‎LENOTRE G‎
‎Babet Empoisonneuse ou Empoisonnée‎

‎Empoisonneuse ou l'empoisonnée édition originale sur pur fil G. LENOTRE Babet Paris, Librairie Académique Perrin et Cie. In-8°, 236 pages. 2 petites coupures en couverture. Par ailleurs, très bel exemplaire sur papier Lafuma n°129 , tirage de tête. G. LENOTRE (1855-1935) fit ses x8Etudes x88 Metz, chez les Jx8Esuites ou il eut pour condisciple le futur marx8Echal Foch. Quand l'Allemagne annexa la Lorraine, sa famille choisit la France. Installx8E x88 Paris, G. Lenotre entra d'abord au ministx8Fre des Finances, comme employx8E au bureau des statistiques, mais il devait bientx99t se consacrer x88 sa vx8Eritable passion, l'Histoire. Collaborateur au Figaro, x88 la Revue des deux mondes, au Monde illustrx8E et au Temps ox9D il livrait ses chroniques de xC7 petite histoire xC8, il publia x8Egalement de nombreux ouvrages, pour l'essentiel consacrx8Es x88 la Rx8Evolution et bx89tis x88 partir de documents d'x8Epoques (journaux, rapports de police, registres d'x8Etat-civil.) On peut citer entre autres : Paris Rx8Evolutionnaire, La Guillotine et les exx8Ecuteurs des arrx90ts criminels pendant la Rx8Evolution, Un conspirateur royaliste pendant la Terreur : le baron de Bats, Le Vrai Chevalier de Maison-Rouge, La Captivitx8E et la mort de Marie-Antoinette, La Chouannerie normande au temps de l'Empire, Le Drame de Varennes, Les Massacres de Septembre, Les Fils de Philippe-.galitx8E pendant la terreur, Bleus, Blancs et Rouges, Le Roi Louis XVII et l'x8Enigme du Temple, La Proscription des Girondins. Il s'essaya aussi au thx8Ex89tre avec Les Trois Glorieuses, Varennes, Les Grognards. Rendant hommage x88 cet historien de la Terreur, .mile Gaborit a x8Ecrit : xC7 Il avait le culte du parfait dx8Etail et la foi dans une impalpable survivance du passx8E. xC8 Aprx8Fs un x8Echec au fauteuil Sardou en 1909, celui qu'on se plaisait x88 surnommer le xC7 Sardou de l'Histoire xC8 fut x8Elu x88 l'Acadx8Emie franx8Daise le 1er dx8Ecembre 1932, au fauteuil de Renx8E Bazin, par 20 voix. xE5gx8E de 77 ans x88 l'x8Epoque de son x8Election, G. Lenotre s'x8Eteignit avant de pouvoir six8Eger et ne prononx8Da jamais le discours qu'il avait x8Ecrit en hommage x88 Renx8E Bazin.‎

‎Babet - L'empoisonneuse ou l'empoisonnée‎

‎ 1927 Editions Perrin 1927 - Nouvelle Collection Historique "Enigmes et Drames Judiciaires d'autrefois" - Treizième édition - Petit In-8 broché - 236 pages ‎

‎assez Bon état - Couverture un peu défraichie, avec renforts de scotch aux niveaux des coiffes et en bas du Premier plat, dos légèrement voilé ‎

‎Babet l'empoisonneuse... ou l'empoisonnée.‎

‎ Perrin, 1927, in-12, 236 pp, broché, pt trace d'humidité ancienne en marge inf. des 10 premiers feuillets, bon état (Coll. Enigmes et drames judiciaires d'autrefois)‎

‎Une sordide histoire criminelle pendant la Révolution et le Premier Empire. L’ouvrage retrace l’histoire d’Elizabeth Leverd, dite « Babet », venue s’installée à Choisy à l’été 1803 avec son époux le comte Charles de Normont et sa tante Françoise Leverd, dite Françoise de Mellertz... A l'été 1764, à l'auberge de la Poste d'Avesnes, le comte de Normond a remarqué Françoise, une des filles de l'aubergiste Leverd. Françoise, enlevée par cet amoureux entreprenant et quelque peu débauché, va devenir tout d'abord sa servante. Puis va gagner en influence, jusqu'à être la maîtresse de la maison et des cordons de la bourse de M. le comte. Françoise refuse toute gratification, récuse toute proposition de mariage. Au risque de sa propre contagion, elle sauve le fils, Charles, en le soignant de la petite vérole. Durant vingt-quatre ans, elle fût la bienfaitrice désintéressée de la famille de Normond. Mais en 1788, le comte finit par mourir, et Françoise remit à Charles les 500.000 livres, portefeuilles et valeurs dont elle était dépositaire et qu'elle avait fait fructifier grâce à une habile et prévoyante gestion. En 1793, Charles de Normond est arrêté, s'évade et émigre. Françoise, devenue Mme de Mellertz, est de nouveau à la tête d'une véritable fortune. Le calme revenu, Charles va s'amouracher de la nièce de Françoise que l'on surnomme "Babet" ... C'est alors l'enfer à la maison ! Un enfer qui va déboucher le 12 mai 1814 sur l'affaire de Choisy-le-Roy, et l'ouverture d'un procès en cour d'assises... L'histoire reste une énigme : Elizabeth a-t-elle été la proie malheureuse de sa tante ou, au contraire, une habile manipulatrice ? ‎

‎BABET l'empoisonneuse ou l'empoisonnée.‎

‎ broché - 12x19 - 236 pp - 1927 - librairie académique PERRIN et Cie, Paris.collection " drames judiciaires d'autrefois".‎

‎Babet l'empoisonneuse... ou l'empoisonnée.‎

‎Collection Drames judiciaires d'autrefoisParis, Perrin et Cie, 1927 in-12, 236 pp., biblio., broché. ‎

‎À la fin du XVIIIe siècle, les menées de la fille d'un aubergiste, Françoise Leverd, devenue, sous le nom de Mme Dervel, la compagne du comte de Normont, pour garder la fortune de ce dernier après sa mort et dont le fils Charles, issu d'un premier lit, épousa sa nièce qu'elle surnomma Babet. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎