Verso Verso, 1985. In-8 broché de 79 pages Bon état
Reference : 155327
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Affiche recto-verso au format 68 x 99 cm. A l'état de neuf.
Coll'aggiunta del Testo Italiano, e di brevi Annotazioni. per Felice Mosca, In Napoli, 1728. In-8 p. (mm 204x126), piena pergamena coeva, titolo manoscritto al dorso, pp. 337,(3). Offriamo la sola terza cantica.Carlo dAquino ((Napoli 1654 - Roma 1737), scrittore, figlio del principe Bartolomeo di Caramanico. Gesuita, nel 1676 andò a insegnare retorica a Macerata dove ebbe allievo G.M. Crescimbeni, che lo seguì l'anno dopo nel nuovo insegnamento di Siena. Fu poi al Collegio Romano, docente e prefetto degli studi. Nel 1692 collaborò col Crescimbeni al progetto di regolamento dell'Arcadia.. Scrisse liriche, orazioni, opere di erudizione. Si occupò di Dante assiduamente, scrivendo Le similitudini della Div. Commedia di D.A., trasportate verso per verso in lingua latina (Roma 1707), e La Commedia di D.A., trasportata in verso latino eroico da C. d'A.". (in Napoli, per Felice Mosca, 1728). La raccolta delle similitudini è di gusto secentesco, fatta con l'intento di mostrare il valore retorico della comparazione. La traduzione in verso eroico della Commedia fu in realtà stampata a Roma da Bernabò Rochi con l'imprimatur extra Urbem, non essendosi sino a tale data fatte edizioni romane del poema. In fine dei tre volumi vi sono Annotazioni; una prefazione dà ragione delle lacune esistenti nella traduzione posta a fronte del testo volgare (integro, dall'edizione della Crusca del 1595), col dire che non si conveniva a scrittore religioso fermarsi su luoghi da cui potesse venire offesa la fama "particolarmente di illustri Comuni e sagri Personaggi d'eccelso grado ". Sono tralasciate le invettive contro papi e prelati, contro gli ordini religiosi, i comuni e le monarchie: con una prudenza non eccezionale in un gesuita, quando ormai la Compagnia era sospetta per ingerenze e trame politiche (così Enciclopedia Dantesca).Esemplare molto ben conservato, su carta forte.
Reference : 78250aaf
s.d., (ca. 1825), 21 x 27 cm (le boîtier). Le tout est réuni dans un boîtier cartonné, pièce de titre sur le couvercle, languette de ruban intérieure permettant d'exhausser les feuillets.
Très rare collection de silhouettes (ou découpages, en allemand ‘Scherenschnitte’) originales, réalisées peu après 1821 et la mort de l'empereur: la qualité du papier vergé utilisé et les caractéristiques des inscriptions au verso (couleur de l'encre, souplesse de la plume et écriture) ne laissent aucun doute. Ce superbe ensemble, réalisé avec autant de finesse dans l'exécution que de naïvité dans la conception, relève de la tradition iconographique populaire, illustrant aussi bien des aspects événementiels que psychologiques de la vie de Napoléon à partir d'anecdotes identifiables et emblématiques, même si le détail de certaines silhouettes trahit une influence des grandes oeuvres peintes à l'époque: la représentation de Napoléon franchissant les Alpes est clairement inspirée du tableau de David et la silhouette montrant Rapp annonçant à Napoléon la défaite des Russes à la fin de la bataille d'Austerlitz reprend distinctement le tableau de Gérard. La collection comprend les pièces suivantes, présentées dans l'ordre spécifié de manière manuscrite au verso de chaque silhouette (nous avons conservé cet ordre, ce qui explique un certain flottement chronologique): 1) Bonaparte au pont d'Arcole (17 novembre 1796) / 2) Passage des Alpes (14-25 mai 1800) / 3) Probablement la reddition de Mantoue, où l'on voit Bonaparte et la silhouette empanachée de Kellerman (2 février 1797) / 4) Un soldat à genoux devant Bonaparte. / 5) Bonaparte dirige la bataille. / 6) Austerlitz: le général Rapp vient annoncer à Napoléon la défaite de l'armée russe (2 décembre 1805) / 7 et 8) Napoléon au bivouac, veille de bataille. / 9) Certainement Napoléon montrant avec admiration le travail de Larrey, peut-être à la bataille d'Eylau où il lui offre sa propre épée en signe de reconnaissance (8 février 1807) / 10) Napoléon devant le tombeau de Frédéric le Grand (25 octobre 1806) / 11) Clémence de Napoléon: grâce du prince de Hatzfeld (octobre 1806) / 12) Essling: adieux de Napoléon à Lannes (22 mai 1809) / 13) Napoléon désigne un soldat à l'attention de deux personnes en civil / 14) Reddition de Vienne (13 novembre 1805) / 15) Napoléon saluant un blessé / 16) ‘On ne passe pas!’ une sentinelle respecte la consigne et interdit le passage à Napoléon / 17) ‘Après vous, sire!’ : Un soldat offre à boire à l'empereur / 18) A la barrière de l'Etoile, à Paris (légende inscrite au verso de la silhouette) / 19) Napoléon pointant le canon à Montereau / 20) Vol de l'aigle: le colonel de La Bédoyère entraînant le 7e de ligne en faveur de Napoléon (7 mars 1815) / 21) Les adieux de Fontainebleau (20 avril 1815) / 22) Napoléon à Saint-Hélène / 23) Mort de Napoléon (5 mai 1821) / 24) Tombeau de Napoléon à Sainte-Hélène / 25) Retraite du corps polonais à Leipzig, coupée par l'explosion du dernier pont sur l'Elster (19 octobre 1813). NAPOLEON'S LIFE IN ORIGINAL EARLY XIXth c. PAPERCUTS Image disp.
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1968 | 66 x 47.40 cm | une feuille
Gouaches originales peintes recto-verso sur papier fort signées et datées de1968, réalisées sur papier fort et agrémentées d'une dédicace autographe. Nombreuses traces de plis, déchirures marginales, trous d'épingles et déchirures angulaires. Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons of Cypruset Justine, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes sur un menu de restaurant et à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. Exceptionnelles gouaches originales peintes au recto et au verso d'un support unique par Lawrence Durrell, signées de son pseudonyme d'artiste et offertes à son amante française : "for Janine Brun OscarEpfs 1968". La première composition abstraite portant l'envoi de Lawrence Durrell est doublée au versod'une scène d'inspiration antique, rappelant l'intérêt constant qu'il porta à l'archéologie et auxruines du glorieux passéde sa chère Grèce. Parallèlement à son travail d'écriture, l'auteur du Quatuor d'Alexandrie pratiquaassidument la peinture et organisa plusieurs expositions de ses uvres sous le pseudonyme "Oscar Epfs", son double artistique. Selon Serge Fauchereau, « [...] c'est grâce à son ami Henry Miller qu'il s'était mis à la peinture», en autodidacte, et qu'il produit à partir des années soixantedes « fantaisies jubilatoires » (Jean Lacarrière), extrêmement colorées. Les deux gouaches se rapprochent en effet grandement des propres peintures d'Henry Miller, son mentor littéraire et artistique, qui usait à l'époque des mêmes procédés picturaux - particulièrement les aplats de gouaches aux couleurs franches et solaires. Cette uvre est par ailleurs imprégnée de ses longues années passées en Grèce et de sa passion pour l'Antiquité : on y observe sur la gouache au verso des personnages en tunique se tenant devant des colonnes antiques, l'un d'entre eux portant sur son épaule une amphore. Cette Grèce ancestrale et païenne apparaît en filigrane de la plupart de ses ouvrages, de L'île de Prospéro (sur ses années de jeunesse à Corfou, publié en 1945) aux Îles grecques (1978). Après son installation à Sommières, il y retourna souvent, pour « retrouver comme un archéologue les fantômes qui hantent des pays qui ont tant changé» (Dans l'ombre du soleil grec). - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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