‎GENET Jean‎
‎Elle‎

‎ L'Arbalète L'Arbalète, 1989. In-8 broché, 86 pages non coupées. Présentation d'Albert Dichy. Un des 500 exemplaires numérotés sur Arche filigrané, celui ci N° 183. Très bon état. ‎

Reference : 144194
ISBN : 2902375387


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‎CORNEILLE, Pierre (1606-1684) / VOLTAIRE, François-Marie Arouet dit (1694-1778)‎

Reference : 8898

‎Théâtre de P. Corneille, avec des commentaires et autres morceaux intéressans. Nouvelle édition, augmentée. Tome premier [-huitième], Genève [en fait Berlin, Rottmann], 1774.Huit volumes in-4° (xxx x xxx mm) de 10+572+[2] / [2]+526 / [2]+536 / [2]+581 / [2]+510 / [2]+607+[2, table] / [2]+520+[2, table] / [2]+636+[2, table] pages. Magnifiques reliures de lépoque en plein veau ....«On fait actuellement une très belle édition in-4° de Corneille et de mon Commentaire. Elle est aussi correcte que celle de mes faibles ouvrages est fautive» (Voltaire à La Harpe, 22 janvier 1773). Précédée dun «Avertissement du commentateur sur cette nouvelle édition» et quelques additions Bengesco, II, pages 141-142 Cohen, 255-256‎

‎ 4105 Huit volumes in-4° (208 x 257 mm). Volume I: [8]+572 pages, 1 frontispice et 4 planches; contenu: Avertissement du commentateur sur cette nouvelle édition, A Messieurs de l'Académie française, Médée, Le Cid, Cinna, Jules César. Volume II: [2]+526 pages, 4 planches; contenu: Horace, Polyeucte, Le Menteur. Volume III: [2]+536 pages, 4 planches; contenu: Pompée , Théodore, Rodogune, Andromède. Volume IV: [2]+581 pages, 4 planches; contenu: Héraclius, de Calderón, Héraclius Empereur d'Orient, Don Sanche d'Aragon, Nicomède, Pertharite. Volume V: [2]+510 pages, 4 planches; contenu dipe, La Toison d'Or, Sertorius, Sophonisbe. Volume VI: [2]+607+[1bl]+[2] pages, 4 planches; contenu: Othon, Agésilas, Attila, Bérénice, tragédie de Racine, Bérénice, comédie héroïque de Corneille, Pulchérie. Volume VII: [2]+636+[2] pages, 6 planches; contenu: Suréna, Ariane, tragédie de Thomas Corneille, Le Comte d'Essex, de Thomas Corneille, Mélite, Clitandre, La Veuve. Volume VIII: 520+[2] pages, 4 planches; contenu: La Galerie du Palais, La Suivante, La Place royale, L'Illusion comique, trois discours, Vie de Pierre Corneille par Bernard de Fontenelle, réponse de l'éditeur à un détracteur de Corneille, discours de Pierre Corneille à sa réception à l'Académie française. Belles reliures de lépoque en plein veau marbré, double filet doré sur les coupes, dos à nerfs ornés, pièces de titre en maroquin rouge et de tomaison en maroquin vert, tranches rouges. Ex-libris rectangulaire au contreplat du 1er volume : « André Gutzwiller » (Paris, 1922-Arlesheim, 2014), banquier et bibliophile bâlois.‎


‎«On fait actuellement une très belle édition in-4° de Corneille et de mon Commentaire. Elle est aussi correcte que celle de mes faibles ouvrages est fautive» (Voltaire à La Harpe, 22 janvier 1773). Cest une réimpression in-4°, avec quelques changements et le texte entièrement encadré, de l'édition in-8° publiée par Voltaire en 1764. Elle contient les mêmes gravures, réimposées, auxquelles on a ajouté un très bel encadrement, pour les adapter au nouveau format, savoir: un frontispice par Pierre, gravé par Watelet, représentant le Génie couronnant le buste de Corneille, et 34 figures hors-texte par Gravelot, gravées par Baquoy, Flipart, Lemire, Lempereur, De Longueil, Prévost et Radigues. Picot, Bibliographie cornélienne, 1876, no 643, page 309; Bengesco, II, pages 141-142; Cohen-de Ricci, colonnes 255-256 Langue‎

Phone number : 021/312 85 42

EUR3,000.00 (€3,000.00 )

‎VERLAINE (Paul) - CHIMOT (Edouard)‎

Reference : 31644

(1937)

‎Parallèlement, Chansons pour elle.‎

‎Rombaldi éditeur, 1937. In-8 relié demi-basane marron à coins, couverture de l'éditeur conservée, 169 pages. Edition illustrée de 5 figures hors texte en couleurs par Edouard Chimot. Elle sort des presses de Robert Coulouma. De la collection "Baldi Les Contemporains". Exemplaire numéroté sur vergé de Voiron.- 550g.- Intérieur très frais, bel exemplaire.‎


Déjà Jadis - Fréjus

Phone number : +33 (0) 4 94 53 89 34

EUR60.00 (€60.00 )

‎SOUBIRAN, Yvonne‎

Reference : 54723

(1928)

‎Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

‎3 cahiers manuscrits dont deux brochés (l'un oblong), 1928, 40 ff. et 1943, 36 ff. et l'autre cartonné (recueil de citations). Rappel du titre complet : Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎


‎Très remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

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EUR590.00 (€590.00 )

‎DUCHEMIN (Rose) - KARR (Alphonse)‎

Reference : 32199

‎Histoire de Rose et de Jean Duchemin, écrite par Rose Duchemin elle-même et publiée par Alphonse Karr.‎

‎Du Lérot rêveur, N° 48, octobre 1988. In-8 broché (21,4 x 14,3 cm), 125 pages, illustré d'un dessin-portrait en frontispice et de quelques illustrations. Texte établi, présenté et annoté par Patrice Duboc.- 180g.- Bon état.‎


Déjà Jadis - Fréjus

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‎ROLAND DE LA PLATIERE (Marie-Jeanne Phlipon)‎

Reference : 31516

(1886)

‎Madame Roland, sa détention à l'abbaye et à Sainte-Pélagie. 1793. Racontée par elle-même dans ses Mémoires.‎

‎Paris, Georges Hurtrel, 1886. In-12, broché (16,5 x 11 cm), couverture imprimée rempliée, 239 p., portrait frontispice à l'eau-forte gravé et aquarellé par A. Poirson, nombreuses illustrations in et hors texte, dont certaines en couleurs. Tirage limité, numéroté et signé par l'éditeur (n° 161). Bonne édition donnant les principaux extraits des Mémoires de l'égérie des Girondins, rédigés pendant ses cinq mois de détention à l'Abbaye et à Sainte-Pélagie.- Bon état.‎


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