‎GILBERT M ‎
‎Traité des prairies artificielles‎

‎Traité des prairies artificielles. ou Recherches sur les espèces de plantes qu'on peut cultiver avec le plus d'avantage en prairies artificielles dans la Généralité de Paris, & sur la culture qui leur convient le mieux‎

‎Paris, veuve d'Houry & Debure, 1789 in-8, [2] ff. n. ch., 300 pp., avec 5 tableaux dépliants hors texte, broché sous couverture d'attente de papier marbré. Dos très défraîchi, fortes mouillures.‎

‎Édition originale. L'ouvrage joua un rôle important dans le développement en France des prairies artificielles, comme en attestent les nombreuses rééditions jusqu'en 1826.Le vétérinaire François-Hilaire Gilbert (1757-1800) avait remporté divers prix sur des questions relatives à l’agriculture, dont la principale concernait précisément les prairies artificielles, de la Société royale d’agriculture de Paris dont il devient correspondant en 1787.Quérard III, 349 (donne par erreur 1790 pour l'originale). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Traité des prairies artificielles,. Ou recherches sur les espèces de plantes qu'on peut cultiver... et sur la culture qui leur convient le mieux... Sixième édition...‎

‎Paris, Mme Huzard, 1826. in-8, XXXIIpp.-384pp. Broché, couverture imprimée.‎

‎Sixième édition, augmentée de notes par Yvart et d'une notice sur l'auteur par Cuvier. A sa parution en 1790, ce traité permit de véritables progrès alors que les prairies artificielles et les assolements étaient encore peu connus. - Quelques piqûres, brochage fragile, plat consolidé.‎

‎Traité des Prairies artificielles ou recherches sur les espèces de plantes qu'on peut cultiver avec le plus d'avantage en prairie artificielles,...‎

‎Paris, Huzard, 1826. 125 X 210 mm. relié pleine basane racinée, dos lisse avec pièce de titre et faux-nerfs dorés, dentelle sur les plats, tr marbrées (rel. de l'ép.). XXXII-384 pp. Dos frotté avec la coiffe sup. usée, coins émoussés.‎

‎Traité des prairies artificielles, des enclos et de l'éducation des moutons de race angloise‎

‎(XVI), 195 pp, 26x19 cm; 1ère édition de cet ouvrage comportant plusieurs planches dépliantes. Dos à 5 nerfs avec ornements et titre dorés. Bel état de fraîcheur. Peu courant. ‎

‎Éditeur : Chez Hochereau, Paris Date d'édition : 1778 Reliure : Couverture rigide Etat du livre : Bon Edition : Edition originale‎

‎Prairies artificielles. ou Moyens de perfectionner l'agriculture dans toutes les provinces de France, surtout en Champagne, par l'entretien & le renouvellement de l'engrais. Troisième édition, augmentée 1° D'un traité sur la culture de la luzerne, du trèfle & du sainfoin : 2° D'une dissertation sur l'exportation du bled‎

‎Bruxelles, et se trouve à Paris, Desaint & Saillant, 1762 petit in-8, 330 pp., basane fauve marbrée, dos à nerfs cloisonné et fleuronné, pièce de titre cerise, encadrement de simple filet à froid sur les plats, tranches rouges (reliure de l'époque). Coiffe supérieure rognée, trois coins abîmés, des mouillures claires au second titre.‎

‎Édition la plus complète de cet ouvrage, d'abord paru en 1756, prônant la nécessité de créer un bureau général de l'agriculture, qui recenserait les terres et leurs propriétaires, ainsi que de perfectionner les techniques de fertilisation. L'agronome rémois La Salle de l'Étang (1700-1765) fut l’un des premiers, en France, à démontrer l’utilité des prairies artificielles, singulièrement avantageuses dans la Champagne. INED 2659. Kress 5534 (pour l'édition de 1756).RELIÉ À LA SUITE : DESPOMMIERS : L'Art de s'enrichir promptement par l'agriculture. Troisième édition, augmentée des observations d'un agriculteur suisse, sur les prairies artificielles. Berne, 1763, xij pp., 190 pp. La première édition (parisienne) parut en 1762. L'auteur, sur lequel on n'a pas de précision, signe un ouvrage éminemment technique, et propose quelques moyens d'accroître le rendement des terres (assolement, usage du fumier, etc.), déplorant, comme en Angleterre, l'existence des clôtures, qui seraient néfastes à la fertilité. INED 1397 (pour l'édition de 1770). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎