1984, 417 p., broché, bon état.
Reference : 87153
Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Librairie Diogène
Mme Claire Dulac
29 rue saint jean
69005 Lyon
France
33 04 78 42 29 41
Les ouvrages sont payables à la commande. Nous acceptons les règlements par chèque, virement, ou carte bancaire. Les paiements doivent être effectués en euros. En raison des frais bancaires, les paiements en devises étrangères seront majorés d'une somme de 25 euros. Les frais de port et d'assurance sont à la charge de l'acheteur. En cas d'envoi simple, sans suivi ni assurance, c'est l'acheteur qui est responsable. Une estimation des frais de port peut être faite sur simple demande, pour un ouvrage et une destination donnés. ATTENTION : les livres proposés sur le site ne sont pas directement accessibles à la Librairie. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez les consulter au magasin.
Réalmont (81120), chez l'auteur, 1984, gr. in-8°, 419 pp, 44 gravures et photos, dont une dépliante hors texte, 7 cartes et plans, dont 2 dépliant hors texte, sources, broché, couv. illustrée, bon état, envoi a.s.
Bastide du XIIIe siècle située entre Albi et Castres au centre géographique du Tarn, la ville de Réalmont fut fondée en 1272 par Guillaume de Cohardon sénéchal de Carcassonne. Ce bourg qui a longtemps été un des marchés les plus importants du Tarn a conservé aujourd'hui encore une très grande attraction. — "Un lecteur signale que dans les années 1930, la municipalité avait voulu implanter derrière l'église des urinoirs. Cette histoire est relatée dans l'ouvrage de Louis Mayzou « Réalmont bastide du XIIIe siècle ». Il fait allusion à « Clochemerle » un roman sur une bataille autour d'une vespasienne dans un village du Beaujolais, édité en 1934. Un succès traduit en une vingtaine de langues, vendu en millions d'exemplaires et toujours réédité en livre de poche. Donc en 1933, le maire de Réalmont, veut construire un édicule sanitaire, louable intention. Mais l'emplacement choisi, derrière l'église soulève une vague de protestations. Les contreforts sont reliés par une grille en fer pour bien marquer que ces espaces sont parties intégrantes de l'église. Une grille est enlevée et les travaux commencent. Le curé assigne le maire en référé. Ordonnance de suspension. Le maire n'en tient pas compte. Une nuit, les séparations des urinoirs en grès (ou ardoise) sont cassées à coups de masse. On ne saura jamais qui tenait le manche. Assignations, appels, procès se succèdent. Finalement en mars 1935 le maire est condamné à remettre toutes choses en l'état. Quel était le nom du maire ? Louis Mayzou écrit M. Vincens. Peut-être avait-il remplacé Paul Albarède élu en 1930. La liste des maires de Réalmont ne mentionne pas ce nom..." (J. Record, la Dépêche du Midi, 20 janvier 2011)