Paris Editions du Seuil 1975 1 vol. broché in-8, broché, 285 pp. Edition originale. Un des 265 exemplaires numérotés sur vélin Neige, seul grand papier. Bonne condition.
Reference : 3813
Vignes Online
M. Henri Vignes
La Font Macaire
87120 Eymoutiers
France
05 55 14 44 53
conformes aux usages de la Librairie ancienne et moderne et, pour l'étranger, aux règlements en matière de paiement. Les prix indiqués sont nets, en euros. Frais de port en sus à la charge du destinataire.
1 feuillet (210 x 285 mm), crayon, feutre et aquarelle. Geisha en costume traditionnel. Mention au dos du feuillet : « Suzuki version I acte I ».
Kenzo Takada, l’un des créateurs de mode les plus extravagants du XXe siècle, est né en 1939 dans la ville de Himeji au Japon. Fasciné par les magazines de mode et les images de Paris des films de la Nouvelle vague depuis sa plus tendre enfance, il s’est rendu à Paris en 1964 après que son immeuble a été démoli pour faire place aux Jeux olympiques de Tokyo. En 1970, il ouvre sa première boutique dans la galerie Vivienne, surprenant le public français par son esthétique audacieuse faite de couleurs vives et de motifs contrastés. Inspiré par les créateurs de haute couture émergents de l’époque, comme Yves Saint Laurent et Karl Lagerfeld, Kenzo devient l’un des principaux créateurs de la haute couture à Paris, modifiant les normes et les goûts de la décennie. Tout au long de sa vie, Kenzo faisait référence à la culture japonaise à différents degrés. À partir de 2010, il a organisé ses expositions d’art dans le monde entier, présentant sa série de kimonos imprimés de fleurs qui rappellent les motifs par lesquels sa marque est connue. En 2019, il a conçu des costumes pour une production de Madame Butterfly par la Fondation de l’Opéra Nikikai de Tokyo, reconsidérant une fois de plus le style vestimentaire traditionnel japonais. Ce magnifique dessin est l’un des croquis pour les costumes de geishas présentes dans l’Opéra. « C’est un projet difficile », a déclaré Takada lors de l’interview qu’il donna au Japan Times en septembre 2019 « pour coordonner les costumes aux directives du réalisateur et à la vaste quantité de composants qui entrent dans une production musicale ». Les costumes de l’héroïne de Madame Butterfly comportent des graphismes floraux, tandis que les personnages environnants revêtiront des costumes simples aux tons pastel pour compléter les tenues de l’actrice principale. « Je voulais respecter la tradition autant que possible », explique-t-il à propos de ses créations. « J’ai toujours pensé que le kimono a un aspect très moderne et peut-être que cela pourrait être l’occasion pour certains de témoigner de cette modernité, que ce soit à Tokyo ou à Dresde […]. En tant que costumier, j’ai essayé de saisir les récits de Puccini tout en dessinant la spiritualité japonaise aussi fidèlement que possible. Cela devrait faire rêver le public et le faire voyager dans l’extase. » S’il existe de nombreux croquis préparatoires et dessins du grand couturier (Kenzo avait déclaré, à la publication de son ouvrage où 350 d’entre eux avaient été reproduits, qu’il en avait créé près de 5 000 *), les dessins aboutis à l’aquarelle sont d’une grande rareté. Ceux du dernier grand projet que constitue Madame Butterfly font partie des plus rares. Superbe réalisation. * « Pourquoi mon livre est-il essentiellement composé de dessins? C’est une idée de Kazuko Masui qui m’a demandé pendant vingt ans de lui donner des croquis, mais je refusais continuellement. Puis j’ai fini par accepter. Nous avons choisi d’en publier 350 sur plus de 5000 que j’ai dessinés […] En ce moment, j’écoute beaucoup l’opéra Madame Butterfly, dont je ferai les costumes l’année prochaine à Tokyo. » (Le Figaro, « Un dernier verre avec Kenzo Takada », par Sophie de Santis, novembre 2018, à la suite de la parution de Kenzo Takada de Kazuko Masui, Éditions du Chêne)
Magnifique dessin pour les costumes de geishas conçus pour l'Opéra. 1 feuillet (210 x 285 mm), crayon, feutre et aquarelle. Groupe de quatre geishas en costumes traditionnels. Mention au dos du feuillet : « Geisha version II acte I ».
Kenzo Takada, l'un des créateurs de mode les plus extravagants du XXe siècle, est né en 1939 dans la ville de Himeji au Japon. Fasciné par les magazines de mode et les images de Paris des films de la Nouvelle vague depuis sa plus tendre enfance, il s'est rendu à Paris en 1964 après que son immeuble a été démoli pour faire place aux Jeux olympiques de Tokyo. En 1970, il ouvre sa première boutique dans la galerie Vivienne, surprenant le public français par son esthétique audacieuse faite de couleurs vives et de motifs contrastés. Inspiré par les créateurs de haute couture émergents de l'époque, comme Yves Saint Laurent et Karl Lagerfeld, Kenzo devient l'un des principaux créateurs de la haute couture à Paris, modifiant les normes et les goûts de la décennie. Tout au long de sa vie, Kenzo faisait référence à la culture japonaise à différents degrés. À partir de 2010, il a organisé ses expositions d'art dans le monde entier, présentant sa série de kimonos imprimés de fleurs qui rappellent les motifs par lesquels sa marque est connue. En 2019, il a conçu des costumes pour une production de Madame Butterfly par la Fondation de l'Opéra Nikikai de Tokyo, reconsidérant une fois de plus le style vestimentaire traditionnel japonais. Ce magnifique dessin est l'un des croquis pour les costumes de geishas présentes dans l'Opéra. « C'est un projet difficile », a déclaré Takada lors de l'interview qu'il donna au Japan Times en septembre 2019 « pour coordonner les costumes aux directives du réalisateur et à la vaste quantité de composants qui entrent dans une production musicale ». Les costumes de l'héroïne de Madame Butterfly comportent des graphismes floraux, tandis que les personnages environnants revêtiront des costumes simples aux tons pastel pour compléter les tenues de l'actrice principale. « Je voulais respecter la tradition autant que possible », explique-t-il à propos de ses créations. « J'ai toujours pensé que le kimono a un aspect très moderne et peut-être que cela pourrait être l'occasion pour certains de témoigner de cette modernité, que ce soit à Tokyo ou à Dresde [...]. En tant que costumier, j'ai essayé de saisir les récits de Puccini tout en dessinant la spiritualité japonaise aussi fidèlement que possible. Cela devrait faire rêver le public et le faire voyager dans l'extase. » S'il existe de nombreux croquis préparatoires et dessins du grand couturier (Kenzo avait déclaré, à la publication de son ouvrage où 350 d'entre eux avaient été reproduits, qu'il en avait créé près de 5 000 *), les dessins aboutis à l'aquarelle sont d'une grande rareté. Ceux du dernier grand projet que constitue Madame Butterfly font partie des plus rares. Superbe réalisation. * « Pourquoi mon livre est-il essentiellement composé de dessins? C'est une idée de Kazuko Masui qui m'a demandé pendant vingt ans de lui donner des croquis, mais je refusais continuellement. Puis j'ai fini par accepter. Nous avons choisi d'en publier 350 sur plus de 5000 que j'ai dessinés [...] En ce moment, j'écoute beaucoup l'opéra Madame Butterfly, dont je ferai les costumes l'année prochaine à Tokyo. » (Le Figaro, « Un dernier verre avec Kenzo Takada », par Sophie de Santis, novembre 2018, à la suite de la parution de Kenzo Takada de Kazuko Masui, Éditions du Chêne)
Paris Hachette, 1862 - 1866. 14 vol. + 1 vol. (album) ; demi-chagrins aubergine, dos à nerfs, pièces de titre.
[ Portraits de Femmes. Publication Artistique bimensuelle] - Collectif ; [ HENRIOT, Emile )
Reference : 61047
(1910)
51 numéro in-12 br., Portraits de Femmes. Publication Artistique bimensuelle, 1910 - 1913, 8 pp. par numéro. Rappel du titre complet : Portraits de Femmes. Publication Artistique bimensuelle (51 Numéros. Du numéro 1 de janvier 1910 au n° 51 de janvier 1913) Diane de Poitiers - Madame Récamier - Sophie Arnould - Mademoiselle George - Ninon de Lenclos - Madame Tallien - Madame de Montespan - Lady Hamilton - La Cencsi - Madame du Barry - La Grassini - Les deux femmes de Rubens - Eve - La femme de Greuze - La Princesse de Lamballe - Mme Vigée-Lebrun - Catherine de Russie - Madame de Sévigné - Madame Roland - Marie-Louise - Les femmes de Rembrandt - Marie Stuart - Marie-Louise - La Duchesse d'Angoulême - Madame Favart - Madame de Pomapdour - Madame Dorval - Mme de Longueville - Marie Dorval - Charlotte Corday - Mlle Duthé - Mme d'Epinay - Marguerite de Valois - Lucile Demoulins - George Sand - Marie-Félicie des Ursins - Pauline Borghèse - Marie-Antoinette - La Vallière - La Duchesse de Berry - Madame de La Vallière - Duchesse de Choiseul - Madame de Tencin - Mme de la Popelinière - Christine de Suède - Mlle Taglioni - Virginie Déjazet - La Reine Hortense - Catherine de Médicis - Mme de Girardin - Jeanne d'Arc - Louise Colet
Rare série bien complète des 51 premiers numéros de cette intéressante série publicitaire médicale, dont le texte est rédigé par Emile Henriot. Bon ensemble, quasi complet (manifestement la série ne dépassa pas les 52 numéros).
GARNIER FRERES. 1859. In-4. Relié. Etat d'usage, Coins frottés, Dos abîmé, Intérieur frais. 394 pages - Nombreux portraits gravés au burin en noir et blanc hors texte et sous serpente - Quelques mouillure sur l'ensemble de l'ouvrage n'altérant pas la lecture - Ouvrage désolidarisé - Tranches dorés - Auteur, titre, ornements dorés - Colorisations à l'encre sur le 1er plat - Coins rognés - 2 photos disponibles. . . . Classification Dewey : 305.4-La femme
12 portraits gravés au burin par MM. Gouttière, Outhwaite, Geoffroy, Girardet, Delannoy, Gervais etc. d'après les dessins de M.G. Staal - Sommaire : Marguerite, reine de Navarre - Marie Stuart - Madame de Motteville - La Grande Mademoiselle - Mademoiselle de Scudéry - Madame, Duchesse d'Orléans - Madame de Sévigné - Madame de Maintenon - Madame de Caylus - La duchesse de Bourgogne - La duchesse du Maine - Madame de Lambert - Madame Necker - Madame Geoffrin - Marie-Antoinette - Goethe et Bettina - Madame Récamier - Madame Emile de Girardin - Madame de Tracy - Eugénie de Guerin - Madame la duchesse d'Angoulême. - 2 photos disponibles Classification Dewey : 305.4-La femme