offert d’une façon toute gracieuse le 31 mars 70) ; 12. Louis Noir (« Journal du Peuple »), envoi autographe signé « mais je prie les dames de me croire moins laid que ça » ; 13. Yvan Salmon, dit Victor Noir sur son lit de mort ; 14. Édouard Lockroy (envoi autographe signé) ; 15. Jean Barberet (envoi autographe signé) ; 16. Charles Habeneck (envoi autographe signé) ; 17. Robert Hyenne (envoi autographe signé) ; 18.19. Albert Barbieux (« Le Rappel », 2 portraits avec envoi autographe signé) ; 20. Jean Albiot ; 21. Adolphe Clémence, dit Roussel (envoi autographe signé) ; 22. Gustave Puissant (envoi autographe signé) ; 23. Edmond Bazire (envoi autographe signé) ; 24. Charles Rodenback (envoi autographe signé) ; 25. Alphonse Houbert (envoi autographe signé) ; 26. Émile Aubry (envoi autographe signé, 1829-1900, lithographe, un des fondateurs de l’Association internationale des travailleurs, communard, réfugié politique en Belgique) 27. Germain Casse (envoi autographe signé) 28. Affaire Pierre Bonaparte à la Une - Salle de la Marseillaise - Journal du 23 mars 1870 [Pierre Bonaparte, fils du frère cadet de Napoléon Ier, Lucien, tire une balle en plein cœur d'un jeune journaliste, Victor Noir, le matin du 10 janvier 1870. Cet événement donnera lieu à un procès très suivi par la presse, courant mars 1870] ; 29. Victor Noir ; 30. Anonyme (studio Saint-Edme, Esplanade des Invalides) ; 31. Gustave Cluseret ; 32. Charles Lullier « général de la Commune destitué » ; 33. Adolphe Assi ; 34. Edmond Mégy ; 35. Charles Delescluze ; 36. Alexis Trinquet ; 37. de Forville ; 38. Gustave Maroteau ; 39. Hippolyte Carnot ; 40. Anonyme ; 41. Gustave Lefrançais ; 42. Eugène Vermersh ; 43. Anonyme. ‎

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EUR5,000.00 (€5,000.00 )

Reference : 40987

(1951)

‎Vive la Commune ! édité pour le 51e anniversaire de Maurice Thorez et le 80e anniversaire de la Commune de Paris.‎

‎Paris, Éditions sociales, 1951. In-8 broché de 70-(1) pp., couverture imprimée en rouge et illustrée. ‎


‎Édition originale. De la Commune à Maurice Thorez, par Victor Leduc. La Commune de Paris, par Friedrich Engels. Signification de la Commune, par Émile Tersen. La Commune, c'est la liberté, par Joanny Berlioz. Chronologie sommaire de la Commune de Paris. Nombreuses illustrations in texte. « Célébration de l'anniversaire de Thorez et accessoirement de la Commune ! ». Le Quillec, 2589. ‎

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EUR30.00 (€30.00 )

‎VIDIEU (Abbé Auguste).‎

Reference : 28851

(1876)

‎Histoire de la Commune de Paris en 1871.‎

‎ P., Dentu, 1876, gr. in-8°, vii-657 pp, reliure demi-veau glacé blond, dos à 4 nerfs filetés, soulignés à froid et bordés de filets dorés, pièce de titre chagrin carmin, tranches pennées (rel. de l'époque), dos très lég. frotté, bon état, ex-libris de Montgermont. Edition originale. Bel exemplaire‎


‎"En politique, aussi bien que chez les êtres organisés, un monstre ne saurait naître avant d’être conçu. La Commune de Paris a dû avoir une origine propre, comme tout ce qui a une forme, une vie à soi et une fin. Des faits d’une inconcevable imprévoyance l’ont aidée à sortir de terre, rien de plus incontestable ; mais si, le 18 mars, elle a pu apparaître, et si elle s’est implantée au pouvoir pendant soixante-six jours, c’est que les organisateurs de cette orgie criminelle en avaient depuis longtemps préparé et combiné tous les éléments. Car ce n’est pas dans l’espace de deux mois seulement que les passions de plusieurs milliers d’individus ont été excitées et allumées jusqu’au délire. Il y a des années que l’œuvre infernale était étudiée dans tous ses détails par cette société qui a rempli le monde du bruit de ses congrès et de la discussion de ses théories : l’Internationale..." — "La Commune n'entreprenait pas seulement une oeuvre politique, elle visait aussi à une oeuvre morale. Fonder le régime communal et fédéral ne lui paraissait pas suffisant, elle voulait encore régénérer le peuple de Paris. C'est pour cela qu'elle arrêta les prêtres, ferma les églises, et qu'elle s'efforça, par un enseignement nouveau, d'arracher enfin les âmes à l'ignorance et à la superstition cléricales..." — L'auteur était vicaire de Saint-Roch. Selon lui, aux causes habituelles de l'insurrection vient s'ajouter « la politique socialiste du Second Empire ». (Le Quillec, 4640) — "Voici un des travaux les plus complets qui aient été faits sur le douloureux episode d'histoire contemporaine dont nous avons été les témoins attristés et indignés : une horde de bandits, sortant des antres des sociétés secrètes, s'imposant â toute une population, régnant en. maîtresse dans la capitale, forçant le gouvernement à entreprendre un. siège en règle, et couronnant enfin sa honteuse domination par l'incendie de nos principaux monuments et le meurtre des otages. Quel tableau ! et comment le raconter dans tous ses détails, à travers les récits incomplets et contradictoires ? Comment tracer sa route au milieu de cette masse de documents plus ou moins dignes de foi ? M. l'abbé Vidieu n'a pas reculé devant cette tâche immense, nous constatons qu'il a réussi à mettre en relief tous les faits, qu'il les a groupés avec méthode et qu'il a même apporté sur plusieurs points sa part spéciale d'informations. Notre devoir était donc de signaler ce livre comme un des plus importants sur la matière. En voici le plan. et les divisions : – Première partie : Les origines et les. débuts de la Commune (p. 1-175). L'auteur recherche quelle part revient à l'Internationale dans le mouvement du 18 mars, raconte cette journée, l'intervention des maires, l'organisation du comité central, expose la constitution de la Commune, étudie son personnel et examine les causes qui préparèrent son avénement. – Deuxième partie : Règne de la Commune (p. 176-429).Voici la Commune à l'oeuvre : nous allons voir comment elle applique son programme et par quels procédés elle gouverne. L'auteur nous la montre dans une série de chapitres provoquant la guerre civile, persécutant les prêtres, s'attaquant à la liberté individuelle, emprisonnant les otages et les mettant au régime cellulaire ; supprimant les journaux, voulant régénérer la société par l'instruction communale et les clubs, soutenant énergiquement mais avec de continuels échecs la lutte contre l'armée de Versailles, en. proie à des divisions intestines qui l'affaiblissent encore, et, à bout de ressources, finissant par décréter la terreur. – Troisième partie : Chute de la Commune (p. 430-621). Nous assistons aux dernières convulsions de la haine et de la démence : lutte acharnée contre l'armée de Mac-Mahon; incendies allumés sur tous les points, massacre des otages. Après avoir retracé avec détail ces scènes effroyables, l'auteur donne l'exposé de l'oeuvre accomplie par la justice à l'égard des inculpés, et, dans deux derniers chapitres, il recherche les causes de la chute de la Commune et examine la possibilité de -son retour, en indiquant les moyens qu'il croit de nature à prévenir ce retour..." (Revue des Questions historiques, 1877) ‎

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‎GIRAULT (Jacques).‎

Reference : 14721

(1971)

‎La Commune et Bordeaux (1870-1871). Contribution à l'étude du mouvement ouvrier et de l'idéologie républicaine en province au moment de la Commune de Paris.‎

‎ Editions Sociales, 1971, in-8°, 318 pp, un plan, sources, chronologie, index, broché, couv. illustrée, bon état‎


‎"L'extrême-gauche bordelaise a fait plusieurs tentatives pour soutenir le mouvement parisien, à défaut d'instaurer une Commune à Bordeaux. Mais le préfet Fernand Duval (futur préfet de la Seine) restera maître de la ville et il n'y aura pas de « journées » à Bordeaux." (Le Quillec, 2038) — "Pourquoi la Commune n'a-t-elle pas été proclamée a Bordeaux ? Jacques Girault répond à cette question en faisant une étude approfondie de la situation du grand port du Sud-Ouest au moment de la guerre franco-allemande. La première explication mise en avant, c'est que Bordeaux n'est pas une grande cité ouvrière. Le prolétariat est loin d'y être majoritaire dans la population active et il s'agit essentiellement d'ouvriers d'anciens types. (...) L'étude est suivie d'une assez copieuse publication de textes souvent fort intéressants. On y trouve les idées, fort peu marxistes, de Lafargue en octobre 1870. Du même Lafargue, une relation extrêmement vivante de son séjour à Paris entre le 7 et le 8 avril 1871 ou il décrit les grands bâtiments publics occupés par un peuple bon enfant. On peut lire enfin des rapports très précis extraits de l'enquête parlementaire, orientés bien sûr vers la thèse du complot, mais qui dressent un tableau minutieux et clair de la situation des forces républicaines bordelaises en 1870 et 1871." (J. Estèbe, Le centenaire de la Commune par le livre, 1974) — "Trop longtemps circonscrite à l'insurrection parisienne, l'histoire de la Commune commence, depuis quelques années, à couvrir la province. L'ambiguïté de l'idée républicaine, d'une part, l'interpénétration d'intérêts entre le mouvement ouvrier et la bourgeoisie radicale, d'autre part, font qu'en dépit du rôle de Lafargue, Bordeaux ne se sent guère solidaire de Paris. S'appuyant sur une documentation solide, l'ouvrage de J. G. constitue une contribution importante à l'histoire du mouvement ouvrier." (Revue française de science politique, 1974) ‎

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‎[PLACARD - COMMUNE] ‎

Reference : 223237

‎République française. - Commune de Paris. Comité de salut public‎

‎[Paris], Imprimerie nationale, mai 1871 (vers 1950) in-8, en feuille, contrecollé sur papier fort. ‎


‎Il s'agit de la reproduction dans un périodique hebdomadaire (cf. verso de la découpe) d'un placard in-folio de la Commune de Paris daté du 27 floréal 1871 [= 17 mai], et portant sur l'incendie de la cartoucherie de l'avenue Rapp, évidemment attribué au gouvernement de Versailles par la Commune.Le texte est signé du nouveau Comité, désigné le 9 mai et composé exclusivement de blanquistes : Antoine-Jules Arnaud, Émile Eudes, Charles-Ferdinand Gambon, Gabriel Ranvier et Alfred-Édouard Billioray. ‎

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