‎ALYN Marc ‎
‎Liberté de voir‎

‎ Terre de feu Terre de feu, 1955. In-12 broché, couverture à rabats de 91 pages. Envoi à Jean Digot et lettre manuscrite. Bandeau conservé. Rare édition originale du premier ouvrage de l'auteur. Très bon état‎

Reference : 162848


‎ Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo. ‎

€35.00 (€35.00 )
Bookseller's contact details

Librairie Gil - Artgil SARL
Catherine et Caroline Gil
24 Bld Denys Puech
12000 Rodez
France

artgillibrairie@orange.fr

05 65 42 95 21

Contact bookseller

Payment mode
Cheque
Others cards
Others
Sale conditions

Conformes aux usages de la librairie ancienne. Les prix sont nets. Frais de port en sus. Emballage gratuit. Les livres sont expédiés après réception du règlement en colis poste ou recommandé. <br />

Contact bookseller about this book

Enter these characters to validate your form.
*
Send

5 book(s) with the same title

‎[MAZARINADE].‎

Reference : 42792

(1652)

‎Le Guide au chemin de la liberté faisant voir I. Que les François sont traitez en Esclaves II. Qu'ils ont droit de tout faire pour sortir d'esclavage.‎

‎Paris : 1652 In-4, 24 pages. Broché.‎


‎ « Le chemin de la liberté, c’est le transfert de l’autorité souveraine au Duc d’Orléans. L’auteur veut que le prince soit élu roi. » Moreau 1534. ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : +33 (0)1 46 34 64 53

EUR60.00 (€60.00 )

‎MARC ALYN‎

Reference : 3003

(1957)

‎LE TEMPS DES AUTRES ... liberté de voir ‎

‎ 1957 éditions SEGHERS .. prix MAX JACOB 1957 Edition originale service de presse .. format in 12 de 153 pages ouvrage broché en parfait état proche du neuf ‎


Librairie Bernini - Pont Saint Esprit

Phone number : 04.66.39.40.63

EUR30.00 (€30.00 )

‎[Imprimerie de J.-A. Quillot] - ‎ ‎Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD‎

Reference : 33946

(1848)

‎Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎

‎1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎


‎Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR175.00 (€175.00 )

‎MESRINE Jacques‎

Reference : 84739

(1976)

‎Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine écrite depuis la prison de Fleury-Mérogis adressée à sa compagne Jeanne Schneider alors incarcérée et qui pourrait être prochainement libérée : "Je ne veux plus te voir en prison car toi dehors c'est un peu de moi même qui sera libre. Tu donnes une parole pour cette liberté... prouve que nous autres, la tenons toujours en bien comme en mal. C'est ce qui nous unit le plus ; voyous, dangereux ?... mais droits"‎

‎Fleury-Mérogis 21 Octobre 1976, 21x29,5m, une page recto verso.‎


‎Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du jeudi 21 Octobre 1976, 70 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis, se réjouit d'avoir pu s'entretenir au parloir avec sa bien-aimée également emprisonnée: "Quel très agréable parloir, tu étais en plus très féminine dans cet ensemble qui est bien dans ton style de femme... même le double du prix car il me plaît" et tente de la rassurer afin qu'elle ne perde pas toute pugnacité contre le régime carcéral qui broie les détenus : "Mais si par malheur un nouveau refus te touchait n'aies pas cette mauvaise réaction que tu m'as dite car ceux qui t'entourent et t'ont aidée ne méritent pas de payer l'injustice des autres. Il te faudrra faire face comme toujours. Car les portes s'ouvriront un jour et tu le sais." En patriarche protecteur, Jacques Mesrine s'inquiète du désespoir qui pourrait la frapper elle et sa fille Murielle placée à la DASS : "Mais pour toi je m'en fais énormément, car tu as une limite... et je crois que tu l'as atteinte ! ou presque... Au sujet de Mury et de cette juge bidon... nous verrons pour la retirer de la Dasse... je préfère payer ses études et madame Chevallier et tout son entretien s'il le faut. Si tu sors ! Dis-moi... que de femmes à entretenir... j'ai intérêt à faire des heures supplémentaires (sic)" L'ennemi public N°1 évoque la prochaine liberté de Jeanne Schneider en lui intimant de ne plus retomber dans la criminalité : "...Si tu sors interdiction formelle de t'occuper de moi sur un plan que nous comprenons très bien tous les deux. Je ne veux plus te voir en prison car toi dehors c'est un peu de moi même qui sera libre. Tu donnes une parole pour cette liberté... prouve que nous autres, la tenons toujours en bien comme en mal" Jacques Mesrine loue la droiture de sa compagne, clef de voûte de leur union forte à travers la privation de liberté : "C'est ce qui nous unit le plus ; voyous, dangereux ?... mais droits. C'est ce qui fait que je t'aime, avec toi pas de surprises désagréables ; tu es "blanc-bleu" et pour moi tu as bien la valeur du diamant. C'est la seule pierre qui est plus dure que l'acier (sic)... mais moins dure que moi (resic)" Il termine cette missive par cette note d'humour traduisant la terrible réalité intrusive du système pénitentiaire : "Et si mon colis de Noël est préparé par toi... l'administration va le passer aux rayons X" mais aussi par ces tendres mots : "De doux décots se posent sur tes lèvres... geste d'amour qui nous unit depuis toujours et pour longtemps... EL VIEJO Bandido !" Rare et très belle lettre de Jacques Mesrine dans laquelle on le découvre protecteur et avide de liberté pour sa compagne et pour qui la franchise doit être érigée en règle de vie. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 56 08 08 85

EUR1,800.00 (€1,800.00 )

‎RENARD, Maurice‎

Reference : 53850

(1902)

‎[ Manuscrit autographe signé ] Page d'Histoire : [ Il évoque la mort du dauphin Louis puis continue ... ] "Et le peuple affranchi déjà de son tyran / Se souvint tout à coup des Comtes émigrants, / Douta de voir jamais leur race anéantie / Et n'osa point trouver la Libert grandie / Avec sous son pied rouge un cadavre nouveau, / Ce cadavre d'enfant et non de tyranneau. / Or, comme un meurtrier poursuivi par son crime / Voit toujours devant lui les traits de sa victime / O France qui ne fut méchante qu'une fois / Tu devrais le revoir ce fils blond de tes Rois / Et quand des imposteurs t'ont dit chacun : "Regarde!" / "Je suis Louis dix-sept ! " tu répondis, hagarde : / "Tous mes Rois sont morts, tous !" Et tu devais souffrir, / Car tu connaissais bien comme ils savaient mourir !" / 'Et c'était tout le temps et l'angoisse et la gêne / Dans cette liberté que tu goûtais à peine ! / Sans cesse on l'habillais de régimes nouveaux / Aussitôt rejetés, n'étant pas aussi beaux; / Tel un amant jaloux qui cherche avec ivresse / Les plus brillants joyaux pour parer sa maîtresse / Et n'en juge pas un digne de sa beauté, / Tel, le peuple, voulant orner la Liberté / Lui mit le Consulat après le Directoire / Et trouvant tour à tour chaque robe trop noire, / Chaque gouvernement trop étroit ou trop laid, / Enfin croyant trouver celui-là qu'il fallait / La força d'embrasser un vêtement, le pire / Et lui meurtrit le cou dans ce carcan : l'Empire / Mais nul ne supposa que son avènement / Sonnait pour nos aïeux l'heure du châtiment. / [ ... ] "Et la France partit dans la gloire au trépas ! / Et la France mourut ne s'apercevant pas / Qu'elle payait ainsi quelque dette divine, / Qu'un sabre châtiait alors la guillotine / Et que livrant à l'Aigle un par un tous ses fils / L'Aigle en les dévorant vengeait la fleur de Lys".‎

‎4 pages autographes de 49 vers signés sur 2 feuillets in-4 (avec deux repentirs), avec mention à l'encre, d'une autre main, en bas de la dernière page : "Paris Bd Saint Germain 1902" : Nous en livrons une transcription partielle : [ Manuscrit autographe signé ] Page d'Histoire : [ Il évoque la mort du dauphin Louis puis continue ... ] "Et le peuple affranchi déjà de son tyran / Se souvint tout à coup des Comtes émigrants, / Douta de voir jamais leur race anéantie / Et n'osa point trouver la Liberté grandie / Avec sous son pied rouge un cadavre nouveau, / Ce cadavre d'enfant et non de tyranneau. / Or, comme un meurtrier poursuivi par son crime / Voit toujours devant lui les traits de sa victime / O France qui ne fut méchante qu'une fois / Tu devrais le revoir ce fils blond de tes Rois / Et quand des imposteurs t'ont dit chacun : "Regarde!" / "Je suis Louis dix-sept ! " tu répondis, hagarde : / "Tous mes Rois sont morts, tous !" Et tu devais souffrir, / Car tu connaissais bien comme ils savaient mourir !" / 'Et c'était tout le temps et l'angoisse et la gêne / Dans cette liberté que tu goûtais à peine ! / Sans cesse on l'habillait de régimes nouveaux / Aussitôt rejetés, n'étant pas aussi beaux; / Tel un amant jaloux qui cherche avec ivresse / Les plus brillants joyaux pour parer sa maîtresse / Et n'en juge pas un digne de sa beauté, / Tel, le peuple, voulant orner la Liberté / Lui mit le Consulat après le Directoire / Et trouvant tour à tour chaque robe trop noire, / Chaque gouvernement trop étroit ou trop laid, / Enfin croyant trouver celui-là qu'il fallait / La força d'embrasser un vêtement, le pire / Et lui meurtrit le cou dans ce carcan : l'Empire / Mais nul ne supposa que son avènement / Sonnait pour nos aïeux l'heure du châtiment. / [ ... ] "Et la France partit dans la gloire au trépas ! / Et la France mourut ne s'apercevant pas / Qu'elle payait ainsi quelque dette divine, / Qu'un sabre châtiait alors la guillotine / Et que livrant à l'Aigle un par un tous ses fils / L'Aigle en les dévorant vengeait la fleur de Lys".‎


‎Beau poème autographe signé de Maurice Renard (1875-1939), l'écrivain à succès de nombreux romans fantastiques et de science-fiction, parmi lesquels le célèbre ouvrage "Les Mains d'Orlac". Dans le présent poème manuscrit, il évoque la mort tragique du dauphin Louis-Charles de France (1785-1795), connut comme "Louis XVII", et le poids de ce crime sur la conscience de la Nation... Bon tat (petites fentes en pliures)‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR390.00 (€390.00 )
Get it on Google Play Get it on AppStore
The item was added to your cart
You have just added :

-

There are/is 0 item(s) in your cart.
Total : €0.00
(without shipping fees)
What can I do with a user account ?

What can I do with a user account ?

  • All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches.
  • You may manage a list of your favourite, regular searches.
  • Your preferences (language, search parameters, etc.) are memorised.
  • You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it.
  • Get in touch with booksellers, order books and see previous orders.
  • Publish Events related to books.

And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !