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LARGUIER Léo
Les ombres.
Firmin-Didot Firmin-Didot et cie, 1935, 243 p., demi-chagrin bleu nuit, environ 23x14cm, plats d'origine conservés. L'un des 15 exemplaires hors-commerce sur pur fil Lafuma. Un envoi + 4 courriers + 2 textes + 1 photo dédicacée par Léo Larguier pour son ami Antonin Wast, directeur dde Firmin-Didot et Cie, puis de la librairie Gedage. Une griffure sur le premier plat, légères trainées blanches sur le cuir, des rousseurs sur la tranche et les premières pages, bon état pour le reste.
Reference : 96669
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Œuvres complètes de Victor Hugo. Poésie. VII. Les Rayons et les Ombres. Edition originale de cet « ouvrage rare et recherché » tiré à 1500 exemplaires.
Exemplaire très pur, conserve dans son demi-chagrin vert de l’époque, de cette originale littéraire rare et recherchée. Paris, Delloye, Libraire, 1840. In-8 de (2) ff., xiii pp., (1) f., 389 pp. Relié en demi-chagrin vert de l’époque, dos à nerfs orné de filets dorés, caissons avec encadrements de 4 filets dorés, tranches jaspées. 210 x 133 mm.
Édition originale de cet « ouvrage rare et recherché » tiré à 1500 exemplaires. (Carteret). Escoffier, 1392; Clouzot p. 147; Catalogue Rothschild, 876; Bulletin Morgand et Fatout, 11204; Carteret, I, p. 412. Il n’y eut pas de tirage sur grand papier. «Les Rayons et les Ombres dépassent en grandeur et en harmonie les plus beaux chants des ‘Feuilles d’automne’. Il y a dans tout ce recueil une élévation de pensées, une douceur de sentiment, une supériorité de bienveillance, un calme majestueux […]. Dans les Rayons et les Ombres, tout est modèle, tout est beau. Il faut lire les vers qui terminent le volume et qui sont adressés à mademoiselle Louise Bertin». (Emile de Girardin, Œuvres complètes, p. 17). «Dans la pensée de l’auteur, ce volume reste lié aux trois recueils de poèmes qu’il avait publiés depuis 1830 (‘les Feuilles d’automne’, ‘les Chants du crépuscule’, ‘les Voix intérieures’) et dans lesquels se trouvent confondues les plus extraordinaires qualités d’expression et les tours les plus déclamatoires […]. Victor Hugo se dégage assez de lui-même pour atteindre à des accents bouleversants, à une grâce fière et magnifique: parmi les chefs-d’œuvre de cette veine, il faut citer ‘Les 7 août 1829’, ‘Rencontre’, ‘Oceano Nox’, ‘Caeruleum mare’, ‘Guitare’ (qui témoigne d’une surprenante virtuosité), et la ‘Tristesse d’Olympio’, poème limpide et solennel. Tous ces poèmes ont leur place dans les anthologies, et à juste titre: la plénitude du génie de Victor Hugo, alors à sa maturité, s’y manifeste, avant qu’il atteigne au lyrisme grandiose et demeuré des ‘Contemplations’». (Dictionnaire des Œuvres, V, p. 655). «Dans ‘Les Rayons et les Ombres’, le cœur du poète se montre au premier plan […]. Parmi les rayons, le plus chaudement coloré c’est le délicieux souvenir d’enfance intitulé ‘ce qui se passait aux Feuillantines en 1831’. Là le poète raconte avec une sensibilité ravissante une petite scène de famille dont il est le héros […]. Voilà les plus brillants rayons parmi ceux qui éclairent le front du poète. Non seulement on admire de pareils vers, mais on se sent meilleurs après les avoir lus: c’est le plus beau triomphe qu’un écrivain puisse se proposer. Quant aux Ombres, nous citerons comme une espèce d’andante poétique, les ‘Tristesses d’Olympio’, intimes épanchements d’une âme de feu. C’est l’auteur qui raconte les souvenirs de sa bouillante et mystérieuse jeunesse. Ce morceau est plein d’une mélancolie douce et majestueuse. Le ‘Fiat voluntas’ est déchirant; il donne un frisson glacial». (L’Université catholique, recueil religieux, philosophique, scientifique, littéraire, 1840, pp. 297-300). Exemplaire très pur, conserve dans son demi-chagrin vert de l’époque, de cette originale littéraire rare et recherchée. Seules deux bibliothèques publiques françaises possèdent cette édition originale.
Œuvres complètes de Victor Hugo. Poésie. VII. Les Rayons et les Ombres. Edition originale de cet ouvrage recherché de Victor Hugo
L’édition originale de cet « ouvrage rare et recherché » de Victor Hugo, dans une fine reliure de l’époque en demi-chagrin vert. Paris, Delloye, Libraire, 1840.In-8 de (2) ff., xiii pp., (1) f., 389 pp. Relié en demi-chagrin vert de l’époque, dos à nerfs orné de filets dorés, caissons avec encadrements de 4 filets dorés, tranches jaspées.210 x 133 mm.
Edition originale de cet « ouvrage rare et recherché » tiré à 1500 exemplaires. (Carteret). Escoffier, 1392 ; Clouzot p. 147 ; Catalogue Rothschild, 876 ; Bulletin Morgand et Fatout, 11204 ; Carteret, I, p. 412. Il n’y eut pas de tirage sur grand papier. « Les Rayons et les Ombres dépassent en grandeur et en harmonie les plus beaux chants des ‘Feuilles d’automne’. Il y a dans tout ce recueil une élévation de pensées, une douceur de sentiment, une supériorité de bienveillance, un calme majestueux […]. Dans les Rayons et les Ombres, tout est modèle, tout est beau. Il faut lire les vers qui terminent le volume et qui sont adressés à mademoiselle Louise Bertin ». (Emile de Girardin, Œuvres complètes, p. 17). « Dans la pensée de l’auteur, ce volume reste lié aux trois recueils de poèmes qu’il avait publiés depuis 1830 (‘les Feuilles d’automne’, ‘les Chants du crépuscule’, ‘les Voix intérieures’) et dans lesquels se trouvent confondues les plus extraordinaires qualités d’expression et les tours les plus déclamatoires […]. Victor Hugo se dégage assez de lui-même pour atteindre à des accents bouleversants, à une grâce fière et magnifique : parmi les chefs-d’œuvre de cette veine, il faut citer ‘Les 7 août 1829’, ‘Rencontre’, ‘Oceano Nox’, ‘Caeruleum mare’, ‘Guitare’ (qui témoigne d’une surprenante virtuosité), et la ‘Tristesse d’Olympio’, poème limpide et solennel. Tous ces poèmes ont leur place dans les anthologies, et à juste titre : la plénitude du génie de Victor Hugo, alors à sa maturité, s’y manifeste, avant qu’il atteigne au lyrisme grandiose et demeuré des ‘Contemplations’ ». (Dictionnaire des Œuvres, V, p. 655). « Dans ‘Les Rayons et les Ombres’, le cœur du poète se montre au premier plan […]. Parmi les rayons, le plus chaudement coloré c’est le délicieux souvenir d’enfance intitulé ‘ce qui se passait aux Feuillantines en 1831’. Là le poète raconte avec une sensibilité ravissante une petite scène de famille dont il est le héros […]. Voilà les plus brillants rayons parmi ceux qui éclairent le front du poète. Non seulement on admire de pareils vers, mais on se sent meilleurs après les avoir lus : c’est le plus beau triomphe qu’un écrivain puisse se proposer. Quant aux Ombres, nous citerons comme une espèce d’andante poétique, les ‘Tristesses d’Olympio’, intimes épanchements d’une âme de feu. C’est l’auteur qui raconte les souvenirs de sa bouillante et mystérieuse jeunesse. Ce morceau est plein d’une mélancolie douce et majestueuse. Le ‘Fiat voluntas’ est déchirant ; il donne un frisson glacial ». (L’Université catholique, recueil religieux, philosophique, scientifique, littéraire, 1840, pp. 297-300). Exemplaire très pur, conserve dans son demi-chagrin vert de l’époque, de cette originale littéraire rare et recherchée. Seules deux bibliothèques publiques françaises possèdent cette édition originale.
Le Sphinx. Épopée lyrique en 16 tableaux. Poème et musique de Georges Fragerolle. Ombres et décors de Amédée Vignola.
Paris, Enoch & Cie, et E. Flammarion, 1896. In-8 oblong de [42] pages, cartonnage d'éditeur illustré d'une composition en couleurs (qui s'étend sur les deux plats).
Illustré par Amédée Vignola de 17 lithographies en couleurs à pleine page, d'un titre illustré (plus la couverture). Cette pièce de théatre d'ombres fut jouée la première fois au Chat noir dont Fragerolle était le pianiste attitré, avec Erik Satie. Il a composé la plupart des musiques et poèmes des pièces du théâtre d'ombres qu’il interprétait avec une voix de baryton, entre autres aux côtés du peintre et scénographe Henri Rivière à partir de 1887. Il était, selon Émile Goudeau, "le maestro du Chat noir et des Hydropathes ". Belle publication, dont le cartonnage est hélas un poil fatigué.
Les Théâtres d'Ombres à Montmartre de 1887 à 1923
Paris, les éditions des Presses modernes au Palais-Royal, 1937. In-8 oblong, 173 pp., broché, couverture originale illustrée (3 pliures et 4 micro-déchirures à la couverture, petites rousseurs).
Édition originale et unique de cette étude historique relative aux théâtres d'ombres montmartrois. Un des 160 exemplaires sur alfa de Navarre. Il est illustré de reproductions en noir dans le texte. La couverture est l'oeuvre d'Eugène Lefebvre et la préface de Dominique Bonnaud. Exemplaire non coupé. Voir photographie(s) / See picture(s) * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Aladin. Ombres chinoises en quinze tableaux. Musique de Jane Vieu. Poème & images de Lucien Métivet.
Paris, Enoch et Co., Ernest Flammarion, 1904. In-4 oblong, 47-(1) pp., cartonnage éditeur entièrement illustré sous jaquette illustrée (petites déchirures à la jaquette).
Bel album d'ombres chinoises avec partition musicale pour piano et chant. Illustré de 12 compositions à pleines pages en couleurs et de nombreuses vignettes monochromes. Agréable exemplaire, rare complet de sa jaquette. * Voir photographies / See pictures. * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
