‎HEIDSIECK (Bernard).‎
‎Partition V. ‎

‎Paris, Le Soleil Noir, 1973, in-8 carré, broché, couverture imprimée incorporant un disque souple, étui Ingres noir de l’éditeur ajouré laissant apercevoir deux profils de combinés téléphoniques, 149 p. Edition originale, accompagnée de l'enregistrement par l'auteur de la totalité de l'ouvrage sur six disques souples 33 tours gravés sur les deux faces, dont un monté sur la couverture. 1/250 exemplaires dans la série «Club» sur vélin, présentés sous la forme d'un livre-objet de Ruth FRANCKEN orné les deux profils de combinés téléphoniques réalisés l'un en aluminium anodisé, l'autre en acier chromé. Ces exemplaires sont signés au crayon par l'auteur au bas de la justification de tirage, et les deux profils sont justifiés et signés au crayon par l'artiste. ‎

Reference : 25264


‎‎

€300.00 (€300.00 )
Bookseller's contact details

J.-F. Fourcade - Livres anciens et modernes.
M. J.-F. Fourcade
3 rue Beautreillis
75004 Paris
France

jffbooks@gmail.com

33 01 48 04 82 15

Contact bookseller

Payment mode
Others
Cheque
Others cards
Sale conditions

Conformes aux usages de la libraire ancienne et moderne. Prix nets, en euros, frais de port (envoi en recommandé) à la charge du destinataire.

Contact bookseller about this book

Enter these characters to validate your form.
*
Send

5 book(s) with the same title

‎Doret Gustave (musique), Cain Henri, Baud-Bovy Daniel: ‎

Reference : 17224

(1920)

‎Le Nain du Hasli (Der Zwerg vom Haslithal). Légende féérique en 3 actes. Partition piano & chant. ‎

‎Paris, Rouart, Lerolle & Cie, [1920]. Petit in-folio de 200 pages, demi-percaline verte, titre doré au dos, plats marbrés. Infimes frottements en bords, belle condition générale. ‎


La Bergerie - Le Locle
CHF80.00 (€85.75 )

‎Bizet Georges (musique), Daudet Alphonse: ‎

Reference : 6987

(1895)

‎L'Arlésienne. Drame en 3 actes. Partition chant et piano transcrite par l'auteur. ‎

‎ Choudens fils, sans date (vers 1895). In-4, demi-chagrin rouge, plats de percaline, vignette de titre bleue, filets dorés, titre doré au dos, gardes marbrées. Dernier feuillet volant mais bien présent, cahiers un peu déboîtés mais solidaires. 77 pages de partitions. ‎


La Bergerie - Le Locle
CHF40.00 (€42.87 )

‎PERRIN, Emile‎

Reference : 44449

(1860)

‎Chronique Musicale. [ Manuscrit autographe signé de 12 pp. in-8, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860 ] "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎

‎Manuscrit signé de 12 feuillets in-8 oblong rédigés au recto, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860, tome IX, pp. 409-413 : Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et de sa réception en France sont très informées. "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎


‎Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et la présentation de sa réception en France sont celles d'un critique très informé. Manuscrit provenant du fonds Dentu (l'éditeur Edouard Dentu prit la direction de la Revue Européenne de 1859 à 1862).‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR390.00 (€390.00 )

‎BAKER Joséphine‎

Reference : 1235384

‎[partition] J'ai deux amours. Slow Fox Trot chanté par Joséphine Baker. Paroles de Géo Koger et Henri Varna. Musique de Vincent Scotto. Création de Joséphine Baker dans la Revue du Casino de Paris "Paris qui remue".‎

‎Paris: Editions Salabert, 1930 partition ( 17,5 x 27 cm) de 4 pages, la première étant illustrée d'un dessin en vert de Zig montrant J. Baker et son léopard, très bon état.‎


‎[partition] J'ai deux amours. Slow Fox Trot chanté par Joséphine Baker. Paroles de Géo Koger et Henri Varna. Musique de Vincent Scotto. Création de Joséphine Baker dans la Revue du Casino de Paris "Paris qui remue". (Paris: Editions Salabert, 1930) [M.C.: partition musicale chanson Joséphie Baker, Casino de Paris]‎

EUR20.00 (€20.00 )

‎BAKER Joséphine‎

Reference : 1235385

‎[partition] J'ai deux amours. Slow Fox Trot chanté par Joséphine Baker. Paroles de Géo Koger et Henri Varna. Musique de Vincent Scotto. Création de Joséphine Baker dans la Revue du Casino de Paris "Paris qui remue". Ce recueil contient J'ai deux amours, Adios, Supplication.‎

‎Paris: Editions Salabert, 1930 partition ( 17,5 x 27 cm) de 8 pages, la première étant illustrée d'un dessin de Zig en rouge montrant J. Baker et son léopard, un peu défraîchi, autrement bon état.‎


‎[partition] J'ai deux amours. Slow Fox Trot chanté par Joséphine Baker. Paroles de Géo Koger et Henri Varna. Musique de Vincent Scotto. Création de Joséphine Baker dans la Revue du Casino de Paris "Paris qui remue". Ce recueil contient J'ai deux amours, Adios, Supplication. (Paris: Editions Salabert, 1930) [M.C.: partition musicale chanson Joséphie Baker, Casino de Paris]‎

EUR20.00 (€20.00 )
Get it on Google Play Get it on AppStore
The item was added to your cart
You have just added :

-

There are/is 0 item(s) in your cart.
Total : €0.00
(without shipping fees)
What can I do with a user account ?

What can I do with a user account ?

  • All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches.
  • You may manage a list of your favourite, regular searches.
  • Your preferences (language, search parameters, etc.) are memorised.
  • You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it.
  • Get in touch with booksellers, order books and see previous orders.
  • Publish Events related to books.

And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !