P., Fayard, 1929, in 12 broché, 394pp. ; non coupé ; couverture légèrement fanée.
Reference : 31714
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Victor Havard, Editeur à Paris Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1893 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur grise, titre en rouge et noir illustrée d'une vignette In-8 1 vol. - 369 pages
1 planche en frontispice, portrait photographique de Napoléon III dans son cabinet des Tuileries (complet) 5eme édition, 1893 Contents, Chapitres : Au lecteur, ii, texte, 367 pages - L'homme intime - L'homme politique - Le prince Napoléon - Ombres tragiques - L'empereur et les salons - Eugène Rouher - Emile Ollivier - Apothéose - Le drame (mort tragique de Maximilien, empereur du Mexique) - La déclaration de guerre - Sedan - La fin d'un règne - Pierre de Lano, 1859-1904 est un écrivain français - Charles-Louis-Napoléon Bonaparte, dit Louis-Napoléon Bonaparte, né le 20 avril 1808 à Paris et mort le 9 janvier 1873 à Chislehurst (Royaume-Uni), est un monarque et un homme d'État français. Il est à la fois l'unique président de la Deuxième République, le premier chef d'État français élu au suffrage universel masculin, le 10 décembre 1848, le premier président de la République française, et après la proclamation de l'Empire le 2 décembre 1852, le dernier monarque du pays sous le nom de Napoléon III, empereur des Français. - Troisième fils de Louis Napoléon Bonaparte dit Louis Bonaparte, roi de Hollande, et d'Hortense de Beauharnais, il naît prince français et prince de Hollande : neveu de l'Empereur Napoléon Ier, il est à la fois neveu et petit-fils de l'impératrice Joséphine de Beauharnais (sa grand-mère maternelle). Exilé après la chute de l'Empire, conspirateur avec son frère aîné pour l'unité italienne, il devient héritier présomptif du trône impérial après les morts successives de son frère aîné Napoléon-Louis en 1831, et de son cousin le duc de Reichstadt (Napoléon II, roi de Rome) en 1832. Ses premières tentatives de coup d'État, mal préparées (Strasbourg en 1836, Boulogne-sur-Mer en 1840), échouent. Il est condamné à l'emprisonnement au fort de Ham. Mais il profite des suites de la révolution française de 1848 pour se faire élire représentant du peuple puis président de la République. Son coup d'État du 2 décembre 1851 met fin à la Deuxième République, et lui permet l'année suivante de restaurer l'Empire à son profit. Face à l'opposition des républicains, des libéraux de Adolphe Thiers, de certains monarchistes et des catholiques (après l'unité italienne), il donne à son pouvoir un « Empire autoritaire » qui s'atténue après 1859 pour laisser place, progressivement, à un « Empire libéral ». La philosophie politique qu'il met en place, et qu'il présente dans ses Idées napoléoniennes et dans De l'extinction du paupérisme (1844), est une synthèse d'un bonapartisme mêlé à du romantisme, du libéralisme autoritaire, et du socialisme utopique. Le règne de cet admirateur de la modernité britannique est marqué par un développement industriel, économique et financier sensible, porté par une forte croissance mondiale qu'illustre la transformation de Paris sous l'autorité du préfet Georges Eugène Haussmann. Sa politique extérieure vise à restaurer la puissance française en Europe et dans le monde. Il rompt l'isolement diplomatique voulu au congrès de Vienne par trois puissances de la Sainte-Alliance, son entente avec la Grande-Bretagne lors de la guerre de Crimée contre la Russie, son soutien aux mouvements nationaux en particulier lors de l'unité italienne contre l'Empire d'Autriche, et ses diverses opérations outre-mer parfois en coalition avec la Grande-Bretagne permettent l'agrandissement du territoire (Nice, Savoie) ainsi qu'une expansion coloniale et commerciale. Elle provoque cependant l'hostilité du royaume de Prusse et subit un échec au Mexique. Les tensions avec la Prusse aboutissent au piège de la dépêche d'Ems et à la guerre franco-allemande de 1870, qui scelle la fin du Second Empire. Le 2 septembre 1870, Napoléon III est capturé lors de la bataille de Sedan. Le 4 septembre 1870, la Troisième République est proclamée. Napoléon III part en exil en Angleterre, où il meurt en janvier 1873. (source : Wikipedia) couverture propre, à peine brunie sur les bords et les dos avec quelques rousseurs, une infime déchirure sans manque sur le haut du mors du plat supérieur, intérieur sinon propre, papier à peine jauni avec quelques rousseurs, cela reste un bon exemplaire de la 5eme édition de 1893
TOUCHATOUT. 2 Vols Histoire de France Tintamarresque, depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours. Illustré par G. Lafosse avec le concours de Dranier, Gill, Hadol, LE Petit, Robida, etc.. 792pp. Très bel état intérieur. Nombreuses gravures noir & blanc, couleurs. Paris, Bureaux du Journal l'Eclipse, 1872 Histoire Tintamarresque de Napoléon III illustré de Nombreux dessins noirs et coloriés. 2eme partie. 800pp, bel état intérieur. Paris, Bureaux du Journal l'Eclipse, 1872. volume in4, 260x180, reliés demi cuir, frottements, bel état. Touchatout était un petit village paisible de la France rurale, jusqu'à ce qu'un jour, un étrange personnage arrive en ville. Il s'appelait Napoléon III, et il avait un plan ambitieux pour moderniser la France et la rendre plus puissante que jamais. Les habitants de Touchatout étaient sceptiques, mais Napoléon III avait un charisme incroyable et il a rapidement gagné leur confiance. Il a commencé à mettre en place des réformes économiques et sociales, construisant des chemins de fer, des canaux et des routes pour faciliter le commerce et les déplacements. Mais alors que Touchatout commençait à prospérer, les choses ont commencé à se compliquer. Napoléon III a commencé à se montrer de plus en plus autoritaire, réprimant les manifestations et les mouvements politiques qui s'opposaient à lui. Les habitants de Touchatout ont commencé à se sentir étouffés, et certains ont commencé à se rebeller contre le régime de Napoléon III. Les tensions ont atteint leur paroxysme lorsque les troupes de Napoléon III ont envahi Touchatout pour réprimer une manifestation pacifique. Les habitants de Touchatout ont alors décidé de se battre pour leur liberté. Ils ont organisé des barricades dans les rues et ont repoussé les troupes de Napoléon III avec des pierres et des bâtons. Finalement, Napoléon III a été renversé et exilé, et Touchatout est devenu un symbole de la lutte pour la liberté et la démocratie en France. Aujourd'hui, les habitants de Touchatout se souviennent avec fierté de leur rôle dans l'histoire de la France, et de leur courage face à l'oppression.
Georges Ville (1824-1897), chimiste, agronome ; Louis-Napoléon Bonaparte, Napoléon III (1808-1873), président de la république puis empereur.
Reference : 013197
Georges Ville (1824-1897), chimiste, agronome ; Louis-Napoléon Bonaparte, Napoléon III (1808-1873), président de la république puis empereur. Environ 30 autographes, 1854 à 1869, plus de 40p in-8 et in-4. Important ensemble de brouillons ou copies calligraphiées de lettres de Georges Ville à Napoléon III (et à Joséphine pour quelques unes), en partie autographes, souvent signés ainsi que dix lettres reçues par Georges Villes écrites par des proches de Napoléon III et de l'impératrice Joséphine. Les lettres reçues sont de Lacaley, sous-secrétaire du cabinet de Napoléon III (2), Nogent-Saint-Laurens (1), Charles Conti, secrétaire de Napoléon III (1), le duc de Bassano (2), Jean-Baptiste Franceschini Pietri (2) et 2 divers. Très bel ensemble à étudier autour des travaux de Georges Ville. Toutes les scans sont disponibles sur simple demande. [307-2]
13,2 x 20,6 Paris 1863 1. "Tarbes, le 28 septembre 1863. Mon cher voisin, Rien ne me serait plus agréable que de recevoir votre bonne visite et si vous voulez me la faire, j'espère que vous me donnerez un peu plus de temps et que vous passerez au moins une nuit chez moi. Recevez, mon cher député et ami, l'assurance de mes sentiments bien dévoués. Achille Fould." 2. En-tête du Ministère des finances - Cabinet du Ministre. "Paris le 5 novembre 1864. Mon cher député, Je suis heureux d'être auprès de vous l'interprète des sentiments de l'Empereur. Sa Majesté en témoignage de sa haute satisfaction de la manière dont vous avez accompli votre mission au Mexique vous a élevé au grade de commandeur de la légion d'honneur. Mon collège le Ministre d'Etat doit présenter à la signature de l'Empereur le décret qui vous confère cette distinction. Je ne puis rien ajouter en mon nom après cet acte souverain, mais j'ai grand plaisir à me dire que je conserverai toujours une profonde impression des services que vous avez rendus. J'aime à croire que vous en rendrez encore dans un pays où vous avez su conquérir la confiance du souverain et l'estime de tout le monde. Recevez mon cher député l'assurance de ma sincère amitié. Achille Fould. A Monsieur Corta, membre du Corps législatif." 3. "Trouville le 1er août 1865." - "Mon cher Collègue, C'est avec un grand plaisir que je commence ainsi ma lettre. Vous connaissez mes sentiments et je n'ai pas besoin de vous dire combien j'ai été heureux de lire le décret qui vous appelle au Sénat. ..tous les jours le Moniteur avec une certaine impatience. Enfin la chose est faite et j'espère que l'élection ne rencontrera pas de difficultés. Après avoir passé quelques jours à Vichy, je suis venu retrouver Mme Fould et je la quitte demain. Je retournerai à Paris où je pense rester jusqu'au 10 et me dirigerai vers les Pyrénées. Mr. de Germiny a préparé la convention du premier emprunt mexicain et doit m'en parler à mon passage à Paris. Je verrai aussi à cette occasion M. Langlois qui ne part que le 15 sept. pour Mexico et qui se propose d'aller causer avec vous chez moi. Il s'initie en attendant à la situation et a pu l'étudier sur les documents du Ministère des affaires étrangères et sur les nôtres. Recevez encore une fois, mon cher Collègue, mes félicitations, et croyez à ma sincère amitié. Achille Fould. Ecrivez-moi quelques lignes à Paris et dites-moi quelles nouvelles vous avez eu du Mexique par le dernier paquebot, celles que j'ai reçues ne sont pas défavorables mais je trouve qu'elles laissent beaucoup à désirer. M. Bonnefonds était mieux. Il a dû embarquer le 15 juillet." 4. En-tête du Ministère des finances - Cabinet du Ministre. "Paris le 29 décembre 1865. Monsieur Corta, Sénateur. Mon cher Collègue et ami. Je suis très touché de ce que vous me dites d'aimable et d'encourageant à l'occasion de mon dernier rapport à l'Empereur. Vous savez tout le prix que j'attache à votre opinion et à votre jugement. Je n'ai donc pu qu'être infiniment sensible à l'approbation si complète que vous voulez bien donner à mes idées. Recevez en tous mes remerciements. On parle du 22 janvier comme devant être l'époque fixée pour l'ouverture de la session. Croyez mon cher Collègue et ami, à mes sentiments bien dévoués. Achille Fould." 5. "Paris, le 19 janvier 1866. Mon cher Collègue. Si vous avez un moment ce matin, vous seriez bien aimable de venir me voir avant une heure. Mille et mille bonnes amitiés. Achille Fould." 6. Aux Eaux bonnes, le 25 août 1866. Mon cher collège et ami. J'ai reçu votre bonne lettre au moment où j'allais partir pour les Eaux bonnes. Elle m'a vivement intéressé. J'espère que les dispositions dans lesquelles j'ai laissé l'Empereur ne se sont pas modifiées et que l'Impératrice Charlotte aura apprécié les sages conseils que vous lui avez donnés. J'ai ...à M. le cte de Germiny au sujet de la réclamation des diplomates mexicains et je crois qu'il y fera droit au moins en partie. Le désir de profiter de mon congé que je crains de ne pouvoir prolonger autant que je le voudrais me décide de ne pas retourner à Tarbes pour la réunion du Conseil Général. Votre collègue Lacaze voudra bien me remplacer. J'espère que ce changement dans mes projets ne me privera pas de votre visite à Tarbes, où je serai le 10 ou 11 septembre pour quelques jours. Je n'ose vous demander de pousser jusqu'ici, enfin de quelques façons que ce soit, je serai charmé de vous voir. Ma santé commence à se bien ...du calme et du bon air. Tout à vous...Achille Fould." 7. Paris, le 25 septembre 1866. Mon cher Collègue et ami. J'ai reçu vos deux lettres du 23 et du 24 avec les correspondances de Mexico que vous avez bien voulu me communiquer. Je n'ai pas manqué de lire ces correspondances avec bien de l'intérêt quoiqu'elles n'aient pu nous apprendre rien de nouveau sur la crise dont tout le monde s'entretient en ce moment. En effet vos lettres comme celles que nous avons reçues nous mêmes sont datées des 15 au 20 octobre et les nouvelles venues par les Etats-Unis sont des premiers jours de novembre. Nous ne pourrons donc savoir à quoi nous en tenir positivement sur le contenu de ces dépêches que vers la fin du mois. Il est bien probable cependant, comme tout le laissait pressentir, qu'elles se confirmeront et que l'on est arrivé à la crise qui doit mettre un terme à cette malheureuse affaire du Mexique. Aussitôt que j'aurais appris quelque chose de positif je m'empresserai de vous en informer. Je prends bien part à vos inquiétude pour M. votre fils, mais j'espère que vous ne tarderez pas à le revoir. Quant aux bruits d'emprunt que l'on a fait courir, il y a quelques temps et qui, vous l'avez vu, n'avaient aucun fondement, je vous remercie de ce que vous voulez bien me dire d'aimable à ce sujet. Aujourd'hui, grâce à Dieu, il n'est plus question de cela et tout le monde, je crois, est d'accord sur le système financier à.suivre. Il est certain que l'état satisfaisant des revenus permettra de suffire à toutes les exigences de la situation. Je m'occupe activement en ce moment de la préparation du budget et du rapport que j'ai l'habitude d'adresser tous les ans à l'Empereur sur les Finances. En attendant le plaisir de vous revoir, je vous renouvelle mon cher Collègue et ami, l'assurance de mes sentiments bien dévoués. Achille Fould." 8. "Paris, le 24 décembre 1866. Mon cher Collègue et ami, Je vous remercie de ce que vous voulez bien me dire ua sujet de mon rapport. Je suis d'autant plus satisfait de la manière dont vous l'appréciez que j'attache, vous le savez, beaucoup d'importance à votre opinion. Je vous remercie aussi de l'empressement que vous avez mis à me faire part du mariage de Melle votre fille. Je n'ai pas besoin de vous exprimer tous les voeux que je forme pour son bonheur et le vôtre par conséquent. Il me semble d'ailleurs, d'après de ce vous me dites de votre futur gendre que ce mariage présente toute garantie de convenance et de position. Veuillez donc recevoir, mon cher ami, et faire agréer à Mme Corta mes sincères félicitations. Je crois qu'il sera très à propos que vous écriviez à S.M. l'Impératrice à cette occasion. Les dernières nouvelles que nous avons reçues du Mexique sont bien peu satisfaisantes. L'Empereur Maximilien était toujours dans la même indécision et je crains bien que ces hésitations n'aient pour effet de compliquer la crise. Je ne sais rien encore au sujet de la Convocation des Chambres, mais l'époque de leur réunion ne peut pas être bien éloignée et je me réjouirai de vous revoir. Croyez, mon cher Collège et ami, à mes sentiments bien dévoués. Achille Fould. Je ne crois pas que le Corps législatif et le Sénat soient convoqués avant un mois. Rien n'est fixé à cet égard." 9. [Courrier non daté] "Mercredi matin 12 avril. Mon cher Monsieur Corta, Je ne puis assez vous dire assez combien j'ai été satisfait de votre discours si complet, si lucide, si plein de bons arguments. Je suis sûr qu'il exercera une influence très utile et très opportune sur la cause à laquelle vous avez déjà rendu de si éminents services. Votre bien dévoué, Achille Fould." 10. [Courrier non daté] "Samedi 20 mai. Mon cher Monsieur Corta. J'ai trouvé hier en rentrant la lettre de M. G... que vous m'avez laissée. Si vous voulez en causer, vous me trouverez aujourd'hui à une heure. En attendant le plaisir ici de vous voir, je vous offre l'assurance de ma bien sincère amitié. Achille Fould." Elu conseiller général de Tarbes, puis député des Hautes-Pyrénées sous la Monarchie de Juillet, Achille Fould en tant que Ministre des Finances de Napoléon III de 1861 à 1863, est au centre du pouvoir impérial. Aux Finances, Fould a été le défenseur de l'orthodoxie budgétaire, qu'il prône dans chacun de ses rapports annuels à l'Empereur, d'où sa prudence à l'égard de l'expédition du Mexique (1861-1867). Charles Corta (1805-1870) était un député landais bonapartiste, proche de Napoléon III. Membre de la commission du Budget au Corps législatif, il avait été envoyé en 1864, dans le cadre de l'expédition du Mexique, en mission à Mexico comme expert financier, afin de contribuer à l'organisation du gouvernement mexicain et au développement de la présence française. Il revint en France en septembre 1864 et participa en novembre 1864 à Compiègne à une conférence sur la délicate situation mexicaine qui réunissait Napoléon III, le roi des Belges et Achille Fould. il est nommé officier puis commandeur de la Légion d'honneur. En 1865, en récompense de ses services, il est élevé au rang de sénateur. Cette série de lettres montrent la proximité des deux hommes et laisse transparaitre la montée des périls, militaires et financiers, à Mexico. L'Empereur Maximilien fut fait prisonnier à Queretaro et exécuté en juin 1867. Très bon état. PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST