‎JAY ANTOINE‎
‎LE GLANEUR OU ESSAIS DE NICOLAS FREEMAN‎

‎Le Glaneur, ou Essais de Nicolas Freeman, recueillis et publiés par M. A. Jay.‎

‎ Paris, Cérioux jeune, Dargent, Le Normant, 1812. In-8, XIII-(3)-416 pp., reliure de l'époque demi-veau, dos orné. ‎

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‎LE GLANEUR OU ESSAIS DE NICOLAS FREEMAN.‎

‎CHEZ CERIOUX - DARGENT - LE NORMANT. 1812. In-8. Relié demi-cuir. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. XIII + 416 pages - plats jaspés - titre + roulettes + fleurons + filets dorés sur le dos - dos en cuir marron - 3 photos disponibles.. . . . Classification Dewey : 844-Essais‎

‎ Classification Dewey : 844-Essais‎

‎Le Glaneur ou essais de Nicolas Freeman, recueillis et publiés par M. A. Jay‎

‎Cérioux, Dargent, Le Normant 1812 In-8 demi-basane verte, dos lisse orné d’une belle floraison dorée et à froid, XIII- 416 pp. Bon exemplaire. ‎

‎Edition originale de ce récit imaginaire largement consacré au Etats Unis où l’auteur, journaliste, historien et député de la Gironde, séjourna sept ans, se liant d'amitié avec Thomas Jefferson. Bon état d’occasion ‎

‎Le glaneur, ou essais de Nicolas Freeman.‎

‎ P.Le Normant 1812. In-8 (21/12cm).XIII ff.-416 pages. Demi basane brune de l'époque, dos lisse orné de filets dorés.(ors ternis, coiffes usées).‎

‎Recueil de critique divisé en 21 chapitres : Sur Milton et le Paradis perdu - Des femmes - Dialogue de Théophraste - Voyage à New-York et en Amérique etc, etc.‎

‎Le Glaneur, ou Essais de Nicolas Freeman, recueillis et publiés par M.A. Jay.‎

‎Paris, Cérioux, Dargent, Le Normant, Paris, Cérioux, Dargent, Le Normant1812 ; in-8, broché, couv. beige muette, étiquette au dos, entièrement non rogné. (Reliure de l’époque). XIII pp., 1 f. table, 416 pp.ÉDITION ORIGINALE de ce recueil critique et humoristique. Antoine Jay, né à Guittre (Gironde) en 1770, mort dans le même département en 1854, eut une jeunesse mouvementée. Elevé chez les oratoriens de Niort, il eut comme maître un homme qui deviendra célèbre sous la Révolution, Fouché de Nantes. En 1789, Jay accueillit la Révolution avec enthousiasme et exerça des fonctions administratives à Livourne avant d’émigrer aux Etats-Unis en 1795. Il visita le Canada, la Floride et la Louisiane et se lia avec Jefferson. Il fut même attaché à la rédaction d’un journal et acquit une connaissance profonde des moeurs et de la politique américaines. Il revint en France en 1802. Fouché l’appela à Paris pour lui confier l’éducation de ses trois fils. Il garda ce poste pendant six ans et suivit même en Italie Fouché duc d’Otrante lorsqu’il fut disgracié. Il revint à Paris et se fit avocat, mais plaida rarement et seulement des causes gratuites. De cette époque datent ses premiers succès littéraires Jay fut surtout célèbre comme journaliste au Constitutionnel et à l’Indépendant.Dans ce volume on trouve un intéressant chapitre intitulé Sur les moeurs des Américains (p. 67 et seq.), avec cette précision : “les détails qu’on va lire sont fondés sur des observations faites pendant un long séjour dans l’Etat de Massachusetts. Les personnes qui ont visité ce pays reconnaîtront que le narrateur ne s’est jamais écarté de la vérité. Il a jugé avec impartialité, sans prévention, sans songer à faire ni une satire, ni une apologie.” On y trouve une critique de l’ouvrage de Crèvecoeur sur l’Amérique. Aux pp. 329 et seq. nouvelles considérations sur l’Amérique : Indiens, séjour à Boston, New-York, etc.Très bel exemplaire, à l’état de parution, provenant de la bibliothèque de H. F. C. Tann, un amateur allemand de l’époque, qui conservait ses livres dans leur brochage d’origine. Il était préfet de Hanau.‎