‎JEAN PAUL SARTRE‎
‎LE MUR‎

‎Le Mur. (ENVOI)‎

‎ In-12 (185 x 118 mm), demi-maroquin vert bronze de l'époque à grands coins, dos janséniste à 5 nerfs, titre doré, date dorée en pied, tête dorée, couvertures et dos conservés (reliure signée Semet et Plumelle), 220 et (4) p. Paris, Gallimard, 1939.‎

‎Edition originale avec l'achevé d'imprimer (F. Chantenay) du 26 janvier 1939 et la dédicace à Olga Kosakiewicz,Un des exemplaires de service de presse marqués "S.P." réservés à lauteur, enrichi d'un envoi autographe signé de l'auteur à "Monsieur J.H. Rosny Jeune en hommage de J.P. Sartre".Personnalité littéraire de la période, J.-H. Rosny jeune (pseudonyme de Séraphin Justin François Boex, 1859-1948) avait été nommé par Edmond de Goncourt dès 1903 au jury du premier Prix Goncourt, puis devint président de l'Académie.La critique sartrienne a relevé l'utilisation que fait Jean-Paul Sartre dans plusieurs de ses romans (dont 'La Nausée' ou ici 'Le Mur') du style de la littérature fantastique, pris en particulier chez les frères Rosny dont il fut, dans sa jeunesse, un fidèle lecteur, afin de révéler l'absurdité d'un monde privé de toute transcendance.Unique recueil de nouvelles composé par Sartre et publié quelques mois après La Nausée, l'ouvrage fut très bien accueilli par la critique, dont Albert Camus qui en fit l'éloge.Bel exemplaire, bien conservé, très bien relié par Semet et Plumelle. ‎

‎Berlin, la nuit du mur. 13 août 1961.‎

‎ Laffont, 1968, gr. in-8°, 251 pp, traduit de l'allemand, 16 pl. de photos hors texte, broché, couv. illustrée à rabats, bon état (Coll. Ce jour-là)‎

‎Eté 1961. Il est 1 heure du matin, Berlin dort sous le quadruple contrôle des Alliés ; le temps entame mécaniquement la journée du 13 août : un dimanche. Calme total dans la ville – sauf une agitation dans le secteur d'occupation russe... bruit de pas cadencés, moteurs de camions. Et bientôt, des postes de police qui jalonnent la frontière de ce secteur, du côté des Occidentaux, les informations fragmentaires affluent, s'additionnent : il se passe quelque chose, des troupes sont en marche, des ouvriers plantent des poteaux, on déploie des rouleaux de barbelés, les rames de métro ne partent plus des stations en territoire de la R.D.A., la République démocratique d'obédience soviétique. Dans les premières heures du petit matin, l'affolement, l'inquiétude s'installent, remontant les échelons de la hiérarchie. Partout, dans les demeures endormies des hauts fonctionnaires, puis des ministres, le téléphone sonne. On réveille Adenauer, les ambassadeurs, les commandants de secteur américain, britannique, français. Dans tous les esprits, le souvenir des semaines chaudes de la guerre froide qui virent le blocus de Berlin par les Russes, il n'y a pas si longtemps, se réveille en sursaut. Les Russes préparent-ils un autre coup ?... D'heure en heure, de quart d'heure en quart d'heure parfois, c'est tout le drame de cette nuit au bout de laquelle l'aube se leva sur une ville brusquement coupée en deux et sur l'amorce de ce que, du côté occidental, on devait appeler "le mur de la honte", que l'on revit dans ce livre. Pourquoi le mur ? Parce que la R.D.A. ne pouvait assister, éternellement impuissante, à l'hémorragie grandissante de sa main-d'œuvre, avec ceux qui passaient à l'Ouest, du côté de la liberté. Pourquoi "mur de la honte" ? Parce que, derrière ses barbelés, puis ses maçonneries qui les renforceront, Berlin-Est va désormais faire figure de prison, et que, pour s'évader de la prison, des hommes, des femmes, tenteront l'impossible, que certaines de ces évasions se termineront sur le tragique spectacle d'êtres humains saignant à mort au pied du mur, sans que l'on fasse un geste, de part et d'autre, pour secourir leur agonie. Dans quelle mesure, alors, une part de "la honte" retombe-t-elle sur les Occidentaux eux-mêmes ?... Poignant, souvent impitoyable par la force des faits et des hommes, parfois tragiquement bouffon par l'absurdité des choses, “Berlin, la nuit du mur” entraîne le lecteur aussi bien dans la rue berlinoise que dans les ténèbres dangereuses des tunnels creusés sous le mur et que dans le secret des chancelleries, des Q.G.. du bureau de John Kennedy. Jusqu'ici le sujet du Mur n'avait été qu'esquissé. Voici un livre définitif. ‎

‎Le livre du mur peint - Art et technique (3eme édition, 1987)‎

‎Editions Syros Alternatives Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1987 Book condition, Etat : Bon relié, sous jaquette imprimée éditeur noir, illustrée de 7 photographies en couleurs In-4 1 vol. - 166 pages‎

‎très nombreuses illustrations en couleurs et en noir et blanc, principalement des photographies en couleurs 3eme édition, 1987 Contents, Chapitres : Avant-propos de Jean-Louis Berthet, préfaces de Nicole Chouraqui et de Jacques Dauphin - 1. Le mur peint, art de la rue : Le mur peint, art urbain - Le mur peint, art public - 2. Le mur peint en France : Un phénomène spécifique - Des antécédents - Quelques repères chronologiques - Les grands jalons - Vers le mur peint publicitaire - 3. Techniques du mur peint : Le chantier d'entreprise - Le chantier de non-professionnel - La maquette - Les techniques d'agrandissement - L'échafaudage - La préparation du support - Le choix du système de peinture - Le budget - Autorisations à obtenir - Un cas concret de réalisations : Les ball penn - Annexes : Glossaire des termes techniques - Adresses utiles - Ecoles d'art en France - Bibliographie jaquette à peine empoussiérée, sinon en bon état, intérieur frais et propre, cela reste un bon exemplaire, presque très bon‎

‎Sur un aveugle mur blanc et autres textes. Lettres à Tzara , Picabia et Van Essche.‎

‎ Bruxelles, Transédition, 1972, petit in-8°, 17 x 12 cm, 95 pp, index, broché, couverture imprimée, tiré à 1000 exemplaires.‎

‎Le mur sans porte .‎

‎2. Liège, Thone, 1929, in-8°, 23 x 16 cm, 92 pp, broché, couverture originale (un peu pouss.) . Tiré à 200 exemplaires numm. Avec une dédicace manuscrite de l'auteur à Marie Gevers.‎