Paris Gallimard, coll. "Une oeuvre, un portrait" 1928 1 vol. broché in-8, broché, 104 pp. Edition originale ornée d'un portrait de l'auteur en frontispice par Charles Guérin gravé sur bois par G. Aubert. Exemplaire numéroté sur vélin simili cuve des papeteries Navarre. Rousseurs sur le premier feuillet, sinon bon état.
Reference : 65325
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Paris, Librairie de Victor Palmé, éditeur Broché 1870 In-8 (14,3 x 22,7 cm), broché, 582 pages ; dos bruni, bords des plats usés, intérieur très frais, bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Paris, Gallimard, (1955). Un vol. au format in-12 (181 x 117 mm) de 230 pp., broché.
Edition originale (mention fictive d'édition portée en page de titre). Datées de 1910 à 1936, ces lettres, les plus belles sans doute de toute sa correspondance, révèlent un aspect méconnu de l'œuvre de Saint-Exupéry. Elles constituent un précieux témoignage du tendre amour qu'il éprouvait pour sa mère, être d’exception, figure rassurante, refuge et consolation, le «réservoir de paix» dans lequel il puise «aux minutes lourdes»: «Vous êtes ce qu'il y a de meilleur dans ma vie. J'ai ce soir le mal du pays comme un gosse! (…) C'est vrai que vous êtes la seule consolation quand on est triste». Au travers de ses lettres, on découvre un jeune homme toujours insatisfait, cherchant un sens à la vie, regrettant son enfance choyée si souvent évoquée. Son spleen, son ennui, ses expériences d'homme, tout ce qu'il entreprend (ses poèmes, ses dessins), il les partage avec sa mère. Une mère artiste, aux jugement pertinents, qui sans cesse l'encourage, le rassure, elle qui a surmontée tant de chagrins (elle fut veuve à 28 ans). Ces chagrins (la mort de son frère François et de sa sœur Marie-Madeleine) vont rendre plus fusionnelle encore leur relation («Ma petite maman, vous pouvez compter désormais doublement sur mon amour. Mais aucun enfant ne peut remplacer un enfant perdu») et faire de Saint-Exupéry un vrai chef de tribu. À sa mère et à ses sœurs comme à ses pilotes plus tard, il prodiguera la même surprotection: «Et quand mes avions partent, c'est comme mes poussins. Et je suis inquiet jusqu'à ce que la TSF m'ait annoncé leur passage à l'escale suivante (...) Et je suis prêt à partir à la recherche des égarés». Rousseurs au dos lequel est légèrement gauchi. Papier très légèrement oxydé. Du reste, belle condition.
Paris, Gallimard, (1955). Un vol. au format in-12 (181 x 117 mm) de 230 pp. Reliure de l'époque de demi-cartonnage émeraude à coins à l'imitation de maroquin, dos lisse orné de filets dorés, fleuron central doré, pièce de titre de maroquin lie-de-vin, titre doré, tranches mouchetées.
Edition originale (mention fictive d'édition portée en page de titre). Datées de 1910 à 1936, ces lettres, les plus belles sans doute de toute sa correspondance, révèlent un aspect méconnu de l'œuvre de Saint-Exupéry. Elles constituent un précieux témoignage du tendre amour qu'il éprouvait pour sa mère, être d’exception, figure rassurante, refuge et consolation, le «réservoir de paix» dans lequel il puise «aux minutes lourdes»: «Vous êtes ce qu'il y a de meilleur dans ma vie. J'ai ce soir le mal du pays comme un gosse! (…) C'est vrai que vous êtes la seule consolation quand on est triste». Au travers de ses lettres, on découvre un jeune homme toujours insatisfait, cherchant un sens à la vie, regrettant son enfance choyée si souvent évoquée. Son spleen, son ennui, ses expériences d'homme, tout ce qu'il entreprend (ses poèmes, ses dessins), il les partage avec sa mère. Une mère artiste, aux jugement pertinents, qui sans cesse l'encourage, le rassure, elle qui a surmontée tant de chagrins (elle fut veuve à 28 ans). Ces chagrins (la mort de son frère François et de sa sœur Marie-Madeleine) vont rendre plus fusionnelle encore leur relation («Ma petite maman, vous pouvez compter désormais doublement sur mon amour. Mais aucun enfant ne peut remplacer un enfant perdu») et faire de Saint-Exupéry un vrai chef de tribu. À sa mère et à ses sœurs comme à ses pilotes plus tard, il prodiguera la même surprotection: «Et quand mes avions partent, c'est comme mes poussins. Et je suis inquiet jusqu'à ce que la TSF m'ait annoncé leur passage à l'escale suivante (...) Et je suis prêt à partir à la recherche des égarés». Papier très légèrement oxydé. Du reste, très belle condition.
Rusand 1806 364 pages in12. 1806. Relié. 364 pages. 5e édition
Bon Etat de conservation bords frottés intérieur propre texte net bonne tenue; très bonne condition pour ce livre de 1806
Club de l'honnete homme 1977 in8. 1977. Cartonné. illustrations couleurs
Bon Etat de conservation du livre avec emboîtement cartonné (ternis) intérieur propre tranche supérieure dorée