‎Quaglia (Georges)‎
‎Photographies‎

‎Telena, Le Mans Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1980 Book condition, Etat : Bon cartonnage In-4 oblong, format à l'italienne 1 vol. - 94 pages‎

Reference : 39988


‎très nombreuses photographies en noir et blanc Contents, Chapitres : Ces photographies ont été prises dans le Maine, en Saône et Loire, en Haute Loire, dans le Périgord et l'Angoumois, sur les côtes normande et bretonne, dans le Vaucluse - Index en fin de volume par localités - préface de Jean-Claude Vaillant couverture tres legerement empoussiérée, sinon bon etat - sans date, sin data, année estimée‎

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Reference : 014099

‎8 CATALOGUES : Succession de Madame Markovitch - I. Les Picasso de Dora Maar. Vente à Paris les 27 et 28 octobre 1998 - II Pablo Picasso et Dora Maar. Une Histoire - des oeuvres. Photographies de 1906 à 1946 vente les 28 et 29 octobre 1998 -- III. Les Livres de Dora Maar. Autographes et documents. 29 octobre 1998 -- IV. Les photographies de Dora Maar: Une Histoire Des Oeuvres, Vente à Paris le 20 novembre 1998 -- V. L'Atelier de Dora Maar; 26 novembre 1998 -- VI. Derniers souvenirs de Dora Maar. Vente les 26 et 27 mai 1999. -- VII. Les Photographies de Dora Maar. Une dernière rencontre‎

‎Paris Piasa - Mathias 0 In-4 brochés, couv illustrées ‎


‎COLLECTION COMPLETE; >> I. Les Picasso de Dora Maar. Vente à Paris les 27 et 28 octobre 1998 : 142 lots décrits et pour la plus part reproduits: tableaux et dessins, bijoux, sculptures, papiers déchirés, galets et tessons gravés, estampes, clichés verre, photographies... Oeuvres de Picasso, Dora Maar, Oscqr Dominguez, Joan Miro, Jean Cocteau, Balthus, Fenosa, Jacques Villon. --- II Pablo Picasso et Dora Maar. Une Histoire - des oeuvres. Photographies de 1906 à 1946. 28/29 octobre 1998. 275 lots décrits dont beaucoup sont reproduits, photographies de Picasso, de ses oeuvres et des amis de Picasso et Dora Maar par elle-même, Brassai, Braque, Rogi André, Caillet, Cauvin, Chevojon, Cocteau, Eluard, Izis, Man Ray, Photolido, Picasso, Vaux et Ventosa. --- III. Les Livres de Dora Maar. Autographes et documents. 29 octobre 1998. 386 lots décrits dont beaucoup reproduits. Ouvrages et autographes de Bataille, Breton, Braque, Breton, Char, Cocteau, Deharme, Desnos, Du Bouchet, Eluard, Ernst, Hugnet, Picasso, Iliazd, Jouve, Leiris, Matisse, Michaux, Paalen, Péret, Prevert, Reverdy, Tanguy, Tzara... --- IV. Les photographies de Dora Maar: Une Histoire Des Oeuvres. 20 novembre 1998. Note biographique et descriptions des 230 lots comprenant des photographies anonymes, de nombreuses images de Dora Maar, et d'Albin-Guillot, Sougez, Man Ray, Izis, Brassaï, Lee Miller, Rogi André, Ina Bandy et Irving Penn. Parmi ces clichés des portraits de Picaso, et la fameuse série de Guernica qui montre l'élaboration du célèbre tableaux. --- V. L'Atelier de Dora Maar. 26 novembre 1998. Repères biographiques. Cette vacation proposait 160 tableaux exécutés par la compagne de Picasso, et des oeuvres de Wifredo Lam (3), Oscar Dominguze (1) et Marie-Laure de Noailles (3). 44 reproductions en couleurs. -- VI. Atelier de Dora Maar. 7 décembre 1998. Dessins, aquarelles, peintures sur toile, bijoux, argenterie, objets d'art et d'ameublement, matériel de peintre, tapis d'Orient. 11 photographies en noir. -- VII. Derniers souvenirs de Dora Maar. 26/27 mai 1999. Oeuvres de Pablo PICASSO, Croquis de BALTHUS, ensemble de dessins et peintures de Wifredo LAM, oeuvres de Dora MAAR, De Stael,... 244 lot décrits dont plus de cent reproduits. --- VIII. Les Photographies de Dora Maar. Une dernière rencontre. 19 novembre 1999. Photos de Dora Maar, Brassaï, Izis, Man Ray, Rogi André. 100 lots. >>>L'ENSEMBLE des 8 CATALOGUES des ventes DORA MAAR Très bon 0‎

Phone number : 01 42 66 38 10

EUR550.00 (€550.00 )

‎(BLANCHOT Maurice)‎

Reference : 57913

(1907)

‎[Photographie] Extraordinaire réunion de photographies de Maurice Blanchot prises dans la sphère familiale‎

‎ca.1907-2003, Un album photographique de 30x32cm contenant 260 photographies.‎


‎Album de 260 photographies originales, composant le seul corpus photographique de Maurice Blanchot et de sa famille, à l'exception de quelques photographies isolées, d'identité ou tardives publiées dans le cahier de l'Herne consacré à l'écrivain. «?Blanchot mit longtemps au défi photographes et caricaturistes de la presse littéraire. Minimalistes et rarissimes, sur tant d'années, sont les esquisses d'illustrations?: en 1962 dans L'Express, une main brandit un livre, sur fond de page ; en 1979, dans Libération, un carré vierge au milieu de la page, portant pour toute légende le nom de Maurice Blanchot et une citation de l'Entretien infini («?un vide d'univers?: rien qui fut visible, rien qui fut invisible?»)?» (C. Bident, Maurice Blanchot). En 1986, à l'occasion d'une exposition de portraits d'écrivains, Maurice Blanchot demande que sa photo soit remplacée par un texte manifestant son désir d'«?apparaître le moins possible, non pas pour exalter [ses] livres, mais pour éviter la présence d'un auteur qui prétendrait à une existence propre?» . Une photo prise à son insu par un paparazzo sur un parking de supermarché, fera longtemps office de portrait de l'écrivain avant que son ami Emmanuel Levinas ne dévoile quelques rares portraits de leur jeunesse. Que Maurice Blanchot ne se soit pas opposé à cette divulgation, que celle-ci soit le fait de son plus proche ami, pourrait s'expliquer par ce que Bident nomme «?l'espacement de l'inquiétude?», l'inactualité des portraits dévoilés faisant écho aux publications reportées de L'Idylle, Le Dernier Mot, L'Arrêt de mort.... Seules quelques photographies rassemblées dans les pages centrales du numéro des Cahiers de l'Herne consacré à Maurice Blanchot paru en 2014 complètent ces clichés uniques de l'écrivain le plus secret du XXè siècle. Dans son chapitre «?L'indisposition du secret?», Christophe Bident consacre plusieurs pages à l'absence presque totale d'image de ce partenaire invisible, s'interrogeant sur les motivations intellectuelles et psychologiques de l'écrivain conscient pourtant de l'inévitable révélation à venir?: «?Tout doit devenir public. Le secret doit être brisé. L'obscur doit entrer dans le jour et se faire jour. Ce qui ne peut se dire doit pourtant s'entendre. Quidquid latet apparebit, tout ce qui est caché, c'est cela qui doit apparaître...?» Maurice Blanchot, L'Espace littéraire) Maurice Blanchot refusait généralement d'être photographié, même dans le cadre privé, comme le confirme la famille de sa belle-sur Anna qui, dans une lettre à son neveu, lui confirme n'avoir pris aucun cliché de l'écrivain, respectant ainsi ses vux. Pourtant, les photographies prises au sein de sa famille proche, nous montrent un Blanchot parfaitement consentant, et jouant même avec raffinement avec son image offerte au photographe, généralement son frère. Ainsi découvre-t-on un homme élégant posant fièrement sur un ponton de bateau ou sur les quais de Seine, ou plus mystérieux, jouant avec les effets de lumière dans le coin d'une pièce nue. On constate alors une véritable mise en scène photographique, et une réappropriation symbolique de l'image, notamment dans cet étonnant portrait assis de l'écrivain tenant dans ses bras le masque mortuaire de l'«?Inconnue de la Seine?», célèbre tête en plâtre d'une jeune femme supposée noyée et qui orna les ateliers d'artistes après 1900. Véritable légende romantique, cette sculpture au mystérieux sourire post mortem est au cur du roman d'Aragon, Aurélien, et hante les uvres des artistes du début du siècle dont Rainer Maria Rilke, Vladimir Nabokov, Claire Goll, Jules Supervielle, Louis-Ferdinand Céline, Giacometti ou Man Ray qui, à la demande d'Aragon, en fit un inquiétant portrait photographique. Maurice Blanchot décrira l'inconnue comme «?une adolescente aux yeux clos, mais vivante par un sourire si délié, si fortuné, [...] qu'on eût pu croire qu'elle s'était noyée dans un instant d'extrême bonheur.?» Cette photographie d'un Blanchot impavide berçant le masque blanc de la «?Joconde du suicide?» s'affirme comme une véritable déconstruction de la représentation et une illustration aussi parfaite qu'énigmatique de son uvre littéraire et du «?silence qui lui est propre?». De nombreuses photographies témoignent d'un même souci de détournement de la représentation au profit d'une symbolique aporétique, tel ce portrait en pied de l'écrivain vêtu de noir qui se fond dans la perspective fuyante des bâtiments mais dont le front seul est nimbé d'une lumière crue qui semble jaillir de son crâne et effacer les contours des toits. Ou cette autre sur laquelle la lumière nimbe la moitié d'une pièce vide et sépare la photographie en deux parties égales?: un espace sombre à l'exacte frontière duquel Maurice Blanchot se tient droit les mains derrière le dos et un espace lumineux et entièrement vide, à l'exception d'un pied de l'intellectuel qui s'y aventure. Ces photographies réalisées avec son frère révèlent une parfaite maîtrise de l'image et de ses codes artistiques. D'autres photographies, de composition plus classique, apportent un précieux et unique témoignage sur la vie de Maurice Blanchot et sur ses relations familiales qui constituent tout à la fois la face cachée de l'écrivain et son seul véritable ancrage dans la vie physique. Maurice Blanchot, avec lequel ses plus proches amis n'entretenaient généralement que des relations téléphoniques, a vécu la majeure partie de sa vie au sein de sa famille. D'abord dans la maison familiale de Quain, puis hébergé par son frère René et sa belle-sur Anna chez qui il demeurera même après la mort de René puis d'Anna. C'est également avec sa mère et sa sur Marguerite que Maurice aura la plus importante correspondance, (plus de 1400 lettres) tout au long de leur vie, partageant avec elles tous les aspects de sa vie intellectuelle, sociale et politique. Enfin, sa nièce Annick, belle-fille de son frère Georges, et son petit neveu Philippe furent presque les seules personnes autorisées à pénétrer dans l'appartement de René, Anna et Maurice, où l'écrivain menait une vie retranchée. On y découvre la silhouette longiligne d'un homme dont la fragile constitution contribua à sa dépendance envers sa famille au sein de laquelle l'écrivain menait une vie simple et heureuse, posant naturellement au côté de sa mère, promenant son neveu par la main, partageant un repas de famille dans le jardin, ou conversant dans le salon. Les postures de Blanchot sont alors celles d'un homme tranquille, ne fuyant pas l'objectif et posant parfois au contraire avec un certain dandysme très assumé. Sur plusieurs autres photographies, Blanchot pose au premier plan dans une même posture d'une élégance hiératique en parfait décalage avec le paysage et les autres personnages en arrière-plan. Cette répétition du même dans différents décors confère à Maurice Blanchot une présence fantomatique ou à tout le moins irréelle. Mais ces photographies nous renseignent également, autant que faire se peut, sur la vie privée de Maurice Blanchot, ses voyages, ses relations, son univers quotidien au sein de sa famille et sur les différentes périodes de sa vie. Car les photographies rassemblées ici, commencent avec des portraits de famille en bistre albuminés avant même la naissance de Maurice Blanchot et s'achèvent par des argentiques en couleur sur papier Kodak, sur lesquelles l'écrivain très sérieux sur son fauteuil de velours, toise l'objectif en contre-plongée, ou, facétieux dans un jardin verdoyant, se cache le visage derrière un chat qu'il serre amoureusement dans ses bras. Enfin, comme pour clore cet album unique du seul écrivain qui aura su se rendre invisible au monde sa vie durant, une photographie en buste nous montre, émergeant d'un pull noir profond et uniforme, le visage radieux de l'écrivain qui semble se rire du bon tour qu'il a joué à ses contemporains. A l'exception de quelques clichés d'identité et souvenirs de voyages réalisés à la fin de sa vie, ce fonds unique et complet constitue la seule source photographique de Maurice Blanchot, de ses lieux de vie et de sa famille, ce cercle intime volontairement dissimulé aux regards et à la curiosité du public et des amis et qui fut pourtant à la base du rapport conflictuel de l'écrivain au monde extérieur. Mais bien plus qu'une prosaïque documentation en marge de l'uvre de Maurice Blanchot, les photographies de cet ensemble témoignent d'une réelle maitrise de l'image, de sa mise en perspective et de son pouvoir de réflexivité. Comme un ultime présent de l'auteur de Thomas l'Obscur, ces traces uniques de son passage font soudain réapparaître celui qui sut jadis disparaitre derrière son uvre, réalisant ainsi le miracle de son «?Toma?» (jumeau)?: être et ne pas être. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR35,000.00 (€35,000.00 )

‎ARNOUX Hippolyte - ZANGARI - BONFILS Félix‎

Reference : 58282

‎Album de PHOTOGRAPHIES ORIGINALES - TONKIN - DJIBOUTI - YEMEN - EGYPTE - TUNISIE‎

‎Divers Divers 1880-1894 Album de photographies in-8 oblong "à l'italienne" ( 280 X 380 mm ), demi-chagrin vert, dos à nerfs janséniste, plats de percaline chagrinée de la même teinte contenant 48 photographies en tirage albuminé vers 1880-1894 de formats divers contrecollées sur feuillets de papier fort montés sur onglets.Bel album de voyage, les photographies sont parfois légendées au crayon sur le carton de montage, parfois dans la photographie, parfois muettes. Nous relevons la signature des photographes suivants: Hippolyte ARNOUX, ZANGARI, Félix BONFILS ( pour les photographies d'Egypte ).Détail des photographies:- TONKIN. 25 photographies essentiellement de format 17 X 22,5 cm. Hanoï, Pêcheurs, Charpentiers -Sculpteurs, Barbiers, Ecole Franco-Anamite, Comédiens, Fabrication du papier, Chanteurs, Porteurs d'eau....- OBOCK-DJIBOUTI. 3 photographies de format 220 X 260 cm.- EGYPTE: 9 photographies essentiellement de format 220 X 280 cm.- TUNISIE: 9 photographies essentiellement de format 130 X 170 cm.A la suite sont contrecollés 33 documents divers: cartes-postales, vignettes, photographies etc... de France.‎


Phone number : 04 91 42 63 17

EUR750.00 (€750.00 )

‎[Librairie Le Minotaure] - ‎ ‎CHRISTIN, Anne-Marie ; CLERC, Philippe ; JACNO, Marcel ; LAZAREVSKY, Danièle ; SUBLET, Jacqueline ; TORHOIT, Marie-Noëlle‎

Reference : 53978

(1974)

‎L'Immédiate (Du numéro 1 de novembre 1974 au numéro double 28-29 été-automne 1981 : Complet des 29 parus) [ Détail des 29 numéros ] N° 1, novembre 1974 : Philippe Soupault, Angèle Vannier, Marcel Jacno, Evelyn Ortlieb, Daniel Grojnowski, Jean-Pierre Ghysels, Anne-Marie Christin, Jean-Pierre Jasz, Philippe Clerc, Jacqueline Sublet, Danièle Lazarevsky, Monique Boucher, Georges Couroupos, Marie-Noëlle de Torhout, Ernesto Lopez-Pino, Georgette Simon ; N° 2, hiver 1974-1975 : Elbio Mazet, Julio Moncada, Santenac, Christiane Raiga, Michel Chaudière, Léon Zack, Michel Auphan, André Vigneau, Michelle Thirion, Francine Van Hove, Louis Simon, Abdallah Benanteur, Danièle Lazarevsky, Jean-Marie Durand, Morio Taouroumi, Anne Spiteri, Georges Robert ; N° 3 : printemps 1975 : Dussaut, Jean B. Delahaye, Carlo Berte, Giuliano Modesti, Werner Lambersy, Danièle Lazarevsky, Monique Boucher, Enrique Chifflet, Georges Robert, Jeanne Bessière, Marie-Noëlle de Torhout, Ernesto Lopez-Pino, Marcel Jacno, Angèle Vannier, Georgette Simon, Anna Shanon ; N° 4, été 1975 : L'écriture et l’image dans le monde arabe. Par Jacqueline Sublet. Choix de textes et traduction : Georges Douillet. Calligraphies originales : Ghani Alani ; N° 5, automne 1975 : Les passages de Paris. Daniel Mauroc, Philippe Soupault, Jean-Vincent Verdonnet, Daniel Grojnowski, Geneviève Fourcade, Michelle Bloch, Denise Borias, Anne-Marie Christin, Gaëtan Picon. Danièle Lazarevsky, Photographies ; N° 6, hiver 1975-1976 : Typo-graphies. Guy Lévis-Mano, Adrian Frutiger, Michel Butor, Raymond Gid, René Lamoureux, Marcel Jacno, Jean Larcher, Pierre Duplan, Henri Pichette, Gérard Blanchard, Maximilien Vox, Massin, Jacques Garamond. Réalisation : Marcel Jacno ; N° 7, printemps 1976 : Bertrand Halff, Evelyn Ortlieb, Werner Lambersy, Francine Van Hove, Salbris, Pierre Maillard, Roger Cornaille, Simone Le Bret, Jean-Paul Hameury, Georgette Simon, Paolo Pozzo, Marfaing, Garicia Mulet, Béatrix Balteg, Marie-Noëlle de Torhout, Françoise Mairey, Osolin, Pierre Daboval, Jacques Lepage, Danièle Lazarevsky : N° 8, été 1976 : Sumer. Choix de textes et traductions : Jean-Marie Durand. François Sagnes, Photographies ; N° 9, automne 1976 : Marc Soriano, Bestiaire. Danièle Lazarevsky, Photographies ; N° 10, hiver 1976-1977 :Agnès Vannier, L’écharpe rouge et les chiens bleus ; N° 11-12, printemps-été 1977 : Manifesti. Affiches italiennes. Les élections de juin 1976. Marcel Jacno, Paul-Michel Villa, Enrico Fulchignoni, Boni de Torhout. Paul-Michel Villa, Photographies ; N° 13, automne 1977: Assemblages. Pietro Vanni, Liliane Giraudon, Agathe Eristov Gengis Khan, Alexandre Chem, Françoise Rando, Anne-Marie Christin, Pierre Cordier, Philippe Clerc, André Stas, Françoise Mairey, Lariega, Marcel Bénabou, Paul Fournel, Harry Mathews, Marie-Nöelle de Torhout, Daniel Giffar ; N° 14, hiver 18977-1978: Victor Segalen. Claudine Bouretz, Eliane Formentelli, Photographies et montage ; N° 15-16, printemps-été 1978 : Raymond Gid. Rencontres d’art-thérapie. Avec linogravure et dessin en milieu psychiatrique, présentation et réalisation de Raymond Gid ; N° 17, automne 1978 : Toughra. Paraphes des souverains ottomans. Réalisation Jacqueline ; N° 18, hiver 1978-1979 : Philippe Clerc, Journal mai-décembre 77 ; N° 19, printemps 1979 : Tentativa de Vida y muerte de un espantapajaros [Vie et mort d’un épouvantail] Réalisation Antonio García-Múlet ; N° 20, été 1979 : Chiffres : Roger Excoffon, Jose Mendoza y Almeida, Adrian Frutiger, Jacques Garamond, Claude Mediavilla, Marcel Jacno, Jean Larcher. Réalisation Marcel Jacn ; N° 21, automne 1979 : Denise Borias, Poèmes. Réalisation Evelyn Ortlieb ; N° 22, hiver 1979-1980 : Marc Soriano, Le Doppelgänger. Nouvelle. Danièle Lazarevsky. Photographies. ; N° 23-24, printemps-été 1980 : Fragments d’une musique immédiate de la Modern Art Agency. Milada Cerny, Hermine Vogl-Sernheim, Emmy Stihl, Heidi Wenzel, Andréa Camenisch, Margrit Wyss, Rosalba di Lorenzo, Myriam Seele, Yolanda Myers, Roberto Altmann. Partitions mises en lumière par Brigitte Bürki à la demande de Anne-Marie Christin ; N° 25, automne 1980 : Philippe Treuschel, Écrits-Photos ; N° 26, hiver 1980-1981 : Calligraphie japonaise. Réalisation Elisabeth Frolet ; N° 27, printemps 1981 : Jean Laude, Le dernier mot. Poème. Mechtilt. Noirs ; N° 28-29, été-automne 1981 ; Daniel Giffard, Yves Mairot, Michel Arouimi, Evlyn Ortlieb, Philippe Treuschel, Anne-Marie Christin, Gabrielle di Falco, Antonio García-Múlet, Francine Van Hove, Lucette Pelillo, Hélène Garcia Léon, Georgette Simon, Anne Spiteri, Mechtilt, Jean Laude, Philippe Clerc, Bernard Dubourg, Danièle Lazarevsky, Jean-Pierre Jasz.‎

‎29 numéros (dont 4 doubles) en 24 vol. in-4 br. (thermocollés), Librairie Le Minotaure, 1974-1981. Détail des numéros : N° 1, novembre 1974 : Philippe Soupault, Angèle Vannier, Marcel Jacno, Evelyn Ortlieb, Daniel Grojnowski, Jean-Pierre Ghysels, Anne-Marie Christin, Jean-Pierre Jasz, Philippe Clerc, Jacqueline Sublet, Danièle Lazarevsky, Monique Boucher, Georges Couroupos, Marie-Noëlle de Torhout, Ernesto Lopez-Pino, Georgette Simon ; N° 2, hiver 1974-1975 : Elbio Mazet, Julio Moncada, Santenac, Christiane Raiga, Michel Chaudière, Léon Zack, Michel Auphan, André Vigneau, Michelle Thirion, Francine Van Hove, Louis Simon, Abdallah Benanteur, Danièle Lazarevsky, Jean-Marie Durand, Morio Taouroumi, Anne Spiteri, Georges Robert ; N° 3 : printemps 1975 : Dussaut, Jean B. Delahaye, Carlo Berte, Giuliano Modesti, Werner Lambersy, Danièle Lazarevsky, Monique Boucher, Enrique Chifflet, Georges Robert, Jeanne Bessière, Marie-Noëlle de Torhout, Ernesto Lopez-Pino, Marcel Jacno, Angèle Vannier, Georgette Simon, Anna Shanon ; N° 4, été 1975 : L'écriture et l’image dans le monde arabe. Par Jacqueline Sublet. Choix de textes et traduction : Georges Douillet. Calligraphies originales : Ghani Alani ; N° 5, automne 1975 : Les passages de Paris. Daniel Mauroc, Philippe Soupault, Jean-Vincent Verdonnet, Daniel Grojnowski, Geneviève Fourcade, Michelle Bloch, Denise Borias, Anne-Marie Christin, Gaëtan Picon. Danièle Lazarevsky, Photographies ; N° 6, hiver 1975-1976 : Typo-graphies. Guy Lévis-Mano, Adrian Frutiger, Michel Butor, Raymond Gid, René Lamoureux, Marcel Jacno, Jean Larcher, Pierre Duplan, Henri Pichette, Gérard Blanchard, Maximilien Vox, Massin, Jacques Garamond. Réalisation : Marcel Jacno ; N° 7, printemps 1976 : Bertrand Halff, Evelyn Ortlieb, Werner Lambersy, Francine Van Hove, Salbris, Pierre Maillard, Roger Cornaille, Simone Le Bret, Jean-Paul Hameury, Georgette Simon, Paolo Pozzo, Marfaing, Garicia Mulet, Béatrix Balteg, Marie-Noëlle de Torhout, Françoise Mairey, Osolin, Pierre Daboval, Jacques Lepage, Danièle Lazarevsky : N° 8, été 1976 : Sumer. Choix de textes et traductions : Jean-Marie Durand. François Sagnes, Photographies ; N° 9, automne 1976 : Marc Soriano, Bestiaire. Danièle Lazarevsky, Photographies ; N° 10, hiver 1976-1977 :Agnès Vannier, L’écharpe rouge et les chiens bleus ; N° 11-12, printemps-été 1977 : Manifesti. Affiches italiennes. Les élections de juin 1976. Marcel Jacno, Paul-Michel Villa, Enrico Fulchignoni, Boni de Torhout. Paul-Michel Villa, Photographies ; N° 13, automne 1977: Assemblages. Pietro Vanni, Liliane Giraudon, Agathe Eristov Gengis Khan, Alexandre Chem, Françoise Rando, Anne-Marie Christin, Pierre Cordier, Philippe Clerc, André Stas, Françoise Mairey, Lariega, Marcel Bénabou, Paul Fournel, Harry Mathews, Marie-Nöelle de Torhout, Daniel Giffar ; N° 14, hiver 18977-1978: Victor Segalen. Claudine Bouretz, Eliane Formentelli, Photographies et montage ; N° 15-16, printemps-été 1978 : Raymond Gid. Rencontres d’art-thérapie. Avec linogravure et dessin en milieu psychiatrique, présentation et réalisation de Raymond Gid ; N° 17, automne 1978 : Toughra. Paraphes des souverains ottomans. Réalisation Jacqueline ; N° 18, hiver 1978-1979 : Philippe Clerc, Journal mai-décembre 77 ; N° 19, printemps 1979 : Tentativa de Vida y muerte de un espantapajaros [Vie et mort d’un épouvantail] Réalisation Antonio García-Múlet ; N° 20, été 1979 : Chiffres : Roger Excoffon, Jose Mendoza y Almeida, Adrian Frutiger, Jacques Garamond, Claude Mediavilla, Marcel Jacno, Jean Larcher. Réalisation Marcel Jacn ; N° 21, automne 1979 : Denise Borias, Poèmes. Réalisation Evelyn Ortlieb ; N° 22, hiver 1979-1980 : Marc Soriano, Le Doppelgänger. Nouvelle. Danièle Lazarevsky. Photographies. ; N° 23-24, printemps-été 1980 : Fragments d’une musique immédiate de la Modern Art Agency. Milada Cerny, Hermine Vogl-Sernheim, Emmy Stihl, Heidi Wenzel, Andréa Camenisch, Margrit Wyss, Rosalba di Lorenzo, Myriam Seele, Yolanda Myers, Roberto Altmann. Partitions mises en lumière par Brigitte Bürki à la demande de Anne-Marie Christin ; N° 25, automne 1980 : Philippe Treuschel, Écrits-Photos ; N° 26, hiver 1980-1981 : Calligraphie japonaise. Réalisation Elisabeth Frolet ; N° 27, printemps 1981 : Jean Laude, Le dernier mot. Poème. Mechtilt. Noirs ; N° 28-29, été-automne 1981 ; Daniel Giffard, Yves Mairot, Michel Arouimi, Evlyn Ortlieb, Philippe Treuschel, Anne-Marie Christin, Gabrielle di Falco, Antonio García-Múlet, Francine Van Hove, Lucette Pelillo, Hélène Garcia Léon, Georgette Simon, Anne Spiteri, Mechtilt, Jean Laude, Philippe Clerc, Bernard Dubourg, Danièle Lazarevsky, Jean-Pierre Jasz.‎


‎Très rare série parfaitement complète des 29 numéros (dont 4 doubles) publiés. Créée par le professeur Anne-Marie Christin (1942-2014), normalienne et agrégée de lettres classiques, cette revue interroge en profondeur les relations entre l'image et l'écriture. Bon ensemble (accroc en couv. du numéro 1, bel état par ailleurs) pour cette série introuvable ainsi bien complète.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR1,550.00 (€1,550.00 )

‎Belloc Auguste (1805-1867).‎

Reference : SHL-28

‎Le "Derrière", Photographies obscènes pour stéréoscope. Rare exemplaire en bel état des vues stéréoscopiques pornographiques de A. Belloc saisies par la police en octobre 1860. ‎

‎Paris, Auguste Belloc, 1851 - 1860, Petites salissures sinon bel état, coloris attrayants, annotations manuscrites (références) au crayon et au stylo au dos. Avant 1860, épreuves originales d’époque sur papier albuminé, au format stéréoscopique, 7,6 x 8 cm, arrondies en haut, montées sur carton, 8,6 x 14,4 cm. Petites salissures sinon bel état, coloris attrayants, annotations manuscrites (références) au crayon et au stylo au dos. Joint : Aubenas Sylvie, Colmar Philippe. Obscénités. Photographies interdites d'Auguste Belloc. Paris, Albin Michel - BNF, 2001, in-12 carré, br. couv. ill., ill. ph. ‎

‎La photographie de nu apparaît avec la photographie. Son commerce, d'abord limité par le coût de l'image daguerrienne, s'émancipe des blocages économiques et moraux à la faveur des percées techniques du procédé photographique et du développement de Paris, centre du monde des plaisirs, sous le Second-Empire. En 1851, la mise au point du procédé stéréoscopique qui rend la perception du relief au moyen d'une visionneuse, trouve une application pratique singulière : partout dans Paris, la photographie obscène s'étale en stéréoscopie : "La vision en relief accentuait le réalisme de la photographie, et le petit format des clichés réduisait le temps de pose...Cette branche particulière de l'industrie photographique devint si prospère qu'on en fit le symbole de la dégénérescence des moeurs..." Les procès verbaux des saisies policières pour les années 1860 nous renseigne sur le mode de fonctionnement de ce commerce "Le photographe emploie des modèles des deux sexes recrutés, pour les femmes, parmi les prostituées ou les petits métiers traditionnellement liés à la prostitution occasionnelle...et pour les hommes parmi une population plus variée....de l'amant du modèle...jusqu'au militaire ou, le plus souvent, les employés de l'atelier...Les photographies sont ensuite confiées aux coloristes, en grande majorité des femmes, employées à l'atelier ou en chambre, pour une mise en couleurs à l'aquarelle transparente. Puis elles sont revendues en librairies ou chez les marchands de gravure, dans les maisons closes ou à la sauvette sur les Grands Boulevards. Du photographe au revendeur, tous sont passibles d'amendes et de peines de prison. Des stocks saisis, on relève surtout "un florilège de vues dont l'esthétique se ressent beaucoup du mode de production : modèles maladroits et désabusés, poses attendues, décors sordides, lits défoncés...c'est un euphémisme de dire que peu de chefs-d'oeuvre sortirent de ces officines, Il est néanmoins un cas à part...parce qu'il réconcilie, si fugitivement que ce soit, l'art et la vue stéréoscopique pornographique. Il s'agit du photographe Auguste Belloc." Photographe professionnel dès 1845, connu honorablement, membre fondateur de la Société française de photographie, auteur de manuels techniques,"loué par la critique à l'occasion des expositions nombreuses auxquelles il participe entre 1851 et 1858, A. Belloc a eu une seconde vie...une activité parallèle que révéla la perquisition de police dans son atelier de la rue de Lancry en octobre 1860 et la saisie extraordinaire des photographies qui s'y trouvaient : 19 photographies obscènes "entre les mains de la femme Ducellier...qu'elle coloriait" ; deux coffres-forts, un secrétaire et un cabinet noir de 1200 photographies obscènes, cartonnier d'un certain nombre de boites sous forme de volumes portant pour légende Oeuvres complètes de Buffon qui renfermaient un certain nombre de photographies ; 3000 photographies obscènes sur papier, 307 clichés ayant servi à la fabrication des photographies susmentionnées ; trois cuvettes en gutta-percha renfermant un certain nombre d'épreuves en voie de fabrication ; quatre albums renfermant un certain nombre de photographies représentant des femmes nues ; 102 photographies sur papier (grand modèle) représentant des femmes nues dans des attitudes licencieuses...", cette oeuvre parallèle fut, bien évidemment, à la différence des travaux officiels ou de ses nus académiques, anonyme. Six ans plus tard, le lot saisi est déposé à la bibliothèque impériale, réduit à 195 clichés, le reste sans doute détruit, ou distribué dans les bureaux de la préfecture, il en est ainsi pour la majorité de la production de cette industrie si particulière. Aujourd'hui, dans l'enfer du département des Estampes et de la Photographie de la Bibliothèque Nationale de France, est conservée, dans les fausses reliures de Buffon, une très belle série de 26 vues stéréoscopiques obscènes de Belloc à laquelle se rattache cette épreuve "mettant en scène sur le "thème du retroussé", une femme seule, entièrement vêtue, montrant sans dissimulation aucune, au milieu des remous du tissu, du fouillis des soies, le sexe comme une fleur pourpre"‎


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