Pierre Belfond, 1977. In-8 br. Coll. " Les dossiers Belfond ". Frontispice de V. Brauner. Essai sur A. Breton, chronologie, importante bibliographie, photos, jugements sur A. Breton, etc. E.O.
Reference : L8930
la Librairie Les Autodidactes
M. Léon Aichelbaum
53, Rue du Cardinal-Lemoine
75005 Paris
France
01 43 26 95 18
Tous nos prix sont nets. Envois à le charge du destinataire. Pour Paris, Les réservations par téléphone ne pourront excéder 48 heures. Tous nos ouvrages sont garantis complets et en bon état, sauf indication contraire. Nous vous prions de nous excuser de ne pouvoir répondre aux demandes d'ouvrages déjà vendus. Vos règlements effectués par chèques en devises ou en euros hors France devront être majorés de 15 euros. <br />
1978 Vanves Editions THOT 1978 in-8, br, 235 p, couverture illustrée, bon état
1954 Paris CFL 1954 Fort in-8; reliure toilée ornée en couleurs, d'édition, 615 p. Tirage limité à 7.000 exemplaires numérotés. Traces minimes sur tranche. Bon état
Club Français du Livre
[Laurencin] - Louis Codet, Jean Pellerin et de MM. Roger Allard, André Breton, Francis Carco, M. Chevrier, F. Fleuret, G. Gabory, Max Jacob, Valery Larbaud, A. Salmon
Reference : 009681
(1922)
Paris Nouvelle Revue Française 1922 In-12 Broché, couverture décorée d'un éventail en rose et bleu à rabats
EDITION ORIGINALE. 10 EAUX-FORTES originales de Marie LAURENCIN illustrent les têtes de chapitre. Tirage unique à 335 exemplaires. Un des 327 numérotés sur Hollande Van Gelder vergé filigrané « A l'Amour ». >>> Fervent lecteur des Soirées de Paris, Breton rentre en relation épistolaire avec Apollinaire en décembre 1915. Il rencontre le poète le lendemain de sa trépanation, en mai de l'année suivante, lors d'une permission parisienne. Les deux hommes se fréquenteront alors, Breton lui rendant souvent visite au 202 boulevard Saint-Germain où il fait la connaissance de Marie Laurencin en 1916. Breton lui consacrera un premier texte en mars 1917, qui sera publié en 1918 dans la revue le Livret Critique. En 1922, André Breton s'installe dans l'ancien atelier de Jacques Rigaut, rue Fontaine. En mars parait le premier numéro de la nouvelle série de Littérature, dirigée par le jeune écrivain. La revue après quelques numéros trouve un mécène en la personne de Jacques Doucet, chez qui Breton était conseiller artistique et bibliothécaire depuis juin 1921. Gaston Gallimard quant à lui accepte d'assurer la diffusion de la jeune revue. Bien que plus préoccupé des soubresauts de Dada, Breton lui donne alors un de ses premiers poèmes, L'AN SUAVE rédigé en avril 1914, pour l'ouvrage collectif L'EVENTAIL orné de gravures originales de Marie Laurencin. Très bon 0
22 juillet 1955, 26,5x20,7cm, un feuillet.
Brouillon tapuscrit de lettre à André Breton, avec des corrections et une ligne autographes, et questionnaire adressé à lui par André Breton sur l'art magique, avec une ligne et la signature autographes. Un feuillet in-4 tapuscrit, recto seul avec des corrections et une ligne à l'encre noire de la main de Maurice Blanchot, et un feuillet in-4 (27,5 x 21,5 cm) imprimé et illustré en noir, recto-verso avec une ligne et la signature autographes à l'encre violette d'André Breton. Quand, en cette année 1955, André Breton écrit à Maurice Blanchot, les deux hommes se connaissent, se côtoient et s'apprécient depuis longtemps, tout en conservant une forme de distance respectueuse. Breton travaille alors à son important ouvrage L'Art magique (Paris, 1957) et dans ce cadre, réalise une vaste enquête auprès de quatre-vingts personnalités (artistes, mais aussi sociologues, ethnologues, philosophes, historiens de l'art, critiques, etc.), parmi lesquelles Blanchot. Pour ce faire, Breton édite un tract intitulé «Formes de l'art» - illustré de onze figures (art égyptien, gaulois, précolombien, océanien, tarot, Paolo Uccello, etc.) - qui présente sa démarche et s'achève sur une série de cinq questions portant sur les liens entre art, magie et modernité: «Je me permets, cher Maurice Blanchot, de solliciter [votre réponse] très spécialement.André Breton ». Le 22 juillet, Blanchot lui répond: «Il m'a toujours paru que le mot magie, comme le mot religion, pouvait nous aider à approcher ce que l'art désigne, puisqu'à certaines époques nous ne pouvons atteindre l'un qu'à travers l'autre, mais qu'il y avait un moment où nous devions renoncer à ce chemin, car ce que l'art annonce, ce qui parle dans la poésie, c'est une parole plus originelle, comme si l'uvre d'art ou l'uvre poétique prononçait le mot commencement d'une manière plus initiale que ne le sont les puissances - magique, religieuse - qui l'empruntent pour se manifester ou pour agir.» A l'instar des réponses des autres correspondants de Breton, le texte de Blanchot sera publié dans L'Art magique. Très intéressante collaboration entre Maurice Blanchot et André Breton, sur le thème de la magie. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, José Corti, 1947. In-12, broché, couverture rempliée, 207 pp.
Edition originale du plus remarquable des ouvrages consacrés à André Breton. Tirage à 70 ex numérotés. UN DES 50 EXEMPLAIRES SUR PUR FIL (après 20 ex sur vélin du Marais. " Cet ouvrage a été unanimement salué comme le plus beau et subtil des livres consacrés à André Breton, bien que son auteur, dune modestie légendaire, ait jugé bon longtemps après de minorer son travail " : « Ce nest pas un regard sur lensemble de luvre de Breton, cest un projet beaucoup plus restreint () Cest lécrivain qui était mon sujet, et, dans le cas de Breton, il sagissait dune part très incomplète de son uvre, puisque cétait la vie surtout qui lintéressait. » « Compagnon de route » des surréalistes, Julien Gracq manifesta toujours une profonde admiration pour André Breton et cet ouvrage témoigne de son attachement à son uvre. On sait que Breton, qui était aussi son ami, faisait grand cas des romans de Julien Gracq, quil plaçait au plus haut dans lesprit du surréalisme, ainsi quil le déclara en 1952 : « Julien Gracq, plus quau surréalisme tel quil se définit théoriquement, reste absolument fidèle à lesprit qui animait son premier livre Au Château dArgol et dans lequel le surréalisme a immédiatement trouvé son bien. () Plus que romancier, Gracq savère avoir été poète puisquil a promu une légende »