Lib J B Baillière et fils . Paris 1921
Reference : 264
Bon état Demi reliure avec dos lisse . Fait partie de l encyclopédie de chimie industrielle publiée sous la direction de M Matignon . Ouvrage illustré de publicités, photos et dessins. En raison de sa taille, envoi par colis nécessaire. Les matières premièresLa fabrication des Vernis gras, à lessence , à lalcool , spéciaux, les laques , les colles - largeur/hauteur :16x23 cm - poid : 1240 g - nombre de pages : 640 p. - langue : Français
L'Avenir du Passé
M. Franck Morant
13 Avenue montaigne
33160 Saint Médard en Jalles
France
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FORRAY-CARLIER Anne / KOPPLIN Monika (sous la direction de)
Reference : 115127
(2014)
Arts Décoratifs Museum fûr Lackkunst 2014 Les Arts Décoratifs, Museum fûr Lackkunst, 2014, 319 p., cartonnage éditeur, environ 31x25cm. Coins émoussés, quelques coups portés sur les coupes, début de fente sur un mors, une étiquette sur le second plat, un ex-libris sur la page de garde. Intérieur bien propre.
Ouvrage publié à l'occasion de l'exposition présentée aux Arts Décoratifs, à Paris du 13 février au 8 juin 2014. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
A. Ferroud - F. Ferroud, Librairie des Amateurs, 1922, 1 volume de 16x23.5 cm environ, 28 pages, broché. Illustrations de William Fel, dont un frontispice gravé au vernis mou. Bas du dos émoussé, rares rousseurs, le reste est en bon état.
Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
2 volumes in-16 de 310 pp., 1 f. bl., (6) ff. de catalogue du libraire et de 285 pp., cartonnages vernis, plats ornés d'un décor floral sur fond vert d'eau encadrée d'un filet noir, dos lisse orné de fleurs peintes en noir sur fond or, tranches dorées (reliure de l'époque).
"Quatre planches gravées par Silvestre David Mirys et Jean-Michel Moreau, ici en état avant la lettre. Rares reliures au vernis Bertin, dit aussi ""reliure au vernis sans odeur"". Si le nom de Bertin est attaché à celui de la sténographie dont il fut l'introducteur en France, il faut surtout le créditer de la production de reliures dites ""au vernis sans odeur"", improprement appelées ""vernis Martin"", en référence à un vernis mis au point à Paris en 1728 par les frères Martin qui imitait les laques de Chine. Sous l'Empire, Bertin adapta le procédé à la reliure. Le brevet fut déposé le 12 juin 1811. Sa production, toujours sur des livres de format limité, resta confidentielle pour s'arrêter peu après son décès en 1819. De fait, ces reliures sont rares. Un premier inventaire fut établi en 1965 qui ne recensait que 18 exemplaires (Albert Ehrman, Les Reliures vernis sans odeur, autrement dit 'vernis Martin. The Book Collector. 1965, XIV, p. 523-527). Très bel exemplaire en parfait état. Jean-Marc Chatelain (dir.), Éloge de la rareté, Cent trésors de la Réserve des livres rares, Paris, BnF, 2014, n° 3."
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Ce type de reliure, extrêmement fragile, est de ce fait devenu très rare et recherché. Paris, Stéréotype d’Hernan, 1807.In-12 de (2) ff., 211 pp., 4 figures. Qq. rousseurs. Reliure couverte d’un vernis vert pâle sur les plats et vert foncé sur le dos, encadrement de filets dorés et d’une guirlande de fleurs peinte en couleurs autour des plats, bouquet de fleurs peint en couleurs au centre, dos lisse entièrement doré avec en réserve le titre, et des fleurs qui apparaissent en bleu foncé, tranches dorées. Reliure de l’époque.142 x 93 mm.Dimensions de la reliure : 150 x 97 mm.
Superbe spécimen de reliure au vernis sans odeur ou vernis Martin.Ce vernis, inventé en 1730 par les frères Martin pour imiter la laque orientale décorant les meubles et objets d'art, fut utilisé jusqu'au XIXe siècle : le secret des frères Martin consistait à coller des feuilles de papier, à les passer au four pour les durcir, à les peindre de toutes les couleurs, à les vernir à la résine de copal et à les glacer à la gomme arabique. Ce type de reliure demeure peu commun, et l'on a trace de deux manufactures au XIXe siècle.« Dans les années révolutionnaires, on commence à trouver des livres “reliés en carton” et le relieur-poète Lesné dans son poème La Reliure décrit en 1820 “les véritables cartonnages allemand”, genre de reliure très en vogue, mais selon lui moins solides et moins agréable, qu’on attribue en France à un membre de la famille Bradel. Les reliures en carton, décorées en couleur et recouvertes de vernis, appelées reliures en vernis Martin sans odeur, sont d’une qualité supérieure. »Histoires de l’édition française, II, page 579.La présente reliure recouvre un ouvrage imprimé à l’aide du nouveau procédé de stéréotypie inventé par Louis-Etienne Herhan.La stéréotypie est un procédé d’imprimerie qui évite une composition lettres à lettres des pages au moyen de caractères d’imprimerie. Ici il s’agit de « créer, d’après une composition unique formée par l’assemblage des caractères mobiles, une ou plusieurs autres planches solides et identiques» (Petit manuel de l’amateur de livres par Albert Cim). La stéréotypie (du grec : « solide » et « type ») s’applique plus particulièrement au procédé imaginé à la fin du 18e siècle, et presque simultanément, par l’imprimeur et fondeur Herhan (1768-1855) et par les frères Didot, procédé qui arrive au même résultat par des voies opposées. Un brevet est déposé par Louis-Etienne Herhan en décembre 1797 puis quelques jours après par les frères Didot qui utilisaient un procédé différent et avec lesquels il s’associa ainsi qu’avec le libraire Renouard. Herhan se retire de cette association en novembre 1799. A partir de 1801 il sort des ouvrages de son atelier. Le procédé d’Herhan a été vite abandonné, étant trop cher, ce qui n’a pas empêché Herhan de continuer ses recherches. Didot supplanta très rapidement Herhan. De 4 titres en 1798 on compte 332 volumes 20 ans plus tard.“This mode of printing is now known by the term ‘Stereotype’; and it is a curious fact that the stereotype process, said to have been invented by M. Herhan in Paris, and now practiced by him in that city, under letters of Napoleon, is precisely the same as that spoken of by Dr. Colden more than sixty years ago.It is more than probable that when Dr. Franklin went to France, he communicated Dr. Colden’s ‘new method of printing’ to some artists there, and that it lay dormant till about sixteen years since; when Herhan, a German, who had been an assistant to M. Didot, the printer and type founder of Paris, but then separated from him, took it up in opposition to M. Didot. We have conversed with gentlemen who have seen M. Herhan’s method of stereotyping, and they describe it to be exactly what Governor Colden invented. This fact established, there can be no doubt that M. Herhan, is indebted to America for the celebrity ha has obtained in France.” (The American Journal of Science, v. 24, pp. 319-325).Ce type de reliure, extrêmement fragile, est de ce fait devenu très rare et recherché.Précieuse reliure au vernis Martin, recouvrant un rare ouvrage imprimé en stéréotypie, en très bel état de conservation.
Paris, Lefranc & Cie, 1889, in-4, 22 feuillets (dernier vierge), 43 échantillons sur tôle, montés sous passe-partout, Percaline verte de l'éditeur, titre doré sur le plat supérieur, Chaque échantillon comporte le nom et la marque du fabricant (l'ancre et le caducée croisés, avec le monogramme L.F.), l'intitulé du produit ("Couleurs et vernis pour la carrosserie") et la mention des prix gagnés en 1889: "Deux grands Prix Paris 1889. La plus haute récompense". Cet album rarissime - aucun autre exemplaire n'a été localisé - était destiné à montrer les nuances de couleur broyées à l'essence et préparées pour la carrosserie des voitures d'attelage, par les établissement Lefranc & Cie. Différentes nuances de rouge, de noir, de jaune, de vert, de brun et d'outremer sont présentées, ainsi que des laques : vermillon anglais foncé, noir d'ivoire de Siam, jaune de chrome Spooner, vert irlandais, vert russe, brun van-Dyck de Suède, etc. Bien connue pour sa fabrication de couleurs fines, la maison Lefranc produisait également en quantité des vernis pour voiture, comme le note le jury de l'Exposition de 1889 : "Grâce aux études incessantes qu'ils font pour les vernis à voiture qu'ils fabriquent en quantité considérables, ils ont apporté aux vernis artistiques des perfectionnements importants" (Exposition universelle internationale de 1889 à Paris. Rapports du jury international. Rapport de M. Choquet, p. 241). L'origine de la maison Lefranc remonte à 1720, lorsque l'apothicaire Charles Laclef, ancêtre de la famille Lefranc, se spécialise dans la confection de peintures à la demande de Chardin et devient le fournisseur officiel du château de Versailles. L'usine, d'abord installée à Grenelle, est transportée à Issy en 1868. L'activité, sous la dénomination de "Lefranc & Cie", se situe entre 1884 et 1922 au 64-66 rue de Turenne à Paris. À cette adresse s'ajoutent celles de deux succursales parisiennes, chargées de la vente de produits spéciaux (encres, rue de Seine; couleurs fines, rue Notre-Dame-de-Lorette), ainsi que des dépôts et succursales à Vitry-le-François, Bruxelles, Milan, Florence et Berlin; à l'heure de l'industrialisation, les produits de Lefranc & Cie et s'exportent en Europe. À cette époque, la maison se déploie en trois branches principales : fabrication des couleurs fines, des vernis et des encres d'imprimerie. Elle obtient de nombreuses récompenses lors des expositions internationales et de l'industrie, dont les deux Grand Prix de l'Exposition Universelle 1889 : l'un pour la section "Matériel des arts de la peinture et du dessin" (Groupe II, Classe 10), l'autre pour la section "Encres d'imprimeries" (Groupe V, Classe 45). Plusieurs couleurs fabriquées par la firme sont alors particulièrement renommées : le jaune de chrome de Spooner (de "renommée universelle"), le vert de Scheel, le bleu Pompéi, le noir d'ivoire, qu'ils obtiennent en calcinant eux-même leur ivoire, ou encore le jaune de Naples, cher à Millet. En 1966, les maisons Lefranc et Bourgeois s'associent et s'installent au Mans, où l'usine se trouve toujours actuellement. Cachet de la bibliothèque des Établissements Lefranc. Bel état. Décollement de vernis sur quelques échantillons. France. Ministère du commerce, de l'industrie et des colonies. Exposition universelle internationale de 1889 à Paris. Rapports du jury international. Paris : Imprimerie nationale, 1891 : Groupe II. 2e partie. Matériel et procédés des arts libéraux. Classes 9 à 16. / Groupe V. Industries extractives. Produits bruts et ouvrés (2e partie). Classes 45 à 47. Couverture rigide
Bon 22 feuillets (dernier