Lithographie en couleur 81 X 60 cm. Tirage a 30 ex., planche signee et numerotee.
Reference : GRA218
Librairie Ancienne Cerat
M. Jean Cerat
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Greece
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[Marseille], Typographie d'Antoine Ricard, s.d. (1828) in-4, 94 pp., un f. n. ch. de conclusions, avec un grand tableau dépliant hors texte (Tableau comparatif des conditions proposées par la Compagnie adjudicataire de l'Arsenal, de celles proposées par la ville de Marseille, et de celles qui furent arrêtées par le gouvernement du Roi), en feuilles, cousu.
Pièce juridique signée le 24 avril 1828 par l'avocat Thomas. Elle concerne les éventuelles servitudes "aedificandi" du Grand Théâtre de Marseille, construit de 1786 à 1787 sur un terrain libéré par le transfert de l'arsenal des galères à Toulon. Ce bâtiment n'existe plus, ayant été ravagé par un incendie le 13 novembre 1919, à l'issue d'une répétition de L'Africaine de Giacomo Meyerbeer.Un seul exemplaire au CCF (Université d'Aix-Marseille). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Marseille, Laffitte Reprints, 1974 3 tomes en 2 vol. in-8, XXII-479 pp., 448 pp. et 487 pp., bradel percaline brune (reliure de l'éditeur). Mors supérieur du 1er volume abîmé. Ex-libris Henry Aureille.
Réimpression de l'édition de Marseille en 1838-1840.Charles-Antoine Lourde (1807-1841), historien et professeur de lettres. Il vit à Paris puis déménage à Marseille à la fin des années 1830, d'où il écrira son Histoire de la Révolution à Marseille et en Provence, tout en s'intéressant de près à l'affaire Mistral à Saint-Rémy-de-Provence.L’ouvrage est réalisé avec la contribution de Paul-François Bouillon-Landais qui possède une vaste collection d’imprimés. L’auteur, qui signe «C. Lourde, de Mazamet», est un fervent partisan de la Révolution et défend ses objectifs et ses actions. Il renonce cependant à publier des listes nominatives sur le massacre du fort Saint Jean de juin 1795, ce qui entraîne un procès de la part de son éditeur et son départ pour Avignon. Il y est chargé de la rédaction d’une nouvelle statistique départementale: il donne deux livraisons sur dix d’un «Voyage topographique, historique et pittoresque dans le département du Vaucluse» (1840) avant de disparaître de la scène littéraire.Réimpression tirée à 300 exemplaires de l'édition de Marseille, parue entre 1838 et 1839. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Marseille, Jules Barile, Paris, chez Renard, 1842 3 vol. in-8, XXII-415 pp., 520 pp. et 488 pp., demi-basane verte, dos lisse orné de filets dorés (reliure de l'époque). Rousseurs éparses. Coins frottés dont un fragile (volume 3). Bon exemplaire.
Deuxième édition, augmentée et continuée jusqu'en 1841, d'un ouvrage couronné en 1833 par la Commission chargée de décerner le prix fondé par le baron Félix de Beaujour.Cette histoire du commerce phocéen, de la fondation de Marseille à 1841, se subdivise en six grandes parties : 1. Aperçu historique ; 2. Des institutions locales ; 3. Commerce de Marseille avec les nations étrangères ; 4. Commerce de Marseille avec les colonies et les ports de France ; 5. Industrie de Marseille et principales branches de son commerce ; 6. Améliorations.Kress, C.5848. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Toulouse, Claude-Gilles Lecamus, s.d. (1720) in-4, 8 pp., en feuilles.
Très importante décision royale qui marque une étape dans la prise en charge de l'épidémie de Marseille, sur un modèle classique, mais jamais encore utilisé avec cette netteté : en effet, de nombreuses réglementations avaient déjà été mises en place depuis juillet 1720 par les diverses autorités locales et les Parlements, le tout dans la confusion anarchique qui caractérisait l'extrême éparpillement desdites autorités. Afin d'harmoniser la réglementation, le Conseil d'État prit donc, le 14 septembre 1720, un arrêt qui annulait toutes les mesures prises, instituait un blocus de Marseille et réglait la police maritime, marquant ainsi une prise en main affirmée du pouvoir royal et une dépossession des compétences des pouvoirs locaux, à tel point que le parlement d'Aix protesta en refusant d'abord de l'enregistrer.Les attendus valent la peine d'être reproduits : "Plusieurs Parlemens de ce Royaume ont cru devoir rendre des arrêts où leur zèle pour la conservation des provinces de leur ressort les a portez à prendre des précautions surabondantes, & capables, non seulement d'augmenter l'alarme & la consternation dans le coeur des peuples, mais encore d'interrompre le cours ordinaire du commerce, & de priver leur païs même, par un excès de prévoyance, des secours qui leur sont le plus nécessaires (...)" Plus ça change, moins ça change .. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
[ÉGLISES DE MARSEILLE] [BELSUNCE DE CASTELMORON (Henri-François-Xavier de)]
Reference : 223143
Sur l'imprimé à Marseille, Toulouse, Claude-Gilles Lecamus, s.d. (1721) in-4, 4 pp., en feuille.
Du 12 août 1721. L'été 1721 vit à Marseille la reprise générale de l'activité consécutive à la baisse significative des cas de peste et de la mortalité afférente ; l'évêque de la ville en profita, dès le 20 juin 1721, pour organiser une grande procession à l'occasion de la fête du Sacré-Cœur, et ce, malgré les réticences des autorités civiles. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT