Paris, La Dilettante 1989, 180x120mm, 38pages, broché. Bel exemplaire.
Reference : 100998
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Édition originale avec envoi autographe de Rouget de Lisle « au citoyen Bennezek ». Bel exemplaire, des bibliothèques Pixérecourt et docteur Lucien Graux. A Paris, de l'Imprimerie de P. Didot l’aïné, 1796. In-8 de (2) ff., 157 pp., 5 pages de partitions gravées, 1 gravure hors texte.Veau blond raciné, petite guirlande dorée en encadrement, dos lisse finement orné, pièce de titre de maroquin rouge, tranches jaspées. Reliure de ['époque. 190 x 109 mm.
Edition originale du premier livre de Rouget de Lisle présentant les couplets de la Marseillaise. Elle fut composée tant pour les paroles que pour la musique, dans la nuit du 24 au 25 avril 1792, à Strasbourg, chez le maire de la grande cité alsacienne, Dietrich, par Claude Joseph Rouget de Lisle (1760-1836), simple capitaine du génie, originaire du Jura. Entonné le 22 juin de la même année, à Marseille, par un étudiant en médecine de Montpellier, François Mireur, lors du banquet qui réunissait les volontaires du bataillon marseillais qui se préparait à partir pour la défense du pays, ceux-ci, enthousiasmés, l'adoptèrent comme chant de ralliement. De ville en ville, partout où ils passaient, les Marseillais le chantèrent, avec passion. La Marseillaise paraît ici pour la première fois dans un volume entièrement dû à Rouget de Lisle et portant son nom. Elle y est en six stances, telle qu’il la composa. Titre : « Le Chant des Combats, vulgairement L’Hymne des Marseillois. Aux Mânes de Sylvain Bailly, premier maire de Paris ». « Le 30 juillet 1792, les 516 hommes composant ce bataillon de Fédérés entrèrent dans Paris : guidés par Santerre « ils débouchèrent sur la place de la Bastille, tambours battant, drapeau tricolore déployé, à une allure martiale, chantant l'hymne, encore inconnu à Paris, de l'armée du Rhin » (Ph. Sagnac, la Révolution, 1789-1792, « Histoire de France contemporaine », de Lavisse). « Les larmes, dit encore le Père Duchesne d'Hébert, coulaient de tous les yeux ; l'air retentissait des cris de : Vive la Nation / Vive la liberté ! » Dès lors, l'hymne reçut le nom de Chanson des Marseillais, puis, par abréviation, de Marseillaise. Chanté le 10 août de la même année, toujours par les bataillons marseillais, lorsqu'ils envahirent les Tuileries, adopté par les soldats de la République, par ces « Volontaires de 92 » ; il est présent sur les champs de bataille. Le 17 octobre, la convention décida d'en faire l'Hymne de la République. Décrété chant national le 26 messidor an III (14 juillet 1795), ce titre lui sera confirmé ; au début de la IIIe République, à la suite d'un débat à la Chambre des Députés, le 14 février 1879. Chant de la patrie envahie, la Marseillaise dit l'amour du foyer, la douceur des campagnes menacées par l'ennemi du dehors ; elle en appelle à la juste vengeance, au courage, à l'héroïsme ; elle proclame la mort plutôt que la honte. Jaillissant spontanément des cœurs, elle fut un signe de ralliement dans la victoire comme dans la défaite. » « Chant révolutionnaire, sorti des entrailles d'un peuple souverain, amoureux de la liberté et de la fraternité, elle sonne l'heure du combat contre toutes les formes de la tyrannie, contre tous les visages de l'oppression. A ce titre, elle fut chantée dans toute l'Europe par les troupes révolutionnaires à l'assaut de la monarchie et de l'ancien régime, en ce sens, elle est, comme l'a dit Michelet, « un chant éternel ajouté à la voix des nations. » Ce recueil contient en outre en prose Adélaïde de Monville, avec une jolie figure gravée par Gaucher d’après Lebarbier, en premier tirage. A la fin : « Chant de l’Hymne à l’Espérance. Gravé par Richomme », soit ce titre et 5 pages de paroles et musiques gravées. Précieux exemplaire imprimé sur beau papier vélin, conservé dans sa reliure de l’époque, l'un des rares contenant un envoi autographié signé de Rouget de Lisle sur le titre « J. Rouget de Lisle au citoyen Bennezek ». Des bibliothèques Guilbert de Pixérecourt (Crozet, 1838, n°705 du catalogue) et du docteur Lucien Graux avec ex-libris (n°155 du catalogue de la vente du 18 juin 1958).
[ROUGET DE LISLE (Claude Joseph)]; LE ROY DE SAINTE-CROIX (François Noël)
Reference : 19985
Strasbourg, Hagemann et Cie, 1880. In-4, 211 pp., maroquin bordeaux de Popelin, frises et filets dorés en encadrement sur les plats cantonnés d'arabesques, fleurons et faisceaux de licteur surmontés de bonnets phrygiens dorés, dos à nerfs orné de caissons dorés, importante bordure intérieure ornée de dentelles dorées, tête dorée sur témoins, couverture conservée (habiles restaurations des mors, minuscules épidermures en marge du 2nd plat, quelques petites rousseurs et taches).
Exceptionnel exemplaire de l'édition originale de cette monographie consacrée à La Marseillaise, abondamment truffée, évoquant ses paroles et sa musique, son histoire et son auteur, ses imitations et parodies ainsi qu'une bibliographie. Elle est comporte la partition pour chant et piano de l'hymne ainsi qu'une seconde partition pour choeur de 4 hommes. Elle est ornée de 6 photogravures en noir. Un précédent propriétaire a pris le soin de truffer l'exemplaire de nombreux autographes et portraits gravés. Le premier autographe est une lettre signée sur papier à en-tête des marchands d'autographes Étienne et Noël Charavay, datée du 6 juillet 1920 attestant que les deux pièces de Rouget de Lisle sont bien de sa main (1 p. in-12). La première planche est une gravure en bleu et rouge de Staal tirée sur Japon représentant un portrait de Rouget de Lisle dans un médaillon surmontant une scène guerrière et surmontée par une allégorie et des attributs de la Victoire et de la guerre. Le second manuscrit autographe de Rouget de Lisle est intitulé "Stances parodiées sur un air allemand" composé de 6 strophes de 5 vers comportant plusieurs corrections (2 pp. in-4). En frontispice se trouve une gravure en couleurs représentant la Probité, gravée par Mercier d'après Desrais. Le troisième manuscrit est intitulé "L'Amitié - Stances de Mr. Millevoye" d'une main non identifiée, composé de 4 strophes de 4 vers au recto et, d'une seconde main, une strophe de 8 vers, la dernière d'un poème de Béranger "Charles VII" (2 pp. in-4). Le quatrième manuscrit autographe "Vers à S.M. l'Empereur de Russie" de Rouget de Lisle est daté de janvier 1814 (1 p. in-4). Le cinquième manuscrit est une lettre autographe signée de Rouget de Lisle à M. Tastu, datée du 21 juin 1832 (2 pp. in-8). Le sixième manuscrit autographe est de la main du sculpteur David d'Angers à Carrier-Belleuse à propos de portrait de Proudhon (1 p. in-12). Le septième est une lettre autographe signée de Béranger à Rouget de Lisle, datée du 14 janvier 1832 (3 pp. in-12). En regard des Notices chronologiques, il a été relié un exemplaire de La Marseillaise illustrée, publiée à Paris par Abert en 1840 ([5] ff. in-4). Enfin, l'ouvrage comprend un grand nombres de portraits gravés des personnages historiques et artistiques évoqués au cours de l'ouvrage comme David d'Angers, Auguereau, Ney, Napoléon, Béranger ou encore Victor Hugo. Superbe exemplaire truffé dans une très belle reliure de maroquin de Popelin. Voir photographie(s) / See picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Paris : Imprimerie Nationale / Les Nouvelles Éditions du Pavillon, 1989. Sous coffret gris illustré et imprimé, broché 27x21cm, couverture grise illustrée et imprimée, 367 pages illustrées en noir et couleur, préface de Michel Vovelle, notes, références musicologiques, anthologie (textes officiels, textes de références, textes littéraires), bibliographie.
La Marseillaise : son histoire en France et dans le monde / La Marseillaise, chant de guerre et de défense de la Révolution / La Marseillaise "entre le sabre et le baillon" / La Marseillaise annexée à La Marseillaise reconquise / De La Marseillaise reconquise à La Marseillaise "désormais incontournable" / Le Cas de La Marseillaise.
Paris Lavigne 1840 Livre très rare illustré de 7 planches coloriées à la main par Charles Marville et dédié au chant patriotique de la Marseillaise. Reliure en demi-percaline rouge, dos lisse orné de titres dorés, couvertures d'origine conservées. Au cours de l'année 1840, la Marseillaise retentit plus d'une fois lors d'événements marquants. Elle est reprise par les officiels lors d'une brève période de fièvre patriotique, en 1840, alors que, sous le ministère Thiers, la France soutient le pacha d'Égypte Méhémet-Ali et est menacée par l'Angleterre, la Russie et la Prusse. Cette fièvre n'est que passagère : Thiers est remplacé par Guizot et la Marseillaise redevient l'hymne officiel. Seuls les partisans de la Réforme ou d'un changement plus radical osent la chanter et sont poursuivis. Elle est chantée le 28 juillet 1840 par des manifestants républicains sur la place de la Bastille, lors de l'inauguration de la colonne de Juillet, inauguration à laquelle le roi, prudent depuis la machine infernale de 1835, ne participe pas. En décembre 1840, elle est à nouveau chantée avec ferveur plusieurs soirs de suite à Paris par une foule qui se prépare à accueillir les cendres de l'empereur, puis aux Invalides lors de la cérémonie elle-même, le 15 décembre. En l'entendant depuis l'hôtel de Biron (actuel musée Rodin) où elle réside, la fondatrice de la congrégation des Dames du Sacré-Cur, Madeleine-Sophie Barat, s'alarme, le chant lui rappelant ses années 1792-93 de peur vécue dans sa ville natale de Joigny (Bernard Richard, Madeleine-Sophie Barat, sainte de Joigny, Yonne, et sa communauté dans le monde). "C'est en 1840 une chanson qui excite les uns, mais qui suscite l'effroi chez les autres..." Exemplaire bien conservé. Non paginé mais 14 pages. 140 x 90mm.
Very rare book illustrated with 7 hand-coloured plates by Charles Marville and dedicated to the patriotic song of the Marseillaise. Covered in a red half-percaline binding with smooth spine adorned with gilt titles and original covers preserved. During the year 1840, the Marseillaise sounded more than once during significant events. It was taken up by officials during a brief period of patriotic fever, in 1840, when, under the Thiers ministry, France gave its support to the Pasha of Egypt Mehemet-Ali, and was threatened by England, Russia and Prussia. This was only a temporary fit of fever: Thiers was replaced by Guizot and the Marseillaise was once again skipped as the official anthem. Only the partisans of the Reform or of a more radical change dare to sing it and are prosecuted. It was sung on July 28, 1840, by Republican demonstrators on the Place de la Bastille, during the inauguration of the July column, an inauguration in which the king, cautious since the infernal machine of 1835, did not participate. In December 1840, it was again sung with fervour several evenings in a row in Paris by a crowd preparing to welcome the emperor's ashes and then at the Invalides during the ceremony itself, on December 15. Hearing her from the Hôtel de Biron (now the Rodin Museum) where she resides, the founder of the congregation of the Ladies of the Sacred Heart, Madeleine-Sophie Barat, is alarmed, the song reminding her of her years 1792-93 of fear experienced in his native town of Joigny (Bernard Richard, Madeleine-Sophie Barat, saint of Joigny, Yonne, and her community in the world). "It is in 1840 a song which excites some, but which arouses dread in others..." Well-preserved example. Unpaginated but 14 pages. 140 x 90mm (5œ x 3œ inches).
De l'Imprimerie de P. Didot l'aîné | Paris An V de la République, 1796 | 11 x 18.50 cm | relié
Un des très rares exemplaires enrichi d'un envoi autographe - on en recense moins d'une dizaine - de cette édition originale, comportant la Marseillaise. Edition originale illustrée d'une gravure hors-texte gravée par Charles-Etienne Gaucher d'après Jean-Jacques Le Barbier et de 4 pages de partition gravée en fin de volume. La Marseillaise y figure dans sa véritable édition originale, ayant fait l'objet d'une pré-publication dans L'Almanach des Musesen 1793 et sous forme de feuillets libres. Reliure en demi-basane d'époque, dos lisse orné de caissons, de fleurons et de dentelles dorés, pièce de titre maroquin rouge, plats de cartonnage noir. Plusieurs ex-libris manuscrits ou encollés sur le contreplat et les gardes.Dos restauré, quelques rousseurs. Les deux dernières lettres du nom du dédicataire ont été rognées à la reliure. L'ouvrage est enrichi sur la page de faux-titre d'un exceptionnel envoi autographe de Rouget de L'Isle à un autre artiste de la Révolution:« M de La Chabeaussiè[re] / de la part de l'auteur ». Rouget de Lisle et Poisson de la Chabeaussière, le destinataire de l'envoi, ont tous deux incarné la ferveur révolutionnaire et marqué l'Histoire républicaine par leur plume. La Marseillaisefigure dans l'ouvrage parmi d'autres poèmes et chants. Cette première édition livre le célèbre chant dans son état originel : il comporte six quatrains, tel qu'il a été écrit par le capitaine Rouget de l'Isle pour l'armée du Rhin en avril 1792, puis institué hymne national en 1795 par le décret du 26 messidor an III. Paroliers et hommes de lettres, Rouget de l'Isle et la Chabeaussière furent les serviteurs zélés de la Révolution mais aussi les victimes de ses excès. A l'écriture de cette dédicace, en l'an V de la République, les deux hommes sont au faîte de leur gloire. L'un est l'auteur de l'hymne national qui fait vibrer la France révolutionnaire, et l'autre du catéchisme républicain le plus diffusé sous la Révolution. En effet, la Chabeaussière compose lui aussi une uvre majeure de l'héritage révolutionnaire : un Catéchisme républicain, philosophique et moral, réédité 82 fois jusqu'à la IIIe République, et qui l'a promu à la Commission exécutive de l'instruction publique. Comme Rouget de L'Isle, il a connu le succès en tant que parolier et librettiste, notamment pour les opéras comiques de Nicolas Delayrac. L'histoire de La Marseillaise rencontre dès sa création celle de La Chabeaussière et du compositeur Delayrac, dont l'air offre une certaine ressemblance avec le drame héroïque de Delayrac intitulé Sargines ou l'Élève de l'amour. Ni la Chabeaussière, ni Rouget de l'Isle malgré la célébrité de sa Marseillaise n'échappèrent cependant aux affres de la Terreur. Déclarés «suspects» , ils furent incarcérés en 1793 respectivement à la prison des Madelonettes et de Saint-Germain-en-Laye. Au sortir de ces heures sombres, les deux hommes mènent une existence paisible et continuent de collaborer activement à l'Almanach des Muses, qui publia La Marseillaise pour la première fois en volume. A la mort de la Chabeaussière en 1820, l'exemplaire connaît une histoire des plus romanesques. Il porte toujours l'inscription de son second propriétaire, Edouard Gendron: « Ce livre a été acheté en 1821 - à un carrefour près la place de l'école de médecine, parmi un tas de ferraille». Première publication par son compositeur du plus célèbre des symboles de la République française :La Marseillaise. Saprécieuse dédicace réunit des poètes révolutionnaires aux destins croisés, dont les écrits laissèrent leur immortelle empreinte dans l'histoire de France. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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