Citadelles et Mazenod Citadelles et Mazonod, Coll; les Grands Mouvements et Tendances, 2013, 463 p., cartonnage éditeur sous jaquette et étui assorti, environ 35x28cm. Dos de l'étui un peu froissé avec quelques petites griffures sur le haut. Bon état néanmoins.
Reference : 114618
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Paris se trouve aux trois têtes 1936 160 pages in-8. 1936. broché. 160 pages. In-8 broché (252x165 mm) III-160 pages. Le Romantisme par le livre l'autographe et l'estampe.Nombreuses illustrations en noir.Couverture en bon état bien que brunie. Intérieur propre. Poids : 420 gr
Paris Arthaud 1968 336 pages in-8. 1968. relié. 336 pages. In-8 carré (224x180 mm) 336 pages (Avec Table des matières). Livre relié Simili-Cuir bleu marine sous jaquette rhodoïd. Ouvrage illustré de 74 héliogravures (principalement hors-texte). Bon exemplaire
Albert Skira 1961 137 pages collection Le goût de notre temps. In-8 carré. 1961. Cartonné/Jaquette. 137 pages. Illustrations en couleurs contre-collées
Bon état. Gouttière un peu salie sinon très bon état
Hachette Réalités 1980 . In-4 32 x 27,5 cm. Reliure de l’éditeur pleine toile rouge sous jaquette illustrée en couleurs, 318 pp., nombreuses reproductions en couleurs et en noir. Exemplaire en bon état.. Poids sans emballage : 2350 grammes. L’ouvrage analyse la production des années 1760 à 1848, quitte à remonter plus avant dans le XVIIIe siècle pour examiner certaines anticipations du romantisme. La démarche se termine jusqu’au second romantisme des années 1860, voire jusqu’au symbolisme.
L’ouvrage analyse la production des années 1760 à 1848, quitte à remonter plus avant dans le XVIIIe siècle pour examiner certaines anticipations du romantisme. La démarche se termine jusqu’au second romantisme des années 1860, voire jusqu’au symbolisme. Bon état d’occasion
Ramsay, 1980, in-8°, 170 pp, broché, couv. illustrée, bon état, bande éditeur conservée
Rahel Varnhagen von Ense, née Rahel Levin, est une écrivaine allemande de l'époque du romantisme, née le 19 mai 1771 et décédée le 7 mars 1833 à Berlin. À l’aube du romantisme, Rahel assiste à la naissance du nationalisme allemand et participe à son renouveau culturel. Elle tient un salon littéraire à Berlin et connaît, reçoit ou rencontre Goethe, Hegel, Louis-Ferdinand de Prusse, Beethoven et Heine, qu’elle influence. Déjà, elle plaide pour la liberté et l’égalité des femmes et en « héroïne » romantique, aime jusqu’au délire avant de rencontrer celui qui l’acceptera totalement : Auguste Varnhagen. Avec lui, elle voyage en France, en Hollande... À travers la vie de Rahel Levin qu’elle dépeint avec passion et talent, c’est aussi d’elle et de notre époque que nous parle Clara Malraux. — "Le titre donne déjà le ton de l'œuvre, soulignant le rapport privilégié de l'auteur avec son personnage mais aussi la singularité d'une approche dont l'auteur ne cache pas les tendances « exhibitionnistes » (p. 76). En s'attachant à faire revivre la figure de Rahel Levin-Varnhagen (1771-1833), Clara Malraux s'avoue tout d'abord fascinée par l'évident sentiment d'identité intérieure que peut avoir cette femme dans un milieu qui lui est à bien des égards hostile. Mais, comme par ses origines, sa condition de femme et sa volonté d'être sans cesse en prise sur son temps, l'auteur n'a de cesse de s'identifier à son personnage, ce livre qui au départ se voulait un « livre de complicité » (p. 11) devient au fil des pages un livre-prétexte où les « Revenons à Rahel » jalonnent une réflexion sur soi-même. Certes, nous apprenons sur Rahel, Berlin, les milieux juifs et intellectuels du début du XlXe siècle nombre de détails intéressants : évolution de la condition juive et, parallèlement, de celle des femmes, rapports neufs du social et du politique, élaboration d'une sociabilité nouvelle etc., mais le tout reste dominé par un souci permanent d'identification qui étouffe jusqu'à la superbe évidence à soi qui caractérise Rahel (« Toute ma vie je me suis prise pour Rahel et rien d'autre », cité p. 12). Certes cette identification a l'avantage de souligner l'actualité de certains problèmes, l'ampleur de certains changements dans les mentalités comme dans les mœurs, mais elle présente aussi l'inconvénient de pousser parfois jusqu'à l'absurde l'éclairage modernisant braqué sur le personnage. De plus, elle finit par isoler Rahel de cette période de transition – temps de la Philosophie des Lumières, temps de la Révolution française – qui constitue le véritable terreau du Romantisme allemand. C'est finalement à une analyse à rebours des mouvements littéraires du début du XIXe siècle qu'aboutit cette approche singulière. (...) Dans ce livre écrit avec passion et partialité, il est un point cependant où la volonté identificatrice de l'auteur fait merveille, c'est la description de la nouvelle sociabilité, l'analyse des nouveaux rapports amoureux. Là, le regard, le langage, l'écriture du XXe siècle finissant permettent de saisir un phénomène de société en pleine mutation : inversion des rôles, bouleversement des rapports homme- femme, importance de contacts sociaux si bien décrits et mis en pratique par Rahel («J'ai fait du talent de vivre ma principale étude »), valeur enfin reconnue du témoignage au féminin que sont le salon, la correspondance et le journal intime. Bref, du titre à l'index des noms cités, Rahel, ma grande sœur... reste un livre subjectif, attachant par les deux figures qui l'animent, l'auteur et son personnage." (Marie-Claire Hoock-Demarle, Romantisme, 1982)