FL 1 FL 1999. In-4 carré cartonnage éditeur sous jaquette illustrée rempliée de 157 pages illustrées. Très bon état
Reference : 135007
ISBN : 2724248996
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Paris, Chez l'auteur et Jombert, 1817. 370 g In-8, demi vélin, 224 pp.. Illustré de 10 planches hors-texte dépliantes lithographiées. Troisième édition dont les planches sont sorties des presses de C. de Lasteyrie car deux planches (5e et 10e) en portent l'adresse. En 1817 Lasteyrie débutait son activité parisienne de lithographe, cette édition peut donc être qualifiée d'incunable lithographique. Havette, Bibliographie de la ste?nographie franc?aise, p. 29. Louis-Félix Conen de Prépean, noble d'origine bretonne dont les ancêtres possédaient le manoir de Pré Péan à Pordic, est devenu un spécialiste de la sténographie. On apprend dans la préface de son ouvrage qu'il a produit les traductions sténographiques imprimées d'Atala et de Paul et Virginie, deux éditions qui semblent devenues très rares. Quelques rousseurs, petites traces d'humidité marginale. . (Catégories : Sténographie, Lithographie, )
Entre 24 et 32 pages par numéro. Dans une reliure rouge. 21x28 cm. Couverture avec des taches. Quelques rousseurs. Page de titre du numéro 1 avec des pliures, manque de papier coin droit en bas avec manque de papier, sinon bon état Le Petit Écho de la mode est un magazine féminin hebdomadaire français, fondé en 1879, par Charles de Penanster, puis disparu en 1983. Ce titre connaît un succès presque immédiat et atteint un tirage de 300 000 exemplaires en 1900 et plus d’un million et demi d’exemplaires chaque semaine en 1950, avant de disparaître. Dénommé Le Petit Écho de la mode de 1880 à 1955, puis L'Écho de la Mode de 1955 à 1977 et enfin Petit Écho de la Mode/Femmes d'Aujourd'hui de 1977 à 1983. Le Petit Journal de la Mode est lancé en 1878 ; celui-ci vivote alors à 5 000 exemplaires. Journal déficitaire, il est repris un an après son lancement par Charles de Penanster, jeune sénateur des Côtes-du-Nord, et sa femme, née Claire Le Roux. Il devient alors Le Petit Écho de la mode. Claire de Penanster en devient rédactrice en chef sous le pseudonyme de Baronne de Clessy. Le journal se définit en tant que journal hebdomadaire familial, pratique, principalement destiné aux femmes, avec une ligne éditoriale liée au catholicisme social, le tout avec un prix de vente très modique[1]. Outre le thème de la mode, abordé dès la première de couverture, la vie quotidienne est relayée à travers la broderie, la cuisine, l’éducation, les bonnes manières ou bien les conseils d’ameublement. À cette époque, à la suite de la défaite de 1870 contre la Prusse et la chute du Second Empire la même année, la France paie des indemnités de guerre considérables à l'Allemagne. En cette période de crise, les ménages exsangues trouvent dans ce journal des astuces pour améliorer le quotidien. En effet, chaque numéro comprend des conseils dans quatre domaines distincts : vestimentaire : un patron encarté permet d'habiller toute la famille à la dernière mode parisienne, avec les tissus qu'on a sous la main ; culinaire : des recettes de cuisine peuvent se concocter avec des ingrédients bon marché et équilibrés ; sanitaire et hygiénique : des « remèdes de grand-mère » évitent d'aller chez le médecin et donc d'engendrer de fortes dépenses ; culturel : des articles permettent à toute la famille de s’intéresser aux arts, aux sciences et à l'histoire. En effet, au XIXe siècle, la culture n'est plus uniquement réservée à l'élite de la société ; Le Petit Écho de la mode connaît un rapide succès. Un an après sa reprise, le magazine tire déjà à 19 000 exemplaires chaque dimanche. En 1900, il est tiré à plus de 200 000 exemplaires par semaine, pour monter à 1 100 000 exemplaires vers 1930 puis 1 500 000 en 1960. En 1955, le magazine est l'un des plus importants tirages de France. Il appartient au groupe des Éditions de Montsouris, dont l'ensemble des tirages représente 50 % de la presse française. Mais au cours des années 1960, le tirage chute drastiquement. En 1966, Raymond Loewy en modernise la présentation en mettant l'accent sur le mot « Écho »[2] mais cela ne suffit pas à le relancer. Le magazine disparait au milieu des années 1970, intégré à Femmes d’aujourd’hui[1]. Cette réussite est en partie due à un contenu diversifié et à des innovations marketing qui permettent au journal de nettement se démarquer de ses concurrents. La fidélisation des lectrices est assurée via l’insertion dans les numéros de patrons modèles en 1893, de jeux concours ou de romans à épisodes sous forme détachable intégré dès 1887. Rien que l'insertion d'un roman gratuit comme supplément fait gagner 100 000 exemplaires au périodique et le patron 35 000. De juillet 1919 à 1936, le journal publie également une revue pour enfants, Guignol - Cinéma des Enfants. Le journal fut imprimé à Châtelaudren-Plouagat jusqu'en 1983
Lucien Vogel éditeur | Paris 1921 | 18 x 24 cm | une feuille
Estampe originale en couleur finement rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Lucien Vogel éditeur | Paris 1920 | 18 x 24 cm | relié
Ensemble de huit estampes originales en couleur, tirées sur papier vergé et signées en bas à droite et à gauche des planches. Les planches sont introduites par un texte signé Jean Cocteau et représentent des costumes pour la pièce de Shakespeare (deux Bergères, Paulina ou encore Le Temps). Reliure à la bradel en plein papier à motif décoratif, dos lisse, pièce de titre de chagrin brun, reliure signée de Goy & Vilaine. Gravures originalesréalisées pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou
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Eyrolles Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 2003 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur bleu et blanche, illustrée d'un téléphone sur fond orange petit In-4 1 vol. - 315 pages
nombreuses figures et schémas dans le texte en noir et blanc, 12 planches en couleurs 1ere édition Contents, Chapitres : Préface, Table, Avant-propos, xvii, Texte, 288 pages - Préambule - I-mode, un nouveau média - I-mode en France et en Europe - Economie et marketing d'i-mode - Exemples de site I-mode - L'ergonomie d'un site I-mode - L'architecture i-mode - Développer un site imode - Le site Digitag de Haiku - Le futur d'i-mode - Annexes : Glossaire, Bibliographie, Spécifications HTTP - Liste des tags - Palette de couleurs - Les emoji - Index bon état, intérieur frais et propre