Paris, Le Promeneur, 2000, in-12, Broché., 76 pages. Comme neuf
Reference : 48329
ISBN : 9782070757961
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A. Amsterdam chez Marc Michel Rey, 1764, in/16, reliure du 18 ém, viij ; ouvrage en deux parties : 248 + 168 pages.
Après la parution de l'Émile et du Contrat Social, Jean-Jacques Rousseau est menacé de prise de corps par le Parlement de Paris. Il s'enfuit à Neuchâtel, les syndics et le Petit Conseil de Genève ont également condamné les deux ouvrages et interdisent l'accès de la ville à Jean-Jacques sous peine d'arrestation. Le 12 mai 1763, Jean-Jacques abdique sa citoyenneté genevoise. Quelques amis de Rousseau, menés par Jean-François Deluc, font une Représentation devant le Petit Conseil en juin 1763 pour faire annuler cette condamnation. L'affaire prend un tour politique. Le conflit s'éternise, c'est alors que le procureur général Jean-Robert Tronchin fait paraître trois lettres écrites de la campagne le 27 septembre 1763, suivies d'une quatrième le 24 octobre. Les lettres justifiaient la condamnation des deux livres et évacuaient les prétextes juridiques avancés par les Représentants. C'est dans ce contexte que Rousseau rédige entre octobre 1763 et mai 1764 les neuf lettres de la montagne. Les cinq premières ont pour objet de démontrer que la sentence du Petit Conseil est arbitraire car seul le Consistoire est compétent en matière de foi. La sixième prend la défense du Contrat Social. Les trois dernières apportent un appui aux Représentants en faisant la démonstration que le droit négatif exercé par le Petit Conseil usurpe le pouvoir souverain qui relève du peuple. Sur le plan de la foi, il ne renie rien de ses écrits et fustige les pasteurs qui se veulent orthodoxes en se montrant persécuteurs. Les Lettres sont imprimées à Amsterdam par Marc-Michel Rey et publiées en décembre 1764 avec la devise Vitam impendere vero. Le caractère séditieux du contenu, notamment les lettres politiques, indigne le Petit Conseil. De nombreux libelles sont échangés, mais le plus violent est Sentiment de citoyens de Voltaire paru d'abord anonymement et qui révèle publiquement l'abandon des enfants de Rousseau.
Balzac, Mérimé, Stendhal, Napoléon, St. Vincent de Paul, Casanova, Edgar Poe, Paul de Molènes, Henry IV, Ch. Baudelaire.
Reference : 31668
Maxilien Vox, 1944/1945, Collection "Brins de Plume", In/6 broché, oblong, couverture remplié, tirage mille exemplaires sur B.F.K. Rives tiré pard Daniel-Luxe à Lille pour Union Bibliophile de France, tirage numéroté. N° 1 Les Caprices de la Gina, par H. de Balzac, texte retrouvées par Marcel Bouteron, 63 pages (tache sur la couverture) - N° 2.- Viccolo di madama Lucrezia, par Mérimée 74 pages - N° 3 Vanina Vanini : chronique italienne, par Stendhal, 80 pages - N° 4 Lettres de Napoléon à Joséphine, 56 pages - N° 5 L'Évangile selon Saint Vincent de Paul d'après les entretiens spirituels, 56 pages - N° 6 Mon cher Casanova : lettres d'amour, de Manon Balletti, 58 pages - N° 7 Le Corbeau, par Edgar Allan Poe ; traduit par Ch. Baudelaire, 58 pages - N° 8 Réflexions sur l'Imitation de N.S.J.C., par Paul de Molènes ; (préf. de Barbey d'Aurevilly et postface par le général du Barail) 56pages - N° 9 - Lettres d'Henry IV à Corysande : 1585-1597, 56 pages - N° 10 Mon coeur mis à nu : journal intime, par Ch. Baudelaire, 69 pages.
Sept lettres autographes signées + deux cartes voeux signées.
Ces lettres sont datées du 2 octobre 1952 au 6 juin 1953, toutes signées par Hyacinthe Dans : lequel, condamné à perpétuité en 1933 pour le meurtre de sa mère et de sa maîtresse, est un des premiers personnages réels dont Georges Simenon s'inspire pour l'un de ses romans, en l'occurrence Les trois crimes de mes amis. « Il y a quelques mois, le hasard d'une lecture dans une revue s'occupant de critique littéraire m'a fait connaître l'existence d'un livre que vous devriez acheter et qui traite de moi : Les trois crimes de mes amis. L'auteur n'est autre que mon ancien employé Georges Simenon, un Liégeois, ancien journaliste, actuellement millionnaire à Paris (Neuilly) et auteur de plus de 200 romans, livres, romans policiers, de voyages, etc... C'est une célébrité actuelle dans le monde des lettres. Evidemment, je n'ai pas lu ce livre. Mais vous pourriez y trouver de l'intéressant. Peut-être aussi Georges a-t-il un peu affabulé. Vous verrez bien ! « [Information fournie par M. Philippe Méré, dont Me Houba- l'avocat de Dans-était le grand-père maternel. Voir au sujet de ces documents et, plus largement sur Georges Simenon: www.reperages.ch, l'excellent site d'Yves Martina. Détails du contenu des lettres de Dans sur demande. Simenon considérait ce roman comme ''un roman autobiographique aussi vrai que Pedigree'' (P. Assouline, p. 348, folio). En effet dans les années 1920-1921, le petit Georges Sim collabora à un journal de chantage, La Nanesse, dont deux des propriétaires, Hyacinthe Dans et Ferdinand Deblauwe, deviendront meurtriers. Quant au troisième personnage qui inspira cet ouvrage, Le Fakir, illusionniste, Simenon le connut également lorsqu'il était jeune reporter à Liège. D'après Pierre Assouline, Georges Simenon fit parvenir en 1954 la somme de 500 francs belges à Hyacinthe Dans, condamné à la prison à perpétuité pour le double meurtre de sa mère et de sa maîtresse en 1933. Cette somme lui fut adressée par l'intermédiaire de Sven Nielsen à ''l'Etablissement de défense sociale de Tournai''.
Trad. de l'allemand par Michel Deguy, André Du Bouchet, François Fédier, Philippe Jaccottet, Denise Naville, Gustave Roud, Robert Rovini et Jean Tardieu . Édition publiée sous la direction de Philippe Jaccottet, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade , 1977, 1266 pages, rel. peau, 105 x 170 mm., avec jaquette, rhodoïd un peu jauni et avec petit manque, sans boîtier.
Phone number : 0033 (0)1 42 23 30 39
In-8, partiellement paginé à la plume (jusqu'à la page 73), plein veau de l'époque, dos à nerf orné, tranches mouchetées (épidermures).
- Arrêt de la Cour de Parlement de Toulouse le 7 juillet 1756 au sujet du Grand Conseil- Déclaration du Roi, concernant les octrois et autres droits dont jouissent les corps (...) du 11 février 1764- Lettres patentes du Roi qui autorisent les ecclésiastiques (...) à acquérir des Droit d'Echanges dans leur Seigneuries directes seulement, du 11 juin 1764- Edit du Roi concernant la liberté de la sortie et de l'entrée des grains dans la royaume, de Juillet 1764- Déclaration du Roi portant suspension de divers Privilèges d'exemption de taille, du 13 juillet 1764- Edit du Roi, contenant règlement pour l'administration des Villes et principaux Bourgs du royaume, août 1764- Extrait des registres du Parlement de Paris du 1 er décembre 1764- Edit du Roi concernant la liberation des Dettes de l'Etat, décembre 1764- Edit du Roi qui permet à toutes personnes (...) excepté les titulaires et revêtus de charges de Magistrature, de faire la commerce en gros. Mars 1765- Lettres patentes du Roi (...) concernant le premier tirag du remboursement des Dettes de l'Etat, ordonné par l'Edit de décembre 1764. Le 19 novembre 1765- Lettres patentes du Roi portant affranchissement du droit d'Aubaine (...), le 20 février 1768 Arrêt de la Cour de Parlement du 23 mars 1768, qui supprime un Bref du Pape, et ordonne que toutes Bulles, Brefs, Provisions et autres Rescrits de la Cour de Rome ne pourront avoir d'éxecution en France, qu'après avoir été vus et visités en la Cour- Lettres patentes du Roi, données à Fontainbleau le 8 novembre 1777, confirmatives des bulles, portant suppression de l'Abbaye, Chef de l'ordre de Saint-Antoine, l'union des dits ordres, et la translation des Religieux Antonins dans l'ordre de Saint Jean de Jérusalem et du décret de fulmination d'icelles(...)Belle documention sur les relations houleuses entre les Parlements, le pouvoir royal et le pouvoir ecclésial durant la seconde moitié du 18e siècle en France.* Voir photographie(s) / See the picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.