PARIS, Editions Fernand Nathan - 1937.- In-8 - Cartonnage éditeur beige, avec vignette contrecollée - 159 pages, illustrations en couleurs HT de J. CAMOREYT - orné de 148 photographies ou reproductions dans le texte.- Très propre
Reference : 4409
les pleurs du Conquérant ; monjoie Saint-Denis ; la bataille de l'Ecluse ; une expédition en 1483 ; la 1ère bataille de Navarin-Lépante ; les pinasses de Bayonne ; un exploit du Roi des Corsaires ; le 13 Prairial, an II ; l'agonie du rêve impérial ; un épisode de la guerre de Chine ; à bord du paquebot Normandie . - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le prix du supplément de port en fonction du poids et du nombre de livres- Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
A l's.p.rance
Gilles Porcherot
1 rue Magenta
29200 Brest
France
06 81 23 31 48
Emballage gratuit, assurance et frais d'expédition en recommandé à la charge du Client. Toute commande téléphonique devra être confirmé par écrit (lettre ou e-mail sp.rance@orange. fr. Les ouvrages seront expédiés après le règlement de la facture pro-format pour le montant exact de la somme en euros (€). Le règlement peut se faire par chèque ou virement bancaire. PAS DE PAIEMENT PAR PAYPAL. Passé un délai de 15 jours, les ouvrages non réglés seront remis en vente. En cas de litige, seuls les tribunaux de Brest seront compétents. <br />
MAC ORLAN, Pierre - Illustrations originales de Max Bertrand
Reference : 115192
(1955)
1955 A Paris, G. Delluc & Cie, Editeurs - MCMLV (1955) - Edition limitée à 1550 exemplaires, tirage sur papier vergé Chesterfield réservé aux amis de La Société anonyme de Gérance et d'Armement de la Compagnie des Bateaux à Vapeur du Nord, n°940 / 1500 - In-4, feuillets non reliés sous chemise papier à rabats, dans sa chemise cartonnée avec fermoir en fil vert, dans son emboîtage cartonné - 24 pp. - 15 planches hors texte en couleurs
Bon état - Rousseurs éparses dans l'ouvrage - Dos de la chemise cartonné insolé - Emboîtage en mauvais état
Un volume - Tome 4 - 1868 - Grenoble. Imprimerie de Prudhomme, rue Lafayette, 14. 1869 - 3ème série - broché - 32 pages + 160 pages
assez bon état
1945 N° 4 - Novembre 1945 - In-folio, broché couverture illustrée (Raoul AUCER) - 68 pages - Très nombreuses illustrations et reproductions photographiques en couleurs et en N&B
Bon état malgré une couverture légèrement défraichie (frottements, légers plis...) (voir photo)
Bureau de la revue. 1 avril 1940. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 195 à 215. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : La Marine Française - la marine française dans la guerre par C. Campinchi, La Marine du Grand Roi par Paul Chack, Le Cid Canadien et les Maccabées de la Nouvelle France par Ch. de la Roncière, La flotte française dans la guerre de 1914-1918 par le contre-amiral Valat Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Perrin, 1987, in-8°, 460 pp, 12 pl. de documents hors texte, une carte, index, broché, couv. illustrée, bon état
La France a presque toujours entretenu avec la mer des rapports difficiles, basés souvent sur l'ignorance, l'indifférence et l'incompréhension. L'importance des océans, leur rôle moteur dans le développement des civilisations ont été fréquemment méconnus et les Français n'ont participé que tardivement au grand mouvement des découvertes. Le retard n'est-il pas, dans bien des domaines, une constante de notre histoire ? De tous les pays riches en frontières maritimes, la France est le seul chez lequel, malgré l'action énergique et lucide de quelques hommes d'état, de Richelieu à Georges Leygues, l'existence même d'une force navale sera périodiquement remise en cause, contestée dans son principe. Et d'ailleurs l'histoire de la Marine est fort peu connue des Français en dehors de quelques grandes figures comme Suffren Jean Bart ou Surcouf. Supprimer la marine restera une idée récurrente chez les gouvernants et tous les prétextes seront bons pour tenter de la justifier. L'histoire de la marine française est donc une étrange alternance de points forts et de faiblesses. La France sut, par épisodes, se construire de grandes flottes : celle de Louis XIV et Colbert, celle de Louis XVI, celle du second Empire, à la pointe du progrès technique, celle de la IIIe République finissante. Mais entre ces sommets, survinrent bien des méthodes d'abandon aux lourdes conséquences. Ces hauts et ces bas de la marine française, Etienne Taillemite, grand spécialiste de l'histoire maritime, nous les restitue avec clarté et précision, de la guerre de Cent Ans à nos jours. De défaites en victoires, d'amiraux malheureux en marins éclatants, de commis négligents en ministres lucides, de positions perdues en marchés reconquis, on mesure en parcourant ces six siècles combien la France a toujours eu besoin des océans et combien elle a parfois cruellement souffert de ses incohérences en matière navale. — "Par la force des choses, les Capétiens demeurent longtemps des terriens. Ce n'est qu'en 1203, par la prise de possession de la Normandie, qu'ils accéderont à la mer. Se posera alors le problème d'une force navale. Mais il faudra attendre... Richelieu pour mettre en oeuvre une politique maritime globale. Que de temps, que d'occasions perdus ! Les grands moteurs de l'économie ont toujours été les ports. C'est l'avis de Colbert et, plus tard, de Louis XVI. 1790 marque probablement l'apogée de la marine royale. Puis ce sera l'effon-drement révolutionnaire. Trafalgar préfigure Waterloo. Au XIXe siècle sous l'impulsion personnelle de Napoléon III, la « Royale » connaît un renouveau inespéré. Cet effort ne s'est pas démenti depuis et, de nos jours, la marine française est devenue la pointe de diamant de la dissuasion nucléaire. Une fort bonne étude." (Lectures, 1988)