Paris, Desclee de Brouwer Paris, Desclee de Brouwer 1932. In-12 broché couverture rempliée de 305 pages + table. Avant propos de Jeanne Boussac Termier.
Reference : 13364
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Paris, Duféy [et :] Ladvocat, 1826-1830 3 vol. in-8, [4]-459 pp., [4]-xiv-[2]-516 pp., [4]-491 pp., avec 10 portraits gravés sur acier, sous serpentes, et une grande carte dépliante aux contours rehaussés de couleurs, veau fauve, dos à nerfs à doubles caissons fleuronnés dorés, double encadrement de double et simple filet doré avec fleurons d'angle sur les plats, grande plaque romantique à froid au centre des plats, guirlande dorée sur les coupes, tranches dorées, guirlande intérieure (Simier, relieur du Roi). Rousseurs. Dos un peu passés, petit accroc à la coiffe supérieure du tome 3.
Collective qui réunit trois titres parus précédemment : les Discours et mélanges littéraires (1823) pour le volume I ; les Nouveaux mélanges historiques et littéraires (1827) pour le volume III ; Lascaris (1825), pour le volume II, auquel est adjointe une préface relative à l'indépendance de la Grèce, et qui est suivie de huit autres études.Viciare VII, 1084-85 (pour les originales des Discours). Escoffier, 577 (pour Lascaris) et 667 (pour les Mélanges). Droulia, 793 (pour l'originale de Lascaris) et 1329-30 (pour les Mélanges).Bel exemplaire malgré les défauts signalés. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
P., Champion, 1998. 2 forts vol. in-8 cartonnage éditeur, 1534 pp. en continu, portrait. (Nouv. Bibl. du Moyen Age, 46).
Par les travaux qu'il a accomplis et ceux qu'il a dirigés, Philippe Ménard a puissamment contribué au renouveau des études en ce domaine. Aucun secteur ne lui a été étranger: édition, étude linguistique, travaux critiques, approches socio-littéraires, iconographie, ont simultanément sollicité l'acuité de son jugement. Avec rigueur, avec ce sens suprême de la mesure qui ne lui a jamais fait défaut, Philippe Ménard a donné à plusieurs générations de chercheurs l'exemple de l'exigence, du scrupule philologique et de l'humilité devant les textes. Il est donc légitime que ses collègues, ses disciples et ses amis lui offrent à présent l'hommage d'un recueil de Mélanges. Ce volume, intitulé Miscellanea Mediaevalia, offre un remarquable ensemble de travaux sur les divers aspects de la Littérature médiévale. La diversité des contributions, tant dans leur thématique que dans leur origine géographique, témoigne de l'ampleur du rayonnement intellectuel et humain de Philippe Ménard. Etat de neuf. - Frais de port : -France 8,45 € -U.E. 13 € -Monde (z B : 23 €) (z C : 43 €)
ARMES DE LA REINE MARIE-ANTOINETTE / PAULMY, Antoine-René de Voyer dArgenson de (1722-1787) / CONTANT DORVILLE, André-Guillaume (ca 1730-ca 1800)
Reference : 9337
(1781)
1781 Paris, chez Moutard, imprimeur-libraire de la Reine, de Madame, & de Madame le Comtesse dArtois, rue des Mathurins, Hôtel de Cluny, 1781. Un volume in-8° (133 x 203 mm) de VIII+428 pages. En page 422: «Fin du XIXe volume des Mélanges et de la quinzième partie de la Lecture des livres françois». Reliure de lépoque en plein veau écaille, plats encadrés dun triple filet doré et armes frappées au centre, filet sur les coupes et dentelle intérieure dorée, dos lisse orné avec ex-libris en or frappé en queue et pièce de titre en maroquin vert («Mélanges de Paulmy»), tranches jaunes. Reliure fatiguée, coiffe supérieure manquante, un coin émoussé et des accrocs aux coupes, des charnières frottées, celle du dessus faible et fendue en tête et en queue, dos fendillé par places, tache brunâtre en bordure du plat inférieur. Exemplaire provenant de la bibliothèque de la reine Marie-Antoinette au Petit Trianon avec le monogramme couronné «CT» frappé en queue du dos. Tampons de bibliothèque illisibles (XIXe siècle?) sur la tranche de tête et au bas du faux-titre; ex-libris de lenseignant et historien strasbourgeois Adam Walther Strobel (1792-1850) collé au centre du premier contreplat; en-dessus, ex-libris du banquier et bibliophile bâlois André Gutzwiller (1923 -2014).
La collection des «Mélanges tirés dune grande bibliothèque», publiée entre 1779 et 1788 par Antoine-René de Voyer dArgenson marquis de Paulmy (1722-1787) et André-Guillaume Contant dOrville (ca 1730-ca 1800) comptera au total 69 volumes. On ignore pour quel motif la collection de la bibliothèque du Petit Trianon, inventoriée en 1793, ne comportait que les 24 premiers volumes parus jusquen 1781, dont le nôtre, dix-neuvième de la collection. (Paul Lacroix: « Bibliothèque de la Reine Marie-Antoinette au Petit-Trianon, daprès linventaire original dressé par ordre de la Convention», Paris, 1863, page 89, no 494: «Bibliothèque historique à lusage des dames, contenant un catalogue raisonné de tous les livres nécessaires pour faire un cours complet dhistoire en langue françoise, Paris, Moutard, 1779 et suiv., 24 volumes in-8°. Par le marquis de Paulmy et Contant dOrville. Cest la première partie des Mélanges tirés dune grande bibliothèque». Gustave Desjardins: «Le Petit-Trianon, histoire et description», Versailles, 1885, page 449, no 455: «Bibliothèque historique à lusage des dames, contenant un catalogue raisonné de tous les livres nécessaires pour faire un cours complet dhistoire en langue françoise, Paris, Moutard, in-8° veau écaille, 1779, 24 volumes. Par le marquis de Paulmy et Contant dOrville»). Que sont devenus les 23 autres volumes de la collection? Nous lignorons; en tout cas ils ne figurent ni parmi les 816 volumes de la bibliothèque du Petit Trianon conservés à la Bibliothèque municipale de Versailles, ni parmi les 185 volumes de même provenance aujourdhui à la Médiathèque Pierre Fanlac de Périgueux. Bon
Le Marquis de Paulmy (1722-1787) lecteur des «Romans» du XVe siècle. Paris, chez Moutard, 1779-1781. 24 volumes in-8, complet. Maroquin rouge, triple filet doré autour des plats, armoiries au centre, dos richement ornés, pièces vertes, tranches dorées. Reliure armoriée de l’époque. 193 x 130 mm.
[video width="1920" height="1080" mp4="https://www.camillesourget.com/wp-content/uploads/2024/11/LDM.mp4"][/video] Edition originale de l’une des plus captivantes entreprises littéraires et bibliophiliques françaises du XVIIIe siècle. Les vingt-quatre volumes des Mélanges tirés d'une grande bibliothèque publiés de 1779 à l781, sont l’œuvre anonyme d’un noble, Antoine René de Voyer d'Argenson, marquis de Paulmy (1722-1787), assisté dans cette tâche par un rédacteur professionnel, André-Guillaume Contant d'Orville. Bibliophile et écrivain amateur, le marquis de Paulmy possédait une très riche collection de livres en particulier de manuscrits anciens et d'éditions rares de textes du Moyen Age et du seizième siècle. Sa bibliothèque constitue aujourd'hui le fonds ancien de la Bibliothèque de l'Arsenal. À l'origine, les Mélanges devaient puiser dans le trésor de cette collection des extraits de romans et surtout de romans anciens, susceptibles de concurrencer, auprès des «Dames» et des «gens du monde», le succès de la Bibliothèque des Romans dont Paulmy avait eu l'initiative mais qu'il avait dû abandonner après s'être brouillé avec le comte de Tressan. Cependant, à partir du quatrième volume, apparut un nouveau titre qui traduisait une ambition quasi-encyclopédique « De La Lecture des livres français, considérée comme amusement». Recueil d'extraits de romans et d'autres sortes de textes, essentiellement du XVIe siècle, compilation encyclopédique, cette collection, éditée par un libraire travaillant dans la mouvance de Panckoucke et Moutard, témoigne aussi du goût des écrivains amateurs et du public de la meilleure société pour la transposition des textes anciens et l'invention, sur des canevas anciens, de "petits romans", certains dans le style dit «troubadour». Cette publication eut un grand impact et contribua à développer en France le goût pour le MoyenÂge et les troubadours, tradition à laquelle le Romantisme doit beaucoup. Ces vingt-quatre volumes forment le noyau primitif le plus important de cette collection, comme il est signalé dans l'Avertissement du premier tome. Par la suite elle fut développée et augmentée de quarante-six volumes. Le rôle joué par le marquis de Paulmy dans l'entreprise de divulgation de la littérature médiévale qui a marqué la seconde moitié du XVIIIe siècle n'a plus à être souligné. Ce qui a été moins reconnu, c'est l'attention spéciale qu'il a consacrée à la littérature du Moyen Âge dit « tardif », et en particulier aux romans originaux et adaptations en prose que le XVe siècle a produits en grande quantité et auxquels le passage à l'imprimé a garanti une diffusion auparavant inconnue ; son intérêt est celui d'un bibliophile, certes, collectionneur de beaux manuscrits, d'incunables et d'éditions anciennes, mais aussi celui d'un lecteur qui, voyant dans l'histoire de la littérature l'histoire d’un progrès, n'a pas négligé - loin de là - le dernier siècle du Moyen Âge ni les premières décennies du XVIe. Magnifique exemplaire aux armes de Marie-Thérèse de Savoie, Comtesse d’Artois (1756-1805), épouse de Charles-Philippe, comte d'Artois, devenu roi de France sous le nom de Charles X. « Marie-Thérèse de Savoie, seconde fille du duc Victor-Amédée III, née le 31 janvier 1756, fut mariée le 16 novembre 1773, dans la chapelle de Versailles, à Charles-Philippe, comte d'Artois, devenu roi de France, sous le nom de Charles X. Chacun, à la cour de Marie-Antoinette, s'accordait à louer sa décence et sa douceur. « Elle avait, dit Madame Campan, un très beau teint ; bonne et généreuse, elle fut aimée de tous ceux qui l'environnaient ». (E. Quentin-Bauchart). Sa bibliothèque, formée par les soins de Félix Nogaret, son secrétaire, était une des plus importantes de l'époque ; les livres en étaient généralement reliés en maroquin rouge. Exemplaire cité par E. Quentin-Bauchart, Les Femmes bibliophiles de France, (II, p. 348, n° 93). Des bibliothèques Ambroise Firmin-Didot (1884, n° 500) et Sacha Guitry (I, 1976, n° 1) ainsi décrit dans le catalogue Firmin Didot: «Ouvrage fort intéressant, même aujourd'hui, contenant une énorme quantité d'analyses et d'extraits des livres de science, de littérature et d'histoire, depuis le Moyen Âge, le tout à l'usage des dames. Exemplaire revêtu d'une reliure très fraîche, aux armes de la comtesse d’Artois.» Cet ouvrage fut alors adjugé 215 Fr. Or (n° 500). Dans cette même vente du 14 juin 1884, l’édition originale rarissime de «Christine de Pisan», «le Chemin de long estude de Dame Christine de Pise», Paris, 1549, reliure de Simier était adjugée 25 Fr. Or (n° 323). Elle se vend aujourd’hui 75000 €. Belle reliure dont les pièces de maroquin vert portent une tomaison en lettres d’alphabet élégamment imprimées.
Genève, Slatkine, 1981. In-8 broché, 627 pp. (Bibliothèque Franco Simone, 6).
Bonne condition. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 11 € -Monde (z B : 18 €) (z C : 31 €)