‎Madeleine Pourpoint. Lettre préface de Mme Luce Delarue-Mardrus‎
‎Sur le pas de la porte d'or‎

‎Paris, Editions de la Lucarne, 1933, in-8, Broché, 195 pages. Bon état. Photos h.-t. ‎

Reference : 26841


‎‎

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‎Collectif‎

Reference : 011439VPEB

ISBN : B0000DQ9OP

‎Sur les pas de la porte d'or‎


‎Générique Broché D'occasion bon état 26/03/2021 150 pages‎

Phone number : 01 43 29 11 00

EUR26.95 (€26.95 )

‎Collectif‎

Reference : R110489028

(1945)

‎Voir n° 27 - La mort de Roosevelt ne change pas la politique américaine, Truman, héritier de Roosevelt, 1940-1945 : six printemps de guerre, La naissance de la liberté, Nous n'oublierons pas ces braves, La porte d'or du Pacifique, Gueules noires, soldats‎

‎Bureau de la revue. 28 aout 1945. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Non paginé. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : La mort de Roosevelt ne change pas la politique américaine, Truman, héritier de Roosevelt, 1940-1945 : six printemps de guerre, La naissance de la liberté, Nous n'oublierons pas ces braves, La porte d'or du Pacifique, Gueules noires, soldats du sous sol Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎BOURRELY, Marius‎

Reference : 63977

(1841)

‎[ 3 lettres autographes signées adressées à Melchior Barthès : ] 1 L.A.S. de 2 pages datée de Marseille le 17 avril 1874 : [ Marius Bourrely se réjouit d'être rentré en contact avec son confère, "que j'ai peut-être connu à mon séjour à St Pons en 1841. Votre lettre m'a rappelé d'agréables souvenirs et la mémoire d'un ami d'enfance que j'ai toujours porté dans mon coeur, Louis Boujol ] "J'accepte de grand coeur votre proposition d'échange de livres [... ] je commencerai toujours par mon premier volume de "Fables de La Fontaine", en vers provençaux, en attendant les autres. L'époque n'est guère à la littérature provençale et les souscripteurs se font tirer la manche. Je comprends cela par les tiraillements que nous fait éprouver la politique de nos gouvernants et jusqu'à ce que le problème de monarchie ou de République soit résolu, il en sera ainsi. Il faut avouer que nous sommes un singulier peuple et que la France une nation bien étrange. Votre qualité de Membre de la Société Archéologique de Béziers ne vous amènerait-elle pas dans cette ville, le 14 du mois prochain ? [ ... ] Je rêve aussi de revoir St Pons [ ... ] Excusez-moi si je ne vous ai pas répondu plus vite, mais j'étais en train d'achever les Fables de Florian, en provençal toujours, et mon oeuvre achevéen je vous au écrit" [...] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 4 juin 1877 : "Cher confrère, Beaucoup de gens voudraient pouvoir, comme vous, avoir la folie de publier un volume de poésies néo-romanes ; mais hélas ! pour beaucoup la fable du Renard et des raisins sera éternellement vraie. Ensuite ce volume vous ouvrira les portes du Majorat et qui sait si un jour vous ne serez pas appelé à occuper mon fauteuil ! Nous sommes tous mortels et je serai flatté de savoir ma Cigale d'Or passer dema boutonnière à celle de mon confrère érudit [il évoque ensuite la réclame qu'il fera pour lui, cite trois vers en provençal, évoque un M. Bizet de la gare de Cette, parle de sa brochure "Cigau e Cigalo" et conclut sur son homonyme Victor Bourrelly, de Rousset... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 27 juin 1878 : "Mon Cher Felibu, Je viens un peu tard vous accuser réception des deux derniers exemplaires des Flouretos ; mais il n'y a pas de ma faute [ cela en raison de la fête félibréenne qu'il détaille ] "Je vous ai adressé samedi Jan de La Valado" [... ] "J'ai propagé votre oeuvre dimanche, mais nos félibres marseillais ne sont pas languedociens et leur enthousiasme poétique ne dépasse pas Avignon. Mon dernier mot n'est pas dit, et je ne désespère par encore de vous trouver quelques adhérents dans nos contrées. J'accepte de bonne part les observations que vous me faites au sujet des Contes de La Fontaine, et je m'y attendais à l'avance ; aussi vous disais-je que cet ouvrage n'était pas destiné à la publicité. J'aurais pu employer mieux mon temps dites-vous. On ne peut pas faire toujours des oeuvres sérieuses et l'esprit a besoin, souvent, de se retremper dans la gaudriole pour reprendre son élan et s'élever dans les sphères plus hautes. Ma Muse est très inconstante et quand elle trouve des obstacles, elle aime à les franchir [ ... ] Que penserez-vous quand je vous dirai que j'ai entamé l'Orland Furioso de l'Arioste, un poème en 46 chants, toujours en provençal ? [etc... ]‎

‎3 L.A.S. adressées à Melchior Barthès, à savoir : 1 L.A.S. de 2 pages datée de Marseille le 17 avril 1874 : [ Marius Bourrely se réjouit d'être rentré en contact avec son confère, "que j'ai peut-être connu à mon séjour à St Pons en 1841. Votre lettre m'a rappelé d'agréables souvenirs et la mémoire d'un ami d'enfance que j'ai toujours porté dans mon coeur, Louis Boujol ] "J'accepte de grand coeur votre proposition d'échange de livres [... ] je commencerai toujours par mon premier volume de "Fables de La Fontaine", en vers provençaux, en attendant les autres. L'époque n'est guère à la littérature provençale et les souscripteurs se font tirer la manche. Je comprends cela par les tiraillements que nous fait éprouver la politique de nos gouvernants et jusqu'à ce que le problème de monarchie ou de République soit résolu, il en sera ainsi. Il faut avouer que nous sommes un singulier peuple et que la France une nation bien étrange. Votre qualité de Membre de la Société Archéologique de Béziers ne vous amènerait-elle pas dans cette ville, le 14 du mois prochain ? [ ... ] Je rêve aussi de revoir St Pons [ ... ] Excusez-moi si je ne vous ai pas répondu plus vite, mais j'étais en train d'achever les Fables de Florian, en provençal toujours, et mon oeuvre achevéen je vous au écrit" [...] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 4 juin 1877 : "Cher confrère, Beaucoup de gens voudraient pouvoir, comme vous, avoir la folie de publier un volume de poésies néo-romanes ; mais hélas ! pour beaucoup la fable du Renard et des raisins sera éternellement vraie. Ensuite ce volume vous ouvrira les portes du Majorat et qui sait si un jour vous ne serez pas appelé à occuper mon fauteuil ! Nous sommes tous mortels et je serai flatté de savoir ma Cigale d'Or passer dema boutonnière à celle de mon confrère érudit [il évoque ensuite la réclame qu'il fera pour lui, cite trois vers en provençal, évoque un M. Bizet de la gare de Cette, parle de sa brochure "Cigau e Cigalo" et conclut sur son homonyme Victor Bourrelly, de Rousset... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 27 juin 1878 : "Mon Cher Felibu, Je viens un peu tard vous accuser réception des deux derniers exemplaires des Flouretos ; mais il n'y a pas de ma faute [ cela en raison de la fête félibréenne qu'il détaille ] "Je vous ai adressé samedi Jan de La Valado" [... ] "J'ai propagé votre oeuvre dimanche, mais nos félibres marseillais ne sont pas languedociens et leur enthousiasme poétique ne dépasse pas Avignon. Mon dernier mot n'est pas dit, et je ne désespère par encore de vous trouver quelques adhérents dans nos contrées. J'accepte de bonne part les observations que vous me faites au sujet des Contes de La Fontaine, et je m'y attendais à l'avance ; aussi vous disais-je que cet ouvrage n'était pas destiné à la publicité. J'aurais pu employer mieux mon temps dites-vous. On ne peut pas faire toujours des oeuvres sérieuses et l'esprit a besoin, souvent, de se retremper dans la gaudriole pour reprendre son élan et s'élever dans les sphères plus hautes. Ma Muse est très inconstante et quand elle trouve des obstacles, elle aime à les franchir [ ... ] Que penserez-vous quand je vous dirai que j'ai entamé l'Orland Furioso de l'Arioste, un poème en 46 chants, toujours en provençal ? [etc... ]‎


‎3 très belles lettres autographes signées adressées par l'écrivain d'expression provençale et majoral du Félibre Marius Bourrely (1820-1896) à son confrère le poète occitan de Pons-de-Thomières, Melchior Barthès (1818-1886). Ces lettres sont d'autant plus remarquables que Marius Bourrely fut le préfacier des "Flouretos" de Berthet, et qu'il s'y exprime sur les difficultés rencontrées dans la publication de la littérature occitane, et s'y justifie de sa traduction en provençal des "Contes" de La Fontaine.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR375.00 (€375.00 )

‎ELZEAR, Pierre; [ BONNIER ORTOLAN, Elzéar ]‎

Reference : 63944

(1891)

‎[ Lot de 7 lettres autographes signées et d’un portrait photographique signé dont une très intéressant sur le «féminisme littéraire» ] L.A.S. d’une page: «Mon Cher Hauser, ne trouvez-vous pas qu’il est temps que cette plaisanterie finisse? Suis-je trop exigeant en vous priant de veiller à ce que les tableaux confiés à vous ou à votre ami Mr. Bender soient [… ] chez ma mère, qui revient dans huit jours? Devrais-je faire le voyage exprès? Avec surprise, mais sans rancune»; 1 L.A.S. de 2 pages manuscrites (sur 2 ff.) datée de Paris le 20 octobre 99: «Mon cher Hauser, Vous me demandez ce que je pense du féminisme littéraire. On ne peut songer à interdire la prose et la poësie au sexe faible. Dans l’écriture la femme laide trouve parfois un soulagement, le femme âgée une consolation. Ca et là, j’en conviens, de vrais talents surgissent. On déclare alors que ces talents sont «virils». C’est ce qui fut dit pour George Sand. Mais permettez-moi de me situer à un point de vue spécial. Quand je vois une femme, que son cœur, ses sens, une enveloppe aimable ont destiné à la passion, se servir d’un porte-plume autrement que pour écrire à l’absent des phrases délicieusement incohérentes, je me sens fort attristé. Que de biens perdus! L’amour, en effet, prime toute littérature. La vie est courte, et il n’y a pas de gloire au monde qui vaille l’échange d’un baiser sincère. Or on ne peut être à la fois une femme de lettres et une femme de tendresse. Mlle de Pougy elle-même n’a pu réaliser ce double idéal. Juliette – pas plus que Roméo d’ailleurs – n’a songé à écrire un recueil de sonnets et à faire antichambre chez un éditeur. Et la femme journaliste? Je n’évoque son spectre qu’avec terreur. Elle peut devenir une force; je préfèrerais qu’elle restât une adorable faiblesse […] ».; 1 L.A.S. d’une page, datée du 20 février 1906. Il s’excuse d’avoir dû rester s’occuper de sa mère souffrante; «Le directeur du [ … ] ne paraît pas décidé absolument à faire le Peuple Souverain. Et voici pourtant l’époque des élections. Il faudrait peut-être que vous, le principal auteur, donnassiez un coup d’épaule. Qu’en pensez-vous? [… ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 13 décembre 1908: «Mon cher ami, Fernand Sarnette dépasse toutes les limites de l’impudence, vis-à-vis de moi et vis-à-vis d’autres. Si vous ne l’avez pas fait, veuillez lui écrire 14 rue des Sts Pères pour lui réclamer dans un délai de quatre jours Le Peuple Souverain, sinon nous aviserons la Société des Auteurs. Emile Rochard et moi en faisons autant de notre côté [ … ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 29 janvier 1909: «Mon cher Hauser, [ … ] Sarnette fait le mort. Il faudrait, comme Rochard et moi, écrire un mot à M. Gangnat, agent général des Auteurs Dramatiques, [ … ] Henner, qui va convoquer le délinquant avant de le traduire devant la Commission»; avec 2 autres L.A.S.‎

‎[ Lot de 7 lettres autographes signées et d’un portrait photographique signé dont une très intéressant sur le «féminisme littéraire» ] L.A.S. d’une page datée au crayon par une autre main de 1882: «Mon Cher Hauser, ne trouvez-vous pas qu’il est temps que cette plaisanterie finisse? Suis-je trop exigeant en vous priant de veiller à ce que les tableaux confiés à vous ou à votre ami Mr. Bender soient [… ] chez ma mère, qui revient dans huit jours? Devrais-je faire le voyage exprès? Avec surprise, mais sans rancune»; 1 L.A.S. de 2 pages manuscrites (sur 2 ff.) datée de Paris le 20 octobre 99: «Mon cher Hauser, Vous me demandez ce que je pense du féminisme littéraire. On ne peut songer à interdire la prose et la poësie au sexe faible. Dans l’écriture la femme laide trouve parfois un soulagement, le femme âgée une consolation. Ca et là, j’en conviens, de vrais talents surgissent. On déclare alors que ces talents sont «virils». C’est ce qui fut dit pour George Sand. Mais permettez-moi de me situer à un point de vue spécial. Quand je vois une femme, que son cœur, ses sens, une enveloppe aimable ont destiné à la passion, se servir d’un porte-plume autrement que pour écrire à l’absent des phrases délicieusement incohérentes, je me sens fort attristé. Que de biens perdus! L’amour, en effet, prime toute littérature. La vie est courte, et il n’y a pas de gloire au monde qui vaille l’échange d’un baiser sincère. Or on ne peut être à la fois une femme de lettres et une femme de tendresse. Mlle de Pougy elle-même n’a pu réaliser ce double idéal. Juliette – pas plus que Roméo d’ailleurs – n’a songé à écrire un recueil de sonnets et à faire antichambre chez un éditeur. Et la femme journaliste? Je n’évoque son spectre qu’avec terreur. Elle peut devenir une force; je préfèrerais qu’elle restât une adorable faiblesse […] ».; 1 L.A.S. d’une page, datée du 20 février 1906. Il s’excuse d’avoir dû rester s’occuper de sa mère souffrante; «Le directeur du [ … ] ne paraît pas décidé absolument à faire le Peuple Souverain. Et voici pourtant l’époque des élections. Il faudrait peut-être que vous, le principal auteur, donnassiez un coup d’épaule. Qu’en pensez-vous? [… ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 13 décembre 1908: «Mon cher ami, Fernand Sarnette dépasse toutes les limites de l’impudence, vis-à-vis de moi et vis-à-vis d’autres. Si vous ne l’avez pas fait, veuillez lui écrire 14 rue des Sts Pères pour lui réclamer dans un délai de quatre jours Le Peuple Souverain, sinon nous aviserons la Société des Auteurs. Emile Rochard et moi en faisons autant de notre côté [ … ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 29 janvier 1909: «Mon cher Hauser, [ … ] Sarnette fait le mort. Il faudrait, comme Rochard et moi, écrire un mot à M. Gangnat, agent général des Auteurs Dramatiques, [ … ] Henner, qui va convoquer le délinquant avant de le traduire devant la Commission»; avec 2 autres L.A.S.‎


‎Intéressant lot d’autographes de l’écrivain Pierre Elzéar. Petit-fils du juriste Joseph Ortolan, frère du naturaliste Gaston Bonnier, Pierre Elzéar (1848-1916) verra l’un de ses poèmes publié dans le «Le Tombeau de Théophile Gautier», l’un des grands témoignages du mouvement parnassien. On peut le voir dans le célèbre tableau de Fantin-Latour, le Coin de table, où il est représenté, portant un haut-de-forme, debout à Gauche, aux côtés d'autres poètes comme Paul Verlaine et Arthur Rimbaud. Bon ensemble (prix du lot, non séparable). Les lettres sont adressés à l'écrivain de Toulon et félibre Fernand Hauser (1869-1941)‎

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