1998. Via Valeriano, 1998. Format 13x19 cm, broche, 110 pages. Bon etat.
Reference : 41810
Librairie Frédéric Delbos
M. Frédéric Delbos
06 30 21 18 72
Vous pouvez passer votre commande par e-mail (je préfère) ou par téléphone ou même par courrier. Nous vous confirmerons ainsi la disponibilité de l'ouvrage. Nous enverrons votre commande dès réception de votre règlement. Il faut ajouter au prix le prix du port au plus pres des frais de port. Les livres sont envoyés par pickup ou mondial relay. Pour les colis importants ou les envois à l'étranger, nous passerons un accord préalable.
Société française d'imprimerie et de librairie 1890 311 pages in4. 1890. Relié. 311 pages. Sur les ruines nombreuses illustrations de R. Malherbe
Bon Etat couverture frottée dorure sur tranche défraîchie intérieur jauni mais impeccable très bonne tenue date estimée autour de 1890
Ferenczi 1955 in12. 1955. Agrafé. 7 volume(s).
couvertures défraîchies frottées intérieurs jauni circa 1955 fente sur le dos de "l'idole dans les ruines"
Du terroir 1982 255 pages in8. 1982. Broché. 255 pages. quelques figures dans le texte en noir et blanc Chapitres : Généralités - L'attitude devant les ruines - Les fouilles du Père de la Croix - Du Père de la Croix à nos jours - Le théâtre - Les habitations - Les thermes - Le temple - L'environnement archéologique et historique - Les voies anciennes - Le matériel découvert et les essais de datation - Les interprétations : Premières hypothèses - L'hypothèse du Père de la Croix - Les études scientifiques - Les nouvelles directions de recherches - nb : dans le département de la Vienne à 30 kms de Poitiers et 12 de Lusignan 420 [Fercé sur Sarthe France]
Bon Etat de conservation couverture frottée
Didot | Paris 1803 | 40 x 54 cm | une feuille
Gravure originale in folio, extraite du Voyage dans la Basse et la Haute Egypte de Vivant Denon.Planche composée de 3 vues ainsi décrites par l'auteur:N° 1. Ruines d'un temple près Chnubis, à sept ou huit cents toises de l'enceinte de cette ville: ce petit monument situé, comme l'hermitage, sur le bord du désert, a un caractere très imposant ; un sanctuaire de la plus haute antiquité a été entouré postérieurement d'une galerie tournante, qui étoit terminée par deux portiques qui sont détruits. J'aurois desiré en faire plusieurs vues, car tous ses aspects étoient également nobles et pittoresques ; la nudité du sol à l'entour de ce monument ne laisse aucun doute sur l'isolement où il a été de tous les temps, et ne doit point y faire chercher l'existence d'une ville perdue dans la nuit des temps.N° 2. Vue des ruines d'Ombos, capitale du nome de ce nom, bâtie dans une situation théâtrale, dominant le Nil et toute cette région de la vallée ; les débris de ses monuments sortent encore fastueusement des briques et des tessons de ses édifices particuliers : on voit à droite le mur de sa circonvallation , avec une porte qui y est encore comprise ; la seule fois que j'aie rencontré cette conservation : les deux môles, qui servoient sans doute d'entrée à l'enceinte du grand temple que l'on voit derriere , bâtis sur un terrain mouvant, ou rapporté, avoient des fondations qui descendoient jusqu'au niveau du fleuve ; le temple, très avantageusement situé, devoit produire l'effet le plus imposant lorsqu'il étoit environné de tous ses accessoires ; la ruine en est encore admirable. Je ne la vis que pour avoir à regretter de ne pouvoir en faire une vue qui pût donner l'idée de sa splendeur. A gauche, sur un monticule de briques rouges, qui sont les restes de la ville antique, on appercoit quelques fabriques, qui sont les habitations d'Arabes pasteurs, qui vivent misérablement sur les ruines fastueuses des habitations antiques. J'ai regretté de ne pouvoir chercher dans son enceinte s'il y auroit des vestiges de quelques bassins où auroient été nourris les crocodiles que l'on adoroit à Ombos.N° 3. Vue des ruines de Chnubis, une des villes dont les restes, quoique nombreux, donnent le moins d'idée de son plan et de la disposition de ses édifices ; elle aura sans doute été bâtie ou reconstruite à diverses époques : on y voit de très petits monuments tout près des grands, et également soignés dans leurs détails. J'ai vu deux fois Chnubis, et toutes deux de la maniere la plus incommode (voyez le journal, tome II, page 170).Les ruines à droite sont de petites formes, et n'ont pu appartenir qu'à de très petits monuments ; ce qui les termine, est un groupe de deux figures de granit accolées et renversées : l'endroit où sont les deux personnages isolés est un parapet qui entoure un bassin autour duquel étoit une galerie en colonnes. Il reste encore de l'eau dans l'emplacement où l'on voit un chasseur qui tire un coup de fusil sur un des oiseaux qui étoient dans le marais. Le monument auprès des hommes à cheval est une galerie de deux especes de colonnes élevées à deux époques, unies cependant par la même plate-bande : seroient-ce les restes d'un temple auquel on auroit fait des augmentations? Tout près sont deux portes paralleles, de dimensions moins grandes, et ayant appartenu à un autre monument, le tout magnifiquement recouvert de nombreux hiéroglyphes ; mais ce qu'il y a de plus particulier dans les ruines de cette ville, c'est la grande muraille en briques non cuites dont ses monuments sont encore enceints ; on voit tout à gauche une ouverture, qui étoit sans doute une porte , dont on peut suivre la ligne tout le long du second plan ; derriere est la chaîne libyque ; en avant du paysage passe le Nil, devant lequel il y avoit un quai, dont il reste quelques ruines.Très discrètes rousseurs, deux minuscules trous marginaux, une infime trace de pliure angulaire, sinon bel état de conservation.Publié pour la première fois en deux volumes, dont un atlas
Phone number : 01 56 08 08 85
, Artha. Art & Heritage, 2023 HB, 320 x 240 mm, 272 pages, FR edition. ISBN 9789464368109.
Le site de Villers est c l bre pour ses impressionnants vestiges d'une abbaye cistercienne m di vale, en ruine depuis le XIXe si cle. Apr s la dissolution de la communaut monastique en 1796 par l'administration r volutionnaire fran aise, tous ses biens sont nationalis s et vendus, et le nouveau propri taire exploite le site comme une source de mat riaux de construction. La nature envahit ce qui reste de pierre. Malgr le regret de tout ce qui s'est perdu, ce d labrement cr e une atmosph re qui captive l'imagination. Les ruines figurent dans les albums lithographiques du XIXe si cle et les guides de voyage illustr s ; elles font l'objet d'une litt rature romantique, d' tudes historiques, d'analyses architecturales et de campagnes de restauration. Des ouvrages ducatifs destin s au grand public, des cartes postales et des photographies contemporaines compl tent le tableau. Ces publications tr s diverses t moignent de la dynamique fascinante qui gouverne la repr sentation du paysage et de son histoire. Texte et image orientent le regard du lecteur et alimentent dans une large mesure l'exp rience collective du lieu. Les ruines sont par excellence un lieu d'interaction entre l'homme et la nature, o le paysage et l'histoire se m lent inextricablement. Cet entrelacement s'exprime la fois dans l'imaginaire romantique sous toutes ses formes, et dans la recherche scientifique. Dans les ann es 1890, cela conduit des travaux concrets et des d bats sur l'ampleur donner la restauration (ou m me la reconstruction). En m me temps, l'exploration des ruines offre d'inoubliables exp riences de promenade, de d couverte, de m ditation, de r flexion, de dessin, de reconstruction imaginaire de l'abbaye... De m me que tout visiteur a son profil individuel, chaque rencontre avec le site donne lieu une infinit d'impressions diff rentes. Ruines dans un paysage : l'abbaye de Villers traite de l'image des ruines au XIXe si cle et l'illustre par des documents visuels souvent in dits.