Neuchatel & Paris, Ides et Calendes, 1946. In-8 broché sous couverture rempliée, 113 pp. Edition originale. Exemplaire numéroté sur Vergé Crème.
Reference : 3399
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Paris F. Champenois 1912 Première édition. Affiche publicitaire lithographique originale de Lefèvre-Utile signée dans la planche par Victor Bocchino de 1912. L'affiche est collée sur un support et est maintenue sous un passe-partout amovible. Lorsqu'on l'examine hors du cadre, on constate une perte importante sur le bord droit de l'affiche. L'encadreur a réussi à masquer cette perte en couvrant une partie de la marge de l'affiche. L'affiche est placée dans un cadre récent en bois à motifs. Il n'y a pas de verre (actuellement protégé par de l'acétate d'archivage). L'affiche peut être expédiée sans cadre si vous le souhaitez. L'affiche est par ailleurs propre et brillante, avec seulement quelques taches. Une pièce attrayante de la publicité du début du vingtième siècle. L'affiche mesure 70cm x 52cm. Le cadre mesure 95 cm x 75 cm. Imprimée par F. Champenois à Paris. Lu reste l'une des marques de biscuits les plus populaires en France aujourd'hui.
First edition. An original lithographic advertising poster from Lefèvre-Utile signed in the plate by Victor Bocchino from 1912. This is pasted down onto backing board and is held under a removable passe partout. When examined out of the frame, it is clear that there is significant loss to the right edge of the poster. The framer has managed to hide this by covering part of the margin of the poster. (See photographs). Held in a recent wooden patterned frame. There is no glass (currently protected with archival acetate). can be shipped without frame if preferred. The poster is otherwise clean and bright, with a touch of spotting to it only. An attractive piece of early twentieth century advertising. advert is 70cm x 52cm. The frame is 95cm x 75cm. Printed by F. Champenois of Paris. Lu remains one of the most popular biscuit brands in France today. .
GERMANICA, UNIVERSITE DE LILLE III. 1987. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 229 PAGES - Envoi de Jean Jacques Pollet (un des auteurs) sur la page de garde, voir 2e photo - Principalement en francais + parfois en allemand. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
"L'impossible retour - La figure du Heimkehrer dans les lettres & les arts allemands & scandinaves du XXe siecle- Casanova l'impossible retour a venise dans l'aventurier et la cantatrice de Hofmannsthal & Le retour de casanova de Schnitzler- Georg Trakl: les poemes du non retour- L'exotisme fantasque de H.H. EWERS- Le retour au pays d'une generation perdue dans La fuite sans fin de Joseph Roth- Nelly Sachs ou le refuge de la langue- Ruckkehr und vergebliche hoffnung, zu peter Huchels gedicht heimkehr- Le theme du retour d'exil dans la trilogie adenauerienne de Wolfgang Koeppen- ""Es gibt nur das nirgendwo..."": Wim Wenders' travels ...- Aksel Sandemose un outsider persecute par lui meme, un fugitif revient sur ses pas (extrait) par Georges Ueberschlag // GENEVIEVE ROUSSEL- ALFRED STRASSER- PIERRE GIRAUD- PIERRE VAYDAT- ANDRE COMBES- JEAN DANIEL KREBS- JEAN JACQUES POLLET- LUDWIG VOLKER... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues"
P., Librairie générale de droit et de jurisprudence, 1941, in-8°, 283 pp, biblio, broché, traces de papier collant sur les gardes, bon état
"Robert Mallet entame sa démonstration par l'affirmation d'une « surindustrialisation au XIXe siècle » (p. 41), surproduction qui a entraîné la crise de 1929 et la nécessité économique d'un retour à la terre dans le monde entier. Il distingue nécessité économique, nécessité politique et nécessité morale, mais pour lui, la première est la plus importante : « La nécessité économique d'un retour à la terre est donc une nécessité de base, commune à toutes les nations, elle peut en être le seul fondement (...). A cette nécessité peuvent s'en ajouter d'autres, d'ordre moral ou politique ». De toute façon elles conduisent inéluctablement à une action économique sans laquelle ces buts ne pourraient être atteints ». Comme Victor Boret, il considère le retour à la terre impossible. L'hérédité paysanne se défait plus vite qu'elle ne s'acquiert, une classe rurale se détruit plus facilement qu'elle ne se crée. « En règle générale, il faut admettre que ceux qui ont abandonné la terre sont à jamais perdus pour elle, car il est vain de replanter un arbre déraciné quand il est mûr » (p. 256). La solution est ailleurs : disperser les industries dans les campagnes, fixer ceux qui ne sont pas encore partis, etc. Les vicissitudes des guerres entraînent donc une certitude et même plusieurs : les agriculteurs doivent être nombreux ; loin de les chasser, la modernisation poussera à leur maintien, qui est possible, alors que leur retour est une utopie. (...) Après toutes les assertions sur la primauté de la nécessité économique, Robert Mallet en vient, à propos de la France de 1941, à parler d'une nécessité économique temporaire » pour subsister et d'une « nécessité morale permanente » (p. 242-243), car on a aussi besoin de nourriture spirituelle..." (Isabel Boussard, “Les arguments économiques en faveur du retour à la terre dans le discours agrarien”, 1988)
1 placard format 26 x 20 cm, s.d. [ 1815 ]. Rappel du titre complet : Lettre des sous-officiers et soldats en congés limité et illimité de la ville d'Amiens, à son Excellence le Ministre de la Guerre. Monseigneur, La fausse interprétation de nos sentimens dans l'appel que vous venez de nous faire, exige de nous une réponse qui confonde notre imposture. Quel délire a pu vos faire dire que nous avons désiré le retour de Napoléon, lorsque, rentrés dans nos foyers par la clémence d'un bon Roi, nous n'avions d'autre but que d'y rester ? Nous sommes tous au milieude ce que nous avons de plus cher ; nous ne nous en séparerons que pour frapper, terrasser les traîtres, qui ont osé favoriser le retour du tyran usurpateur. Malheur aux vils satellites, qui oseroient porter les mains sur nous ou sur nos parens, pour les priver de la liberté ! Nous ne voulons point obéir à l'appel qui nous est fait : nous ne reconnoissons que celui du Roi, en date du 9 mars dernier ; et c'est pour sa défense que nous prendrons les armes. Dans quel avilissement les autorités sont tombées ! Naguère les premiers magistrats de cette ville nous engagoient à repousser et à anéantir le Corse, qui vient encore désoler nos familles, et apporter parmi nous tous les fléaux [... ] Braves camarades, gardons-nous de méconnoitre notre Roi légitime ; rallions-nous, et ne souffrons pas que qui que ce soit porte une main téméraire sur un seul d'entre nous, pour nous forcer de servir une cause que nous abhorrons ! (Copié sur un exemplaire envoyé par un des officiers d'Amiens à sa famille, à Paris,...... dans une lettre par la Poste)
Rare placard publié pendant les Cent Jours, et s'opposant au retour de Napoléon revenu de l'île d'Elbe.
2 placards format 25,5 x 21, De l'Imprimerie de Cherche, A Amiens, et format 26 x 20 cm, s.d. [ 1815 ]. Rappel du titre complet : [Lot de 2 placards : ] Déclaration de la Garde Nationale d'Amiens, affichée à Amiens, Beauvais et autres villes de Picardie "Buonaparte dit que les Bourbons amènent les étrangers en France. Eh ! s'il n'étoit venu venu souiller notre sol, nous serions en paix avec l'Europe. Sébastiani est venu pour nous faire prendre les armes. Nous jurons tous que, si ce vil satellite de Buonaparte vient dans nos murs avec l'intention et les pouvois proconsulaires [ ... ] il y trouvera le châtiment de ses crimes [... ] [On joint : ] Lettre des sous-officiers et soldats en congés limité et illimité de la ville d'Amiens, à son Excellence le Ministre de la Guerre. " Monseigneur, La fausse interprétation de nos sentimens dans l'appel que vous venez de nous faire, exige de nous une réponse qui confonde notre imposture. Quel délire a pu vos faire dire que nous avons désiré le retour de Napoléon, lorsque, rentrés dans nos foyers par la clémence d'un bon Roi, nous n'avions d'autre but que d'y rester ? Nous sommes tous au milieude ce que nous avons de plus cher ; nous ne nous en séparerons que pour frapper, terrasser les traîtres, qui ont osé favoriser le retour du tyran usurpateur. Malheur aux vils satellites, qui oseroient porter les mains sur nous ou sur nos parens, pour les priver de la liberté ! Nous ne voulons point obéir à l'appel qui nous est fait : nous ne reconnoissons que celui du Roi, en date du 9 mars dernier ; et c'est pour sa défense que nous prendrons les armes. Dans quel avilissement les autorités sont tombées ! Naguère les premiers magistrats de cette ville nous engagoient à repousser et à anéantir le Corse, qui vient encore désoler nos familles, et apporter parmi nous tous les fléaux [... ] Braves camarades, gardons-nous de méconnoitre notre Roi légitime ; rallions-nous, et ne souffrons pas que qui que ce soit porte une main téméraire sur un seul d'entre nous, pour nous forcer de servir une cause que nous abhorrons ! (Copié sur un exemplaire envoyé par un des officiers d'Amiens à sa famille, à Paris,...... dans une lettre par la Poste) "
Rare réunion de 2 placards royalistes publiés à Amiens pendant les Cent Jours, et s'opposant au retour de Napoléon revenu de l'île d'Elbe.