1912 Lyon et P., Vitte, 1912, in 8° broché, 355 pages ; quelques piqûres.
Reference : 11495
...................... Photos sur demande ..........................
Librairie ancienne le Bouquiniste Cumer-Fantin
M. Jean Paul Cumer-Fantin
34 rue Michelet
42000 Saint-Etienne
France
04 77 32 63 69
P., Ollendorff, 1888, in-12, x-338 pp, 9e édition, 9 gravures hors texte, reliure percaline noire, dos lisse avec titres dorés (rel. de l'époque), bon état, ex-libris Marcel Dunan (Parois, 518)
"On sait quel chercheur infatigable est le Comte d'Hérisson. Après avoir successivement étudié la chute du second empire dans le « Journal d'un officier d'ordonnance », la campagne de Chine dans le « Journal d'un interprète », la police de la Restauration dans le « Cabinet noir » et le procès de Trianon dans la « Légende de Metz », l'éminent historien aborde aujourd'hui cette période de notre histoire qui est toujours d’une si poignante actualité : La Révolution Française. Dans « Autour d'une Révolution », le comte d'Hérisson publie, avec cette impartialité qui donne à ses œuvres une valeur toute exceptionnelle, une série de documents sur les grands hommes de 89. Les révélations les plus inattendues sont données tant sur les gros bonnets du parti républicain que sur les têtes couronnées : Danton, Robespierre et Mirabeau, le due d’Orléans, Louis XVIII (alors comte de Provence) et Louis XVI lui même, sont tour à tour mis en scène et jugés avec une sûreté de touche dont on peut d'autant mieux faire l'éloge que c'est aux prédictions presque divinatoires de Mallet du Pan que le Comte d’Hérisson a emprunté les plus terribles de ses documents. « Il n’y aurait qu'à recueillir ses articles et ses brochures pour avoir une histoire complète de la Révolution » a dit M. Taine en parlant de Mallet du Pan. Le tour attrayant que le comte d'Hérisson a donné à ces documents, en les réunissant dans son livre, est un charme de plus pour le lecteur, car on trouve dans « Autour d'une Révolution » des renseignements qui, pour être présentés sous une forme séduisante, n'en sont pas moins d’une importance considérable pour l'établissement défìnitif de la vérité historique." (La Cultura, 1889)
P., Ollendorff, 1888, in-12, x-338 pp, 9 gravures hors texte, reliure demi-chagrin vert, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres et fleurons dorés, encadrements à froid sur les plats (rel. de l'époque), dos uniformément passé, bon état (Parois, 518)
"On sait quel chercheur infatigable est le Comte d'Hérisson. Après avoir successivement étudié la chute du second empire dans le « Journal d'un officier d'ordonnance », la campagne de Chine dans le « Journal d'un interprète », la police de la Restauration dans le « Cabinet noir » et le procès de Trianon dans la « Légende de Metz », l'éminent historien aborde aujourd'hui cette période de notre histoire qui est toujours d’une si poignante actualité : La Révolution Française. Dans « Autour d'une Révolution », le comte d'Hérisson publie, avec cette impartialité qui donne à ses œuvres une valeur toute exceptionnelle, une série de documents sur les grands hommes de 89. Les révélations les plus inattendues sont données tant sur les gros bonnets du parti républicain que sur les têtes couronnées : Danton, Robespierre et Mirabeau, le due d’Orléans, Louis XVIII (alors comte de Provence) et Louis XVI lui même, sont tour à tour mis en scène et jugés avec une sûreté de touche dont on peut d'autant mieux faire l'éloge que c'est aux prédictions presque divinatoires de Mallet du Pan que le Comte d’Hérisson a emprunté les plus terribles de ses documents. « Il n’y aurait qu'à recueillir ses articles et ses brochures pour avoir une histoire complète de la Révolution » a dit M. Taine en parlant de Mallet du Pan. Le tour attrayant que le comte d'Hérisson a donné à ces documents, en les réunissant dans son livre, est un charme de plus pour le lecteur, car on trouve dans « Autour d'une Révolution » des renseignements qui, pour être présentés sous une forme séduisante, n'en sont pas moins d’une importance considérable pour l'établissement défìnitif de la vérité historique." (La Cultura, 1889)
Paul ollendorff 1888 in12. 1888. Relié. 2 volume(s).
Bon Etat de conservation bonne tenue des reliures intérieurs globalement propres
Étienne Corot, envoi autographe signé à la comédienne Berthe Cerny, sur un feuillet volant provenant d'un exemplaire de son livre La Ville en sang / Autour de la Révolution Russe paru chez Fasquelle en 1913. Provenance : Fonds d'autographes de la comédienne Berthe Cerny (1868-1940) "A Mademoiselle Berthe Cerny / en souvenir de la première / branche de laurier cueillie par / François, ce 23 octobre 1915" François Johnston (1898-1936) est le second fils de Berthe Cerny. Il faisait ses armes au lycée Louis-le-Grand pour préparer l'Ecole des Mines lorsque la guerre vint l'arracher à ses études. Brillant officier, il rapporta la Croix de Guerre, entra à l'Ecole des Mines et fit une courte carrière en tant qu'ingénieur des Mines avant d'être emporté par la maladie en 1936, laissant sa mère dans un grand désespoir. Tous les envois autographes signés à Berthe Cerny ou Aristide Briand provenant du fonds de la comédienne ont malheureusement été détachés des livres. * ** Hélène-Lucie de Choudens, dite Berthe Cerny, a fait ses premières armes auprès de Gustave-Hippolyte Worms au Conservatoire dont elle sort en 1885 avec un premier prix de Comédie. Engagée à l'Odéon, puis au Vaudeville, puis sur d'autres scènes, elle fait pendant vingt ans une brillante carrière sur les boulevards et se fait remarquer dans les pièces de Paul Hervieu, Marcel Prévost, Georges de Porto-Riche. Elle entre à la Comédie-Française en 1906, demandée par Maurice Donnay dont elle crée Paraître. Elle s'impose dans le répertoire classique en interprétant Célimène, Suzanne, Alcmène, mais aussi dans La Parisienne de Becque et atteint l'apogée de son succès avec son interprétation d'Araminte des Fausses confidences de Marivaux. Dans la comédie moderne, elle incarne à merveille les héroïnes passionnées d'Henri Bataille (parmi lesquelles la baronne Irène dans Maman Colibri), de Paul Géraldy, François de Curel, etc. Elle se retire, en 1930, et est aussitôt nommée sociétaire honoraire. Elle a été la compagne de Raoul William Johnston, Aristide Briand et Paul Reynaud.
AU BUREAU DU JOURNAL. 15 JUILLET 1923. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 129 à 256.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Charles MAURRAS. Devant Vart des Poètes. Jacques BOULENGER. La Mort d’Artus. I. Louis RIBALLIER. Une Famille française autour de la Révolution.Camille BELLAIGUE. . A travers le répertoire lyrique. XIII : Les Noces de Figaro. Eugène CAVAIGNAC. . Le Silène de Neapolis. I (roman).LES IDÉES & LES FAITSLA VIE A L’ÉTRANGER. — René Johannet : Peut-on « sauver » l'Allemagne? LES LETTRES. — Henri Gouhier : A propos de Pascal; le Jansénisme a-t-il existé?.L’HISTOIRE. — Pierre Gaxotte : Les Mongols.CHRONIQUE DE LA QUINZAINE. — *** : M. de Freycinet. — Lucien Dubech : Lan Phaedre » de Gabriele d’Annunzio. — Les Faits de la Quinzaine. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues