Editions du Moniteur Editions du Moniteur, 1990. In-4 carré broché de 119 pages. Nombreuses photos. Parfait état
Reference : 169379
ISBN : 2281190307
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Librairie Gil - Artgil SARL
Catherine et Caroline Gil
24 Bld Denys Puech
12000 Rodez
France
05 65 42 95 21
Conformes aux usages de la librairie ancienne. Les prix sont nets. Frais de port en sus. Emballage gratuit. Les livres sont expédiés après réception du règlement en colis poste ou recommandé. <br />
1983 Paris, Réunion des Musées Nationaux, 1983, in 8° carré broché, 218 pages ; couverture illustrée en couleurs ; très nombreuses illustrations.
Plus de 280 numéros décrits. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
P., LPA, 1947, in 8° broché, 89 pages de texte et 104 planches hors-texte ; couverture illustrée.
Exposition de 1947-1948. 259 numéros décrits. PHOTOS SUR DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
A Paris, chez Bernard, 1798. In-8 de (8)-316 pp., 2 pp. du catalogue Bernard (Notice des principaux livres d'assortiment qui se trouvent chez Bernard), demi-veau blond à petits coins de vélin, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge (reliure de l'époque).
Première édition française traduite par François-René de Pommereul. « Milizia fait éloge du rôle fonctionnel des édifices. Pour lui, l’architecture est née du besoin de l’homme de se protéger contre les intempéries ; aussi blâme-t-il vigoureusement l’ornementation gratuite dont les architectes, principalement ceux du baroque et du rococo, ont paré leurs monuments, détournant ainsi leur art de sa fonction primordiale. Désormais, il s’agit de revenir à la pureté des formes classiques de l’architecture gréco-romaine, mais dans un esprit critique, sous l’égide de la philosophie et de la raison. Milizia entend relever les « erreurs » des architectes les plus célèbres. Les théoriciens dont il s’inspire (Vitruve, Alberti, Palladio, Serlio, Scamozzi) n’échappent pas à la rigueur de son jugement critique. Simplicité, harmonie, unité dans la variété, juste proportion, tels sont les critères qui déterminent la beauté de l’édific » (Encyclopédie Universelle). A la suite : Des Institutions propres à encourager et perfectionner les beaux-arts en France ; Etat des objets d'arts envoyés aux divers musées français, et conquis par les armées de la République pendant la guerre de la liberté. (83 pp.). Par le général de Pommereul. Si François-René de Pommereul a traduit plusieurs essais sur l'Art du critique italien Milizia, il a aussi exprimé ses propres conceptions ; adepte du néo-classicisme, il a préconisé l'édification de monuments publics pour familiariser la société avec l'art et il a voulu encourager la créativité des artistes principalement des graveurs : ses thèses sont exposées dans la seconde partie de l'ouvrage De l'art de voir dans les Beaux-Arts : Des institutions propres à encourager et perfectionner les Beaux-Arts en France. Pommereul a milité pour la création d'un musée public de gravure où seraient réunies les estampes des collections nationales et conservés les cuivres des graveurs ; il a voulu faciliter le commerce des épreuves de façon à soutenir la création des artistes, il est ainsi à l'origine de la Chalcographie du Louvre ou Collection des estampes (1799).
Paris, Bernard, 1798. In-8 de (8)-316 pp., 2 pp. (catalogue Bernard), veau marbré, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge, premier plat de couverture de papier dominoté conservé (reliure de l'époque).
Première édition française des essais sur l'art du critique italien et théoricien de l'architecture Francesco Milizia (1725-1798) traduits et commentés dans une seconde partie par François-René de Pommereul où celui-ci expose ses thèses sous le titre Des institutions propres à encourager et perfectionner les Beaux-Arts en France, suivi de État des objets d'arts envoyés aux divers musées français, et conquis par les armées de la République pendant la guerre de la liberté.« Milizia fait éloge du rôle fonctionnel des édifices. Pour lui, l’architecture est née du besoin de l’homme de se protéger contre les intempéries ; aussi blâme-t-il vigoureusement l’ornementation gratuite dont les architectes, principalement ceux du baroque et du rococo, ont paré leurs monuments, détournant ainsi leur art de sa fonction primordiale. Désormais, il s’agit de revenir à la pureté des formes classiques de l’architecture gréco-romaine, mais dans un esprit critique, sous l’égide de la philosophie et de la raison. Milizia entend relever les « erreurs » des architectes les plus célèbres. Les théoriciens dont il s’inspire (Vitruve, Alberti, Palladio, Serlio, Scamozzi) n’échappent pas à la rigueur de son jugement critique. Simplicité, harmonie, unité dans la variété, juste proportion, tels sont les critères qui déterminent la beauté de l’édifice » (Encyclopédie Universelle). Rare exemplaire relié à l'époque avec le très beau premier plat conservé de papier dominoté fabriqué par Letourmi à Orléans « LETOURMI - N°177 ». Quelques corrections et biffures à l'encre du temps (pages 15, 74, 211, 251) signalent probablement la main du traducteur et essayiste François René Jean de Pommereul (1745-1823) général de division de la Révolution française qui devint préfet d'Indre-et-Loire sous le Premier Empire. Adepte du néo-classicisme, il préconisa l'édification de monuments publics pour familiariser la société avec l'art et voulut encourager la créativité des artistes principalement des graveurs. Pommereul a milité pour la création d'un musée public de gravure où seraient réunies les estampes des collections nationales et conservés les cuivres des graveurs ; il a voulu faciliter le commerce des épreuves de façon à soutenir la création des artistes, il est ainsi à l'origine de la Chalcographie du Louvre ou Collection des estampes (1799). Grand bibliophile, sa bibliothèque est en partie conservée à la médiathèque de Fougères, sa ville natale.
Paris, Librairie d'architecture de A. Levy, 1864. 2 vol. in-plano, 8-IV pp. 76 (dont front.) pl. + 75 pl., demi-basane à coins brune, dos à nerfs orné de filets à froid (reliures défraîchies mais solide, petites taches ou rousseurs).
Édition originale de ce monumental recueil de 151 lithographies en noir tirées sur Chine et montées sur onglets, la grande majorité dessinée et gravée par Asselineau et représentant du mobilier du Moyen Âge à la Révolution dans les musées, collections et églises européennes. Tampon ex-biblioteca et tampon ex-dono. Voir photographie(s) / See picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.