Les belles Lettres Belles Lettres, 1949. In-8 broché de 110 pages, cartes. Texte établi et traduit par Jacques Perret. Texte avec traduction en regard. Collection des universités de France publiée sous le patronage de l'Associaiton Guillaume Budé. Très bon état
Reference : 170158
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Didier et Cie, 1874, in-12 rel. pleine perc. rouge (12 x 18), XII-435 p., 2ème édition, bonne reliure d'époque, dos à 4 faux-nerfs et caissons, marque du Lycée de Nantes sur le plat sup., bon état.
Une étude de l'historien Auguste Geffroy sur La Germanie de Tacite, une oeuvre littéraire romaine de l'ère impériale qui décrit la Germanie antique. Ce livre examine la manière dont Tacite a représenté la culture, la politique et les coutumes des peuples germaniques et comment son texte a été perçu dans l'histoire de la littérature et de l'histoire. Il s'agit d'une contribution majeure à l'étude de la culture et de l'histoire antique. Voir le sommaire sur photos jointes.
Byzance et la Peinture Romane de Germanie ; Apports de l'Art Grec posticonoclaste à l'enluminure et à la fresque ottoniennes et romanes de Germanie dans les thèmes de majesté et les Évangiles - Gérard Cames - Éditions A. et J. Picard et Cie 1966 1 volume in-4 broché (format 27,5 x 21,5) - couverture souple - 360pp. Exemplaire en bon état général, marques d'usure extérieures (plissures, frottements au niveau de la couverture, petites mouillures claires au dos), reliure solide et intérieur frais.
IMPRIMERIE DE C.L.F. PANCKOUCKE. 1824. In-8. Relié demi-cuir. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 331 PAGES - annotation sur le 1er contreplat - Filets, titre et auteur dorés au dos - 2 photos disponibles. . . . Classification Dewey : 943-Allemagne, Autriche, Hongrie
La Germanie Traduit de Tacite par C.L.F. Panckoucke, avec un nouveau commentaire extrait de Montesquieu et des principaux publicistes- le rapprochement des moeurs germaines avec celles des romains et de divers autres peuples, particulierement avec celles de la nation francaise - des notes historiques et geographiques, une table chronologique indiquant les progres des differentes peuplades de la germanie, leurs envahissemens successifs et leurs etablissemens- la traduction des principales variantes extraites de tous les commentateurs de Tacite Classification Dewey : 943-Allemagne, Autriche, Hongrie
Picard, 1997 gr. in-8°, 278 pp, 4 cartes et 4 tableaux généalogiques in fine, sources, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
En 843, à l'issue du partage de Verdun, Louis, petit-fils de Charlemagne, fils cadet de l'empereur Louis le Pieux, prend définitivement possession de la partie orientale de l'Empire, créant ainsi le premier royaume "germanique". En 962, Otton 1er reçoit à Rome la couronne impériale et fonde un nouvel Empire dont la germanie est le centre de gravité. C'est durant cette centaine d'années que se constitue dans la partie orientale de l'ancien Empire de Charlemagne un royaume qui se distingue peu à peu de la partie occidentale du royaume des Francs, le futur royaume de France. L'une des différences essentielles entre les deux royaumes est liée à l'immense influence politique gagnée par les évêques dans l'entourage du roi de Germanie qui choisit de s'appuyer en priorité sur l'épiscopat pour faire contrepoids à la puissance de l'aristocratie laïque : avec les débuts de la dynastie ottonienne s'établit la Reichskirche, élément constitutif du "Saint Empire Romain Germanique", certains évêques devenant, à partir du XIIe siècle, des princes d'Empire... — "Une judicieuse délimitation du terrain d'enquête et une recherche obstinée des indices les plus ténus, toutes catégories documentaires confondues, forment l'arrière-plan de la thèse, aujourd'hui publiée, de Geneviève Bührer-Thierry. Dans le cadre des deux duchés méridionaux, une Bavière déjà très bien individualisée, et une Souabe qui en est encore à se forger une identité, soit pour un total de dix diocèses, l'auteur étudie, de façon classique, le passage de l'Eglise carolingienne à un « Reichskirchensystem » dont elle convient après d'autres qu'il n'a pas encore acquis ses traits censés classiques sous Otton Ier. Le « pouvoir » dont le titre fait état, avec quelque ambiguïté, est en fait le « pouvoir princier », l'auteur concentrant l'analyse sur les rapports entre évêque et prince (roi et ducs), et n'abordant que de l'observatoire le plus élevé les rapports des évêques à l'exercice du pouvoir : exercice dont elle montre de façon convaincante qu'il est moins de substitution que d'étai, l'exaltation du rôle des prélats ne se révélant fonctionnelle qu'autant que le bras séculier est fort." (Olivier Guyotjeannin, Bibliothèque de l'École des chartes, 1998)
Presses Universitaires de Louvain, 2011, in-4 br. (21 x 29,5), 366 p., préface de Raymond Brulet, 87 figures, bon état.
A l'articulation entre deux disciplines fondamentales pour la ville de l'antiquité, l'urbanisme et l'architecture, cet ouvrage esquisse l'évolution des capitales de province issues de la colonisation romaine, en Gaule Belgique et en Germanie Inférieure. Voir le sommaire sur photos jointes.